L’OMDE, ou Observatoire de la Maturité Data des Entreprises, est une étude menée par Datasulting, un cabinet de conseil pour la valorisation des données des entreprises.
Depuis 2013, il accompagne les entreprises dans l’exploitation de leurs données pour qu’elles soient le plus performantes possibles.
Et cette année, Report One est sponsor de cette étude. 😊
L’OMDE a plusieurs objectifs pour les entreprises :
Objectif n°1 :
Avoir une meilleure connaissance globale de leur maturité data selon les 5 piliers de maturité data des entreprises :
– Potentiel Data : l’évaluation de la richesse et la diversité des données disponibles au sein de l’entreprise pour déterminer le potentiel de valorisation data.
– Stratégie Data : la capacité de l’entreprise à créer de la valeur grâce à ses données.
– Culture Data : la connaissance des enjeux et culture des usages de la donnée dans l’entreprise.
– Compétence Data : l’évaluation de l’organisation et les règles permettant d’optimiser l’efficacité de la gestion des données dans l’entreprise.
– Gouvernance Data : l’évaluation des compétences internes et les moyens humains mobilisés pour la valorisation des données dans l’entreprise.
Objectif n°2 :
Réaliser une analyse plus poussée des enjeux, des freins, des connaissances et avancées des entreprises dans leur transformation digitale et dans l’exploitation de leurs données.
Objectif n°3 :
Mettre en place un référentiel stable dans le temps permettant aux acteurs publics et aux accompagnateurs des entreprises de disposer d’un outil de mesure de l’évolution de la maturité des entreprises en ce qui concerne l’usage de leurs données.
Quelques chiffres sur l’édition 2022 de l’OMDE
340 répondants
76% des répondants sont des dirigeants et des cadres dirigeants de PME
5 : c’est le nombre de niveaux de maturité data qui existent selon l’OMDE
3% seulement des entreprises sont en capacité d’exploiter toutes leurs données
39% des entreprises ont conscience du potentiel offert par les données, elles commencent à s’interroger, à tester et à rechercher des solutions
19% c’est la part des entreprises se déclarant capables d’exploiter correctement leurs données
62% des décideurs ont un niveau faible de connaissance des sujets data
Comment découvrir les résultats de l’OMDE ?
Vous pouvez les télécharger via ce lien : Juste ici !
La masse de données brutes générées et collectées chaque jour en entreprise reste particulièrement difficile à classer et à interpréter. La data visualisation intervient précisément dans ce cadre : elle transforme les données en représentations visuelles claires et compréhensibles par tous.
Qu’est-ce que la data visualisation ? En quoi cette technique constitue-t-elle un outil de communication puissant pour une entreprise ? Voici tout ce que vous devez savoir sur la visualisation de données.
Définition de la data visualisation
La data visualisation, ou dataviz, est une pratique qui consiste à créer une représentation graphique des données afin d’en faciliter la lecture, la compréhension et l’analyse.
Appliquée à l’entreprise, cette méthode permet de transformer instantanément les chiffres et données stockées dans des tableaux Excel en diagrammes, nuages de bulles, infographies ou autres représentations graphiques.
Les données essentielles de l’entreprise sont ainsi présentées sous une forme intelligible par le biais d’illustrations. Points, barres, courbes, couleurs… Les données sont transformées en objets visuels qui visent à faciliter leur lecture et leur compréhension, offrant un gain de temps conséquent à leur analyse.
Origine de la data visualisation
La data visualisation est fondée sur le concept simple de la théorie de Gestalt, aussi appelée « psychologie de la forme ». Celle-ci part du postulat que le cerveau humain, confronté à un ensemble d’informations complexes, cherche à le structurer visuellement pour en faciliter la compréhension.
Ainsi, la dataviz consiste à simplifier au maximum la présentation des données. Leur mise en forme s’appuie sur des procédés visuels tels que :
Les couleurs : elles doivent être distinctes, cohérentes et limitées en nombre
La taille des éléments, en fonction de leur ordre d’importance
Les formes, dans le but de distinguer plusieurs éléments
La disposition des éléments, selon leur pertinence et leur importance
Data visualisation : bénéfices et cas d’usages
Découvrez dans ce livre blanc les bénéfices de la Data visualisation pour votre société.
Il existe différents types de visualisations. Parmi les nombreuses méthodes utilisées pour présenter les données de manière efficace et attrayante se trouvent les visualisations classiques, telles que :
Les diagrammes
Les cartes
Les tableaux de bord
Les histogrammes
Mais la visualisation de données se traduit également par des représentations visuelles plus complexes, telles que :
Les nuages de bulles
Les arborescences
Un diagramme de Gantt
Les graphiques à puces
Les nuages de mots
Les graphiques de flux
…
La data visualisation : une solution au service des entreprises
Les données d’une entreprise sont souvent éparpillées sur différents supports, complexifiant leur recherche et leur analyse. Les outils de Business Intelligence, comprenant un module de data visualisation permettent de les regrouper et de les classer à travers un ou plusieurs graphiques pertinents. Pour faciliter leur analyse, tous ces graphiques peuvent être regroupés au sein d’un même tableau de bord.
Dans un objectif d’efficacité, la data visualisation doit analyser les données les plus pertinentes. En amont, la détermination des indicateurs de performance les plus perspicaces et les plus utiles à l’entreprise s’avère donc capitale.
La vision simplifiée de ces données offre ainsi la possibilité aux dirigeants d’entreprises, DRH et directeurs de service informatique d’agir sur des leviers concrets et ainsi de mieux piloter leur PME.
Aujourd’hui, nous faisons face à une multitude de données en entreprise. Et pour traiter ces données, les différents services d’une société utilisent de nombreux outils et que le marché des logiciels est en croissance. Ce n’est pas pour rien que le chiffre d’affaires pour les éditeurs de logiciels s’élevait à 18 milliards d’euros en France (source : Tool advisor).
Ceci s’explique par le fait qu’il est devenu indispensable pour toutes les entreprises de collecter et échanger de la donnée pour analyser et piloter son activité afin de prendre de meilleures décisions.
En revanche, il peut être très compliqué de tirer profit de cette donnée lorsqu’elle provient de plusieurs outils. C’est pourquoi se pose la question de connecter les logiciels entre eux pour optimiser leur performance.
Découvrez dans cet article pourquoi des données en silo nuisent à l’entreprise, pourquoi connecter les logiciels est bénéfique pour la productivité et les différents moyens de connecter ces outils.
Ne pas connecter les logiciels nuit à la productivité
Ne pas connecter les différents logiciels de votre entreprise nuit grandement à la productivité de votre entreprise. Des outils qui ne communiquent pas ne peuvent être utilisés à leur plein potentiel. En effet, les informations dont vous avez besoin se trouvent souvent dans différents logiciels métiers. Effectivement, certains outils possèdent une information dont on a besoin et mais nous devons très souvent aller chercher des informations complémentaires dans d’autres logiciels. Aux collaborateurs donc d’aller perdre du temps d’aller chercher la bonne information au bon endroit.
De plus, ne pas connecter les logiciels entre eux a des impacts négatifs dont les deux principaux sont :
Ressaisir la même donnée dans plusieurs logiciels, ce qui génère des risques d’erreur
Des failles de sécurité et de fiabilité des données
Vous l’avez compris, utiliser les logiciels de manière isolée au sein de votre entreprise ne vous permet pas de maîtriser les données et de les utiliser de façon optimale afin qu’elles soient bénéfiques à tous les collaborateurs. De plus, aujourd’hui, il devient primordial de connecter les outils entre eux afin que tout le monde puisse avoir le même niveau d’informations.
Connecter les outils entre eux : les bénéfices
Vous le savez et en avez pleinement conscience : les données doivent pouvoir être collectées, croisées, exploitées et partagées simplement . C’est, entre autres, ce que permet la connexion entre les logiciels de votre entreprise.
Alors, voici une liste non exhaustive des bénéfices que votre société peut tirer si vous connectez les différents logiciels métiers :
Créer une base de données unique. En collectant toutes vos données au sein d’un entrepôt de données. Cela signifie que les collaborateurs peuvent aller chercher les informations dont ils ont besoin à un seul endroit.
Automatiser les tâches chronophages. Fini le temps passé à chercher les données, s’assurer que l’information sélectionnée est bien à jour ou encore se demander si l’information est fiable.
Mettre en place et simplifier les procédures. Grâce à l’automatisation et la connexion entre les logiciels, vous pouvez mettre en place des règles ou encore modéliser les données afin qu’elles soient normalisées.
Renforcer la fiabilité et la sécurité de la data. Vous pouvez gérer les droits des utilisateurs simplement, éviter les ressaisies des collaborateurs et enrichir les données à tout moment.
Décloisonner les données. La connexion entre les logiciels métiers permet à chacun d’entre eux de communiquer les informations pour que celles-ci soient à jour et complètes.
Permettre une meilleure visibilité. Les collaborateurs peuvent avoir une meilleure visibilité de leur activité : collecter les informations rapidement, ne plus douter de leur fiabilité…
Faciliter la prise de décision. Grâce aux éléments cités précédemment, chaque collaborateur a la capacité de prendre des décisions basées sur des données fiables et des analyses poussées.
Vous l’avez compris, connecter les logiciels métiers permet non seulement de mieux maîtriser les données, mais aussi de gagner en performances au sein de chaque équipe.
Différentes façons de connecter vos logiciels métiers
Il existe de nombreuses façons de connecter vos outils entre eux. Nous avons sélectionné pour vous les 3 principales.
Les API :
Une API signifie : Application programming interface (en français : Interface de Programmation d’application).
Il s’agit d’une interface logicielle qui permet de « connecter » un logiciel, un service ou un environnement à un autre dans le but d’échanger des données et des fonctionnalités entre eux. Une API peut donc être visualisée comme étant une passerelle entre différents outils.
Nous comptons deux protocoles majeurs sur lesquels les API sont basées :
SOAP : Simple Object Access Protocol
REST : Representational State Transfer
Les connecteurs :
Les connecteurs sont utilisés pour connecter différents logiciels entre eux. Bien souvent, les éditeurs de logiciels intègrent directement des connecteurs dans leurs outils pour aider les clients (et parfois par choix stratégique d’utiliser d’autres outils du même fournisseur ou de fournisseurs partenaires) dans leur souhait de connexion entre les logiciels qu’ils utilisent. Par ailleurs, les connecteurs offrent aux utilisateurs un plus grand éventail de fonctionnalités et de services. Grâce à eux, cela prend moins de temps pour déployer ou intégrer de nouveaux systèmes
De manière générale, les connecteurs sont faciles et rapides à mettre en place et ne nécessitent pas de grandes connaissances (surtout en matière de codage) .
Le web Service :
Le Web Service permet la communication et l’échange de données entre des applications et des systèmes au sein du même serveur. Les applications et systèmes communiquent à distance via Internet, c’est-à-dire indépendamment des plates-formes et langages sur lesquels ils reposent.
Comment ça fonctionne ? Le premier outil envoie une demande et le second lui renvoie une réponse. On parle alors de client et serveur qui fonctionnent sur un système de question/réponse.
Gagnez en performance avec MyReport :
➡️ Vous l’avez compris, connecter les différents logiciels métiers utilisés dans votre entreprise apportent de nombreux bénéfices. Du gain de temps à une meilleure maîtrise des données, connecter les outils permet à chaque collaborateur, et à l’entreprise de manière générale, de gagner en performances.
C’est la raison pour laquelle MyReport se connecte à tous les logiciels métiers : RH, comptabilité, commerce, marketing… Cela vous permet de mieux maîtriser les données pour avoir une meilleure visibilité sur les différentes activités et prendre de meilleures décisions. Découvrez comment MyReport vous aide très simplement à gagner en performances.
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Les entreprises de plus de 50 salariés devront publier les résultats de l’index égalité homme-femme. Son objectif est de mettre fin aux inégalités de salaires entre les femmes et les hommes. Cet index mesure les écarts de rémunération et de taux d’augmentation entre les femmes et les hommes au sein de l’entreprise. Ainsi, il met en lumière les axes d’amélioration face à ces disparités.
Alors, comment calculer l’index égalité homme femme ? Quelle est l’utilité de la BI pour y arriver ? Réponse dans cet article.
Calcul de l’index égalité homme femme : les indicateurs clés
L’index égalité hommes femme 2023 est noté sur 100 points. Il intègre cinq indicateurs RH pour les entreprises de plus de 250 salariés et quatre pour celles de moins de 250 employés.
L’écart de rémunération existant,
L’écart de répartition des augmentations individuelles,
L’écart de répartition des promotions (uniquement dans les entreprises de plus de 250 salariés),
Le nombre de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité (s’il y a eu un congé maternité dans l’année),
La parité parmi les 10 plus hautes rémunérations.
La publication de l’index égalité homme-femme doit être lisible et visible. Les données se situent normalement au niveau de la BDESE, de l’ERP, du logiciel comptable, de paie, du logiciel RH, SIRH… Dans le cas où l’entreprise n’est pas dotée d’un logiciel RH, ces informations peuvent se trouver au sein de plusieurs fichiers Excel à exploiter. Le calcul de l’index égalité homme femme nécessite que les professionnels RH effectuent un croisement de données provenant de sources différentes. Ce qui peut représenter un temps considérable et un degré de difficulté élevé si elles ne sont ni mises à jour, ni fiables, ni simples à retrouver.
Pour rappel : depuis le 1er mars 2020, toutes les entreprises d’au moins 50 salariés sont concernées par l’obligation de publier l’index égalité homme femme. Une fois calculé, l’index doit être publié au plus tard le 1er mars suivant la période de référence.
Replay webinaire : Index égalité hommes-femmes, opportunité ou contrainte ?
Egalité salariale : une nouvelle obligation pour les PME Programme Depuis le 1er mars 2020, les entreprises comptant entre 5…
Optimisez la gestion de vos données grâce à la Business Intelligence
La Business Intelligence (BI) vous permet de répondre à vos obligations légales et de rester en conformité avec l’index égalité Femmes-Hommes. Comment ? En collectant et triant vos données au sein d’un datawarehouse (entrepôt de données) lié à l’ensemble de votre data. Ainsi, les équipes RH ne perdent plus de temps avec des tâches chronophages de recherche et d’exploitation de la donnée pour calculer l’index égalité homme femme. Grâce au data management, vous êtes en mesure de collecter, centraliser, structurer, qualifier et sécuriser vos données RH. En plus de représenter un gain de temps, ce type de gestion automatisée vous prémunit contre toute erreur humaine.
De plus, vous pouvez consulter les données constituant votre score lorsque vous le souhaitez et visualiser vos données grâce à la data visualisation. Ce qui vous permet, en tant que professionnel RH, de vous appuyer sur des données centralisées, fiables, sécurisées et facilement interprétables. En effet, les tableaux de bord RH et reporting cartographient la situation de l’entreprise et vous permettent de compléter les indicateurs RH requis pour l’index égalité homme-femme.
Exemple de tableau de bord réalisé avec MyReport
Et après ? Selon le Ministère de l’Economie “ Une fois l’index égalité homme femme calculé, vous devez le publier sur votre site internet, le déclarer à l’inspection du travail et le communiquer au comité social et économique (CSE) via la base de données économiques, sociales et environnementales (BDESE)”. Par ailleurs, si la note obtenue est inférieure à 75 points, vous avez l’obligation de publier vos mesures correctives. Enfin, vous devez fixer et publier des objectifs de progression pour les critères où le maximum de points n’a pas été atteint lorsque la note obtenue est inférieure à 85 points.
La Business Intelligence vous permet donc d’établir un plan d’action en faveur de l’égalité homme femme en fixant vos objectifs de progression et vos mesures correctives, si cela est nécessaire. Ainsi, en consultant votre score et grâce au reporting RH, vous êtes capable d’améliorer votre note et d’être en conformité avec la législation. Tout en identifiant rapidement les aspects sur lesquels vous pouvez vous améliorer et axer vos efforts. Ce qui est bénéfique à la fois pour la QVCT de l’entreprise et pour votre marque employeur.
➡️ MyReport vous accompagne dans votre projet de BI afin de faciliter le calcul des indicateurs à publier pour l’index égalité homme-femme. Notre outil de Business Intelligence source vos données et fiabilise vos calculs pour vous faire gagner du temps. Vous souhaitez en savoir plus ? Demandez une démo de la solution dès maintenant 👇
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Les KPI RH (indicateurs clés de performance en ressources humaines) jouent un rôle crucial dans la gestion stratégique d’une entreprise. En tant que Directeur Général (DG), vous êtes confronté à des défis complexes qui requièrent une vision globale et précise de vos ressources humaines. Les KPI RH vous permettent de suivre la performance, l’engagement, et l’efficacité des équipes pour prendre des décisions éclairées.
Mais quels KPI sont réellement pertinents pour votre rôle ? Quels outils pouvez-vous utiliser pour simplifier leur suivi et leur analyse ? Cet article répond à ces questions et vous présente les 5 KPI RH incontournables, leur utilité stratégique, et la manière de les intégrer efficacement à vos processus grâce à la Business Intelligence (BI).
Pourquoi les KPI RH sont-ils essentiels pour un DG ?
La gestion des ressources humaines ne se limite plus à la seule administration du personnel. Elle est devenue un levier stratégique pour atteindre les objectifs de performance globale. Les KPI RH jouent un rôle fondamental à plusieurs niveaux :
Alignement stratégique : Les KPI permettent de relier la performance des ressources humaines aux objectifs généraux de l’entreprise.
Suivi de la performance organisationnelle : Grâce à des données objectives, les KPI offrent une vue d’ensemble des forces et faiblesses de vos équipes.
Prédiction et prévention : Ils aident à anticiper les problèmes, comme les pénuries de compétences ou les hausses de turnover, avant qu’ils ne deviennent critiques.
Amélioration continue : En identifiant rapidement les axes d’amélioration, vous pouvez adapter vos politiques RH en temps réel.
La Business Intelligence transforme cette masse de données en insights actionnables. Des outils comme MyReport centralisent vos données RH, automatisent leur traitement et facilitent leur visualisation via des tableaux de bord clairs et personnalisés.
#1. KPI de performance et d’engagement RH
Pourquoi ces indicateurs sont cruciaux ?
Les KPI de performance et d’engagement RH fournissent une analyse précise de la productivité et du moral des équipes. Ces données sont essentielles pour identifier les leviers d’amélioration continue et éviter les pertes de compétitivité dues à un désengagement ou à une faible productivité.
Les indicateurs clés :
Taux de turnover : Ce KPI mesure le pourcentage de collaborateurs quittant l’entreprise sur une période donnée. Un turnover élevé peut indiquer des problèmes de management ou d’engagement.
Coût d’un poste vacant : Calculer le coût des postes vacants, incluant la perte de productivité et les frais de recrutement, permet d’optimiser les délais de remplacement.
Satisfaction des salariés : Les sondages réguliers permettent de mesurer le niveau d’engagement des équipes.
Ancienneté moyenne : Cet indicateur révèle la fidélité des collaborateurs et peut être croisé avec les données de turnover.
Primes versées : L’analyse de la politique de rémunération variable met en évidence les efforts faits pour stimuler la performance.
Réalisation des entretiens individuels annuels : Une faible couverture de ces entretiens peut indiquer un manque d’accompagnement des équipes.
Évolution de la masse salariale : Un suivi précis de la masse salariale permet de relier l’investissement RH à la croissance de l’entreprise.
Comment améliorer le suivi de ces KPI ?
Les outils de reporting RH et de data management permettent une analyse détaillée de ces indicateurs. Par exemple, avec MyReport, vous pouvez automatiser leur suivi, générer des tableaux de bord dynamiques, et ainsi faciliter l’identification des axes de progrès.
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Dans un contexte de guerre des talents et de quiet quitting, le recrutement est un enjeu stratégique. Les KPI de recrutement mesurent l’attractivité de votre entreprise, l’efficacité de vos processus d’embauche, et la fidélisation des nouvelles recrues.
Les KPI incontournables :
Taux de réussite des recrutements : Proportion de collaborateurs intégrés ayant atteint leurs objectifs dans les 6 à 12 mois.
Temps moyen de recrutement : Mesure la durée entre la publication de l’offre et l’arrivée du candidat.
Diversité des équipes : Analyse des ratios liés au genre, à l’âge ou aux parcours professionnels.
Coût moyen de recrutement : Évalue l’efficacité des canaux et des processus utilisés.
Satisfaction des nouveaux collaborateurs : Une intégration réussie est un indicateur fort de la qualité du recrutement.
Rétention post-onboarding : Ce KPI suit la fidélisation des talents après leurs premiers mois dans l’entreprise.
Comment optimiser ces indicateurs ?
Un outil de BI performant comme MyReport peut collecter, structurer et analyser vos données de recrutement. Vous obtenez des rapports clairs et exploitables, qui permettent d’ajuster rapidement vos stratégies.
#3. KPI RH de gestion de carrière et de formation
L’impact des opportunités de carrière sur la fidélisation
Les KPI de gestion de carrière et de formation sont essentiels pour suivre l’évolution des compétences et garantir la satisfaction des collaborateurs. À une époque où les talents recherchent des opportunités de développement, ces indicateurs sont des leviers puissants de fidélisation.
Les principaux indicateurs :
Taux de formation : Proportion de collaborateurs ayant suivi une formation sur une période donnée.
Coût par heure de formation : Permet d’évaluer l’investissement réalisé.
Taux de réussite des formations : Mesure l’impact réel des actions de formation sur les compétences.
Mobilité interne : Un indicateur clé pour mesurer les opportunités de carrière offertes.
Satisfaction des formations : Donnée qualitative recueillie via des sondages.
En quoi ces KPI sont stratégiques ?
Investir dans la formation et la gestion de carrière contribue directement à la rétention des talents et à la performance organisationnelle. Les tableaux de bord visuels simplifient leur suivi et leur interprétation.
#4. KPI RH sociodémographiques (QVCT)
Le lien entre QVCT et performance globale
La qualité de vie et des conditions de travail (QVCT) influence directement la productivité et l’engagement des équipes. Les KPI sociodémographiques permettent de mesurer ces facteurs de manière objective.
Indicateurs clés à suivre :
Taux d’absentéisme : Un indicateur révélateur du climat social.
Accidents du travail : Donnée essentielle pour évaluer la sécurité.
Satisfaction générale des collaborateurs : Permet de détecter les signaux faibles de désengagement.
Conflits internes : Un taux élevé peut signaler un management défaillant.
Apport de la BI :
Grâce à des outils comme MyReport, ces indicateurs peuvent être centralisés et analysés facilement, permettant de prendre des mesures correctives rapidement.
10 idées reçues sur la Business intelligence (BI)
Démystifiez dans cette checklist 10 idées reçues sur la Business Intelligence.
Les KPI de prévision RH permettent d’anticiper les évolutions futures de vos équipes et d’ajuster votre stratégie en conséquence.
Indicateurs à privilégier :
Pyramide des âges : Pour planifier les départs à la retraite.
Promotions internes : Révèle l’évolution des talents dans l’entreprise.
Prévision des successeurs : Un indicateur stratégique pour la gestion des postes clés.
Optimisation grâce à la BI :
Avec un outil comme MyReport, vous pouvez automatiser les analyses prédictives pour anticiper les besoins RH avec précision.
MyReport, un allié pour les DG
En tant que Directeur général, vous devez disposer d’une vision claire et complète de votre entreprise pour piloter efficacement sa performance. Avec MyReport, vous bénéficiez d’un outil performant pour centraliser vos données, automatiser vos reportings et suivre précisément vos KPI stratégiques.
MyReport vous offre une vue globale et personnalisée de vos indicateurs clés grâce à des tableaux de bord interactifs et faciles à interpréter. Vous pouvez ainsi prendre rapidement des décisions éclairées, optimiser la gestion de votre activité et atteindre durablement vos objectifs. Demandez une démo dès maintenant !
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La culture de la data est un sujet de plus en plus évoqué au sein de l’écosystème professionnel. En l’occurrence, s’agit-il d’un buzz word ou existe il de véritables enjeux liés à la culture de la data ? Chez Report One nous avons notre avis : mettre en place une culture de la donnée dans les entreprises est une vraie nécessité pour prendre de bonnes décisions.
Alors, en ce début d’année, ne serait-il pas une bonne idée de réfléchir à ce nouveau projet ?
Découvrez dans cet article en quoi consiste la culture de la donnée et pourquoi le duo DAF-DSI est le plus à même de mettre en place un tel projet.
Culture de la data : quesaco et bénéfices
La culture de la donnée : quesaco ?
Avoir une culture de la donnée en entreprise signifie que chaque collaborateur prend ses décisions en se basant sur les données collectées et/ou générées par l’entreprise dans sa globalité. Cela veut également dire que toutes les décisions majeures sont prises par la direction sur la même base de ces données.
Avoir une culture de la data implique donc forcément une qualité des données irréprochable ainsi qu’une mise à jour facile et à la bonne fréquence (c’est-à-dire à la fréquence dont les collaborateurs ont besoin). Concernant la qualité des données, celle-ci est impactée par les actions de tous les collaborateurs : remplissage adéquat, saisie correcte des informations, etc.
Vous l’avez compris, la mise en place d’une culture de la donnée est avant tout un projet culturel de l’entreprise qu’un projet de mise en place de nouveaux logiciels. Vous pouvez effectivement avoir déjà en place tous les logiciels dont vous avez besoin mais vous devez avant tout faire adhérer tous les collaborateurs à cette nouvelle culture.
La culture de la data : les bénéfices
Avoir une culture de la donnée dans votre entreprise apporte de nombreux bénéfices dont les principaux sont les suivants :
Partage des informations
Visibilité à 360° de l’activité de l’entreprise
Gain de temps
Efficacité de toutes les équipes
Prise des décisions facilitée et basée sur des éléments concrets
Vous l’avez compris, de ces bénéfices principaux en découlent de nombreux autres qui touchent tous les collaborateurs de votre entreprise.
Vous aussi vous êtes convaincu par la nécessité de mettre en place une culture de la donnée dans votre entreprise ? Si oui, poursuivez la lecture pour découvrir pourquoi le duo DAF-DSI est idéal pour mettre en place ce projet 😉.
Le DSI joue un rôle primordial dans la mise en place de la culture de la data. Effectivement, il doit permettre à tous les métiers de l’entreprise d’exploiter la donnée et de pouvoir l’analyser facilement.
Pour cela, il doit mettre en place des process pour centraliser, collecter, organiser et restituer les données.
Au-delà de ce rôle très important, le DSI doit aussi s’assurer de répondre aux besoins de tous les métiers. Par exemple, l’équipe commerciale n’a pas les mêmes besoins que l’équipe des ressources humaines. Pour cela, le DSI fait appel au DAF.
Le DAF
Le DAF est un élément clé de la réussite de la mise en place d’une culture de la donnée dans l’entreprise. Il connaît les enjeux opérationnels et stratégiques des différents métiers de la société. Effectivement, le DAF a une vue à 360° de l’ensemble des activités de l’entreprise.
Le DAF est aussi la personne ayant la plus grande maturité liée à la donnée dans la société. C’est la personne qui doit le plus analyser les données pour répondre à ses besoins. Il a donc pleinement conscience des enjeux liés à la data et peut être un sponsor de taille pour aider le DSI à mettre en place une culture de la donnée en communiquant.
Le DAF aide également le DSI à utiliser le même langage pour tous les collaborateurs et ainsi éviter le jargon trop technique.
Enfin, ce duo est idéal pour mettre en place des processus communs à tous les métiers de l’entreprise. Les DAF et DSI sont aussi les deux personnes les plus à même de choisir les nouveaux outils qui répondront aux besoins de tous : besoins opérationnels, stratégiques, sécurité des données, mise à jour de celles-ci ou encore intégration avec les autres outils.
Vous l’avez compris, ce duo est idéal pour mettre en place une culture de la donnée grâce à sa complémentarité. Répondre aux besoins de tous, communication, mise en place de processus… tout est réuni pour réussir votre projet de culture de la data et profiter de ses bénéfices.
Découvrez comment MyReport vous aide très simplement à mettre en place une culture de la donnée. Je veux parler avec un expert !
Construire un tableau de bord peut vite devenir un véritable casse-tête. Et si celui-ci n’est pas utile, il ne sera pas utilisé par les collaborateurs pour analyser leur performance et prendre de meilleures décisions. C’est pourquoi, nous avons décidé d’écrire cet article pour vous aider à construire des tableaux de bords utiles pour tous. Découvrez les 10 indispensables que votre tableau de bord doit réunir pour être utile.
Définir l’objectif du tableau de bord
Un tableau de bord doit répondre à un objectif précis. Pourquoi vous le créez ? Pour qui ? A quel(s) besoin(s) est-ce qu’il va répondre ? Toutes ces questions doivent obtenir des réponses dans votre tableau de bord et elles doivent être réfléchies en amont pour vous aider à le construire.
Effectivement, vous n’allez pas construire un tableau de bord de la même façon si son objectif est de suivre la performance commerciale ou bien de piloter la masse salariale par exemple.
De même, une équipe marketing ne va pas lire les informations de la même manière que l’équipe finance : premièrement, les deux équipes n’ont pas les mêmes objectifs ni même le besoin d’avoir le même type d’information pour prendre leurs décisions. Deuxièmement, la représentation visuelle peut être différente d’une équipe à l’autre pour une lisibilité plus simple des indicateurs.
Enfin, vous devez prendre en compte le besoin de vos collaborateurs derrière la construction de ce tableau de bord. Ont-ils besoin d’une meilleure visibilité sur un point précis ? Ont-ils besoin d’identifier des actions qui ne fonctionnent pas ? Ont-ils besoin de voir l’évolution d’un ou plusieurs éléments d’une année à l’autre ? Ont-ils besoin de comparer plusieurs éléments ?
Identifier les données à intégrer
Identifier les données à intégrer est indispensable à la création d’un tableau de bord. Vous n’allez pas prendre tout votre SI et en restituer toutes les informations. Ça va vous demander un temps énorme mais ça va surtout rendre votre tableau de bord inutile car les collaborateurs vont être noyés dans le dashboard et ne comprendront aucun élément de celui-ci. Et nous le savons, ce n’est pas votre but.
Notre conseil :identifier les données nécessaires à votre tableau de bord qui a un objectif précis. Ces indicateurs doivent permettre aux collaborateurs qui utilisent ce dashboard de déclencher des actions ciblées.
Enfin, si votre outil le permet, votre tableau de bord doit présenter en premier lieu l’essentiel et ensuite aller dans le détail. Par exemple, MyReport vous permet de voir en un clin d’œil les indicateurs clés comme le chiffre d’affaires réalisé. Puis si vous cliquez sur ce nombre, vous apercevez les différentes affaires qui ont été signées avec leur montant.
Sélectionner la période sur laquelle le dashboard se concentre
Pour que votre tableau de bord soit utile, tous les indicateurs qui le composent doivent porter sur la même période. Effectivement, si vous intégrez le chiffre d’affaires de 2017 et que vous intégrez à côté le nombre d’affaires gagnées en 2018 ou encore la répartition des ventes de 2019, les collaborateurs auront du mal à comprendre votre tableau de bord et seront même confus suite à la lecture de ce dashboard. Conséquence ? Vous aurez travaillé pour rien car le tableau de bord ne sera pas utilisé.
Utiliser les bons visuels
Le choix du visuel utilisé pour restituer une information est très important. Attention, nous ne parlons pas de question de vie ou de mort, rassurez-vous. Mais, certains visuels sont plus faciles à lire pour certaines informations. Par exemple, utiliser une courbe pour représenter une évolution est plus judicieux que d’utiliser un camembert. Une jauge peut être une bonne idée pour représenter une comparaison entre un chiffre d’affaires réalisé vs les objectifs.
Utiliser des couleurs peut aider les collaborateurs à identifier et interpréter un indicateur en un clin d’œil. Par exemple, un chiffre d’affaires atteint en vert va permettre au collaborateur de savoir que l’objectif a été atteint. A l’inverse, un KPI en rouge a une connotation négative et cela se voit immédiatement.
Attention tout de même à ne pas abuser de la couleur. Votre tableau de bord risque de vite devenir illisible et par conséquent, pas utilisé par les personnes qui en ont besoin.
D’autre part, si vous utilisez d’autres couleurs que le vert et le rouge, pensez à utiliser les couleurs qui font partie de votre charte graphique. Ce sont des couleurs que tous les collaborateurs de votre société connaissent, peu importe le service dans lequel ils travaillent.
Data visualisation : guide et bonnes pratiques
Découvrez dans ce livre blanc les bénéfices de la Data visualisation pour votre société.
Il ne sert à rien d’avoir tout l’historique de l’entreprise sur votre dashboard. Ce n’est d’ailleurs probablement pas son objectif ou le besoin des collaborateurs.
D’autre part, nous en avons parlé un petit peu plus haut, un tableau de bord ne doit pas entrer dans un niveau de détail très profond. Effectivement, le rôle d’un dashboard est de présenter de façon succincte les KPI’s dont les collaborateurs ont besoin pour prendre de meilleures décisions.
Notre conseil : un tableau de bord doit tenir sur une feuille A4 ou sur un écran d’ordinateur. Vous ne devriez pas avoir à scroller pour avoir une vue globale.
Evoluer en fonction des besoins
Votre tableau de bord ne doit pas rester figé. Il doit, au contraire, pouvoir être modifié rapidement et simplement pour correspondre aux besoins des collaborateurs qui l’utilisent. En effet, un bon tableau de bord est un tableau de bord qui évolue en fonction des besoins. Ces besoins peuvent évoluer selon la période dans laquelle nous nous trouvons ou encore en fonction du contexte qui touche votre société ou de nouvelles techniques qui apparaissent, etc. Bref les raisons sont multiples et si vous voulez que votre tableau de bord soit utile, celui-ci doit évoluer et s’adapter.
Être disponible à tout moment et partout
Chaque collaborateur doit pouvoir visionner le tableau de bord n’importe quand et n’importe où. Cela signifie que celui-ci doit pouvoir être accessible depuis n’importe quel support : ordinateur, tablette, téléphone, etc.
Au-delà de l’accessibilité, la lisibilité sur tous ces supports est aussi un sujet à prendre en compte. Effectivement, peu importe la taille de l’écran, votre tableau de bord doit rester lisible par les utilisateurs. On parle ici de responsive design.
Enfin, le moment de la mise à jour des données est un élément primordial. Ça peut vous paraître logique, il ne faut pas que les mises à jour aient lieu lorsque les collaborateurs ont besoin de visionner le dashboard. D’ailleurs, un tableau de bord peut vous aider à savoir quels sont les moments de la journée où le dashboard est le plus utilisé pour identifier les moments adéquats pour faire les mises à jour 😉.
Automatiser au maximum
Automatiser le maximum d’éléments va vous permettre de gagner du temps mais aussi à vos collaborateurs de travailler avec des KPI’s fiables et à jour.
Nous vous conseillons d’automatiser entre autres :
La collecte des données
Le traitement
La normalisation
Les mises à jour
Le partage du tableau de bord
S’équiper des bons outils
Disposer de bons outils pour créer vos tableaux de bord va grandement vous faciliter la vie. Pourquoi ? Parce que le tableau de bord construit est la dernière étape. Effectivement, avant de pouvoir visualiser les KPI’s, il faut collecter, normaliser, traiter et enfin restituer les données. Or, réaliser toutes ces actions manuellement demande un temps fou. Ce qui n’est pas votre but, nous le savons.
Notre conseil : équipez-vous d’un outil tout en un et facile d’utilisation qui vous permette de gérer toute la chaine de construction, consultation et partage des tableaux de bord.
Vous l’avez compris, un tableau de bord doit permettre aux collaborateurs de lire simplement et rapidement les KPI’s afin d’identifier les performances et risques pour anticiper, réagir et prendre les bonnes décisions. Le tableau de bord permet donc de comprendre rapidement des analyses qui peuvent être complexes.
Découvrez comment MyReport vous permet très simplement de maîtriser la construction de vos tableaux de bord (de la collecte des informations à la restitution visuelle) Demandez une démo de la solution dès maintenant 👇
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Comment les professionnels RH peuvent-ils effectuer un suivi des entretiens individuels annuels ? Comment la Business Intelligence (BI) permet-elle d’anticiper et d’organiser efficacement cette étape clé de la vie des collaborateurs ?
Qu’est-ce qu’un entretien individuel annuel ?
Entretien individuel annuel, définition
Un entretien individuel annuel désigne le rendez-vous annuel entre le collaborateur et son manager, N+1 ou N+2. L’objectif est double : faire le point sur les objectifs atteints ou non cette année, ainsi que sur les compétences récemment acquises. Un entretien individuel annuel est aussi le moment propice pour définir les objectifs à venir tout en prenant en compte les attentes et besoins des collaborateurs (formation professionnelle, mobilités, évolutions…). Une grille d’appréciation peut être utilisée en tant que support pour faciliter la discussion.
Bon à savoir : Selon le Code du travail (articles L1222-1 à L1222-5), l’employeur doit utiliser des méthodes d’évaluation objectives, non-discriminatoires et transparentes. Les salariés doivent être tenus informés préalablement des modalités, des méthodes et techniques d’évaluation professionnelle lors de leur entretien individuel annuel. Enfin, les résultats obtenus sont confidentiels. Les données personnelles peuvent être collectées et enregistrées dans un fichier informatique seulement si elles sont en conformité avec le RGPD (Règlement Général de Protection des Données).
Un entretien individuel annuel est-il obligatoire ?
Est-ce qu’un entretien individuel annuel est obligatoire ? Contrairement à l’entretien professionnel obligatoire tous les deux ans, les entretiens individuels ne le sont pas. Néanmoins, l’évaluation peut être imposée à l’employeur par la convention collective. Il a alors l’obligation de respecter les dispositions prévues à cet effet. Au risque sinon de s’exposer à une condamnation du conseil des prud’hommes. De plus, la convention peut prévoir l’obligation de remettre aux collaborateurs un rendu écrit au salarié, que ce dernier n’est pas dans l’obligation de signer.
De son côté, un collaborateur ne peut pas refuser de participer à un entretien individuel annuel s’il a été prévenu en amont par l’employeur. En effet, un refus peut être assimilé à une insubordination.
Enfin, si l’entreprise décide de mettre en place un entretien individuel annuel, celui-ci doit s’adresser à l’ensemble des effectifs.
La Business Intelligence, un allier de taille pour les RH
Appuyez-vous sur des données fiables et précises
La gestion de vos entretiens est facilitée de manière globale grâce à la BI. Vous pouvez ainsi répertorier combien d’entretiens ont été réalisés, combien vous devez encore organiser, quand ou encore par qui au sein de l’entreprise.
La BI vous permet, en tant que professionnels RH, de gagner du temps en pilotant de façon optimale chaque entretien individuel annuel. Comment ? Le data management vous permet de collecter, centraliser, structurer et sécuriser les données de vos collaborateurs. Cette gestion automatisée vous protège d’éventuelles erreurs humaines, en vous faisant gagner un temps considérable.
Les données RH récoltées sont précises et fiables. La data vous permet d’évaluer de façon juste et égale tous vos collaborateurs. Véritable aide à la prise de décision, la BI vous donne l’opportunité de vous appuyer sur des éléments tangibles tels que des KPI’s lors des entretiens annuels individuels. Quels sont les résultats obtenus cette année ? Les objectifs atteints ? Le nombre de formations suivies ? Y a t-il eu une augmentation du CA du service ? Et, en comparaison avec l’année précédente (KPI financier, commerce…) ?
La Business Intelligence pour les RH
La direction RH, le business Partner de la direction d’entreprise grâce à la BI
Ces données RH peuvent être rapidement analysées, exploitées et mises en forme grâce à des illustrations visuelles (graphiques, diagrammes, tableaux, courbes…). La data visualisation vous permet de réaliser un suivi simple et compréhensible de l’évolution de vos données RH et de vos indicateurs clés. Les reportings ou tableaux de bord RH cartographient la situation de l’entreprise ou d’un département sur une période donnée ou en temps réel. L’objectif : vous guider lors de chaque entretien individuel annuel grâce à des données précises et lisibles.
Ce qui vous permet notamment de :
Identifier la progression des collaborateurs sur une année (objectifs atteints, KPI performance, points forts et difficultés…)
Anticiper les évolutions d’effectifs et de poste (souhaits de mobilités, départs à la retraite, congés maternité et paternité…)
Mesurer la satisfaction liée aux entretiens individuels annuels (taux de satisfaction, de complétion…)
Par ailleurs, vous pouvez accéder aux résultats des années précédentes. Ainsi, vous êtes en mesure d’observer l’évolution et la progression de vos collaborateurs. Et d’alimenter un échange constructif autour de leurs points forts et de leurs axes d’amélioration. Pour conclure, la BI est au service de votre stratégie RH. Les données précises et lisibles vous aident à anticiper et organiser au mieux chaque entretien annuel individuel.
Le saviez-vous ? MyReport vous accompagne dans votre projet de BI pour optimiser le pilotage de vos entretiens individuels annuels. Transformez vos données en indicateurs RH pertinents pour prendre les meilleures décisions !
Aujourd’hui, nous nous concentrons sur la façon dont Thierry Luthi, Président et Directeur Financier chez Report One, pilote son équipe grâce à MyReport à travers une interview vidéo. Si vous n’avez pas le temps de regarder la vidéo, pas de panique 😊. Nous vous avons fait un résumé juste ici des éléments les plus importants.
Le rôle et les missions d’un directeur financier
Thierry, en tant que directeur financier de Report One, a différentes missions. Effectivement, dans un premier temps, il doit piloter l’activité, les grandes lignes de dépenses et les investissements de l’entreprise dans l’objectif de vérifier que le point mort mensuel d’activité est bien en ligne avec les plans de développement.
Bien entendu, le pilotage financier est un enjeu prioritaire pour Thierry. Il effectue donc un suivi de trésorerie.
Enfin, il a aussi pour mission d’accompagner le business, ce qui signifie qu’il doit toujours être présent et répondre aux demandes afin de faire évoluer le business model lié à la récurrence des revenus et à la souscription économique. De cette manière, il peut piloter la croissance de Report One en mesurant les risques. Cela se traduit par un suivi des budgets, des rolling forecasts et des business plans. Thierry doit donc pouvoir s’appuyer sur des données de qualité !
DAF, contrôleurs de gestions, vous vous retrouvez dans les missions de Thierry ? Si oui, lisez la suite 😉.
Le pilotage de l’activité au quotidien
Thierry pilote son quotidien autour de 3 axes principaux :
Le suivi de la trésorerie : pour cela il s’appuie sur une base de données qui centralise tous les flux de trésorerie. Il peut ainsi piloter l’évolution des flux et notamment les encaissements clients.
Le pilotage des contrats récurrents : il s’appuie sur des KPI comme le taux d’attrition et le taux de renouvellement des contrats.
Le reporting interne : il consiste à obtenir des données à J+1 pour la direction et l’ensemble des actionnaires.
Evidemment, pour cela, Thierry s’appuie sur MyReport. Cela lui permet d’avoir des tableaux de bord financiers à jour avec des informations fiables pour mener à bien ses analyses.
Le nombre de dashboards utilisés et leur utilité
Au quotidien, Thierry utilise une dizaine de dashboards financiers opérationnels. Ça peut vous paraître beaucoup mais en réalité, c’est tout à fait normal.
Au-delà de ses reportings financiers, les tableaux de bord lui permettent de faire des vérifications sur différents éléments comme :
Les achats
L’imputation analytique
Le suivi du recouvrement
Le pilotage des comptes
Etc.
De même, il peut suivre les indicateurs RSE mis en place.
Thierry peut ainsi conserver l’agilité et la capacité de réactivité, notamment car il peut piloter son activité au quotidien où qu’il soit car il peut avoir accès à ses tableaux de bord sur son téléphone comme sur son ordinateur.
Budget, trésorerie… Préparez votre rentrée sereinement grâce à la BI
De nouvelles pratiques ont vu le jour pour transformer votre exercice budgétaire et gagner en agilité, particulièrement g…
Thierry utilise MyReport plusieurs fois par jour pour avancer sur le plan du suivi des encaissements clients, c’est-à-dire suivre la facturation.
Il peut y voir de façon claire plusieurs éléments liés à la facturation :
Facturation sur l’année
Nombre de factures
Total émis en montant TTC
Taux de factures soldées ou réglées
Statuts des factures
Factures impayées
MyReport lui permet aussi d’avoir un niveau de détail facture par facture en un clin d’œil.
Il est également possible pour Thierry d’avoir une vue globale sur les encaissements réalisés ainsi que l’avancée par rapport à l’objectif en cumul ou encore des KPI’s sur le comportement de paiement, notamment le DSO (Day Sales Outstanding : c’est une terminologie financière liée au recouvrement de créances qui correspond au délai moyen de recouvrement ou de paiement.)
C’est d’ailleurs grâce à la mise en place de ces indicateurs que Report One a connu une amélioration de 3 jours du délais moyen de règlement cette année !
Concrètement, quels sont les avantages à utiliser MyReport ?
Pour Thierry, MyReport lui permet d’avoir une vue claire sur le passé mais aussi sur le présent. Cet outil lui permet de valider les résultats des plans d’action mis en place.
MyReport lui permet également d’échanger avec les équipes et d’avoir une vue globale et détaillée pour aussi ajuster les plans d’action si besoin.
Pour terminer, la solution permet à Thierry d’utiliser des informations fiables et à jour pour avoir une visibilité sur l’évolution des recouvrements et postes clients.
3 mots pour résumer MyReport
💥Simple💥 Simple car MyReport est facile d’utilisation. La solution a d’ailleurs été élue n°1 en facilité d’usage par la BI Survey qui est une étude réalisée par l’institut indépendant Barc.
💥Sans limites💥 Sans limites car il est possible de tout analyser avec MyReport si vous avez les données ! La seule limite peut être votre imagination.
💥Collaboratif💥 Collaboratif car MyReport vous permet de partager les tableaux de bord avec vos collaborateurs ou encore ajouter les reportings dans vos présentations.
Vous l’avez compris, chez Report One, nous sommes notre premier client. Thierry, Président et Directeur Financier, ne pourrait plus travailler sans MyReport tant cet outil est essentiel dans son quotidien. Il nous a d’ailleurs avoué que s’il avait eu MyReport au cours de sa carrière, il aurait sûrement passé plus de temps avec sa famille, à lire ou écouter de la musique !
Directeurs financiers, vous êtes-vous identifié à Thierry ? Ces sujets vous parlent-ils ? Sont-ils également vos enjeux ?
Si c’est le cas, découvrez comment MyReport vous permet très simplement de piloter votre activité financière pour prendre de meilleures décisions au quotidien ! Je veux parler avec un expert !
Les ETL sont souvent perçus comme étant des éléments uniquement techniques qui ne sont utiles qu’à vous, les DSI. En réalité, comme tout ce que vous faites, les ETL sont destinés à faciliter la vie de tous les collaborateurs, vous compris mais aussi le directeur commercial, la direction RH ou encore le service client par exemple.
Alors (re)découvrons ensemble ce qu’est un ETL, les étapes ou encore l’utilité de ce processus dans un premier temps puis sur quels éléments joue l’ETL dans le quotidien de tous les collaborateurs. Vous verrez bien que ces ETL ont beaucoup plus d’importance que ce qu’on pourrait imaginer. C’est parti pour un tour d’horizon sur les ETL !
Définition de l’ETL, étapes et utilité
ETL : définition
L’ETL (Extract Transform Load ou Extraction Transformation Chargement en français) correspond à un processus automatisé qui collecte les données provenant de différentes sources, extrait les informations nécessaires à l’analyse et les transforme dans le format adéquat afin de répondre aux besoins opérationnels pour enfin les charger dans un entrepôt de données. Bref, l’ETL consiste à collecter, transformer et centraliser les données nécessaires aux analyses.
ETL : étapes clés
Le processus de l’ETL se déroule en 3(+1) étapes :
Extraction des données : identifier les données nécessaires et collecte de celles-ci depuis plusieurs sources
Transport (étape bonus) : la data collectée est acheminée vers le système final ou intermédiaire pour un traitement ultérieur
Transformation : les données sont converties dans le format adéquat pour ensuite pouvoir les exploiter. Cette étape inclut bien souvent le nettoyage, la normalisation et le trie de vos données
Chargement : intégrer les données dans le système final. Il peut s’agir d’une base de données spécifique, d’un outil ou d’un data warehouse.
ETL : à quoi ça sert ?
Les ETL sont utilisés par les différents métiers de votre entreprise. Effectivement, les collaborateurs lancent des requêtes sur ces données qui sont ensuite présentées aux bonnes personnes pour prendre des décisions.
Globalement, utiliser un ETL permet d’avoir une vue consolidée des données pour prendre de meilleures décisions.
Ok mais en quoi l’ETL permet de faire gagner du temps aux collaborateurs ? 🤔
10 idées reçues sur la Business intelligence (BI)
Démystifiez dans cette checklist 10 idées reçues sur la Business Intelligence.
Les ETL : un gain de temps à tous les niveaux pour tous les services
Des données faciles d’accès
Grâce aux ETL, toutes les données dont les collaborateurs ont besoin sont facile d’accès. Pourquoi ? Parce qu’elles sont toutes centralisées au même endroit : entrepôt de données ou logiciel spécifique.
Les collaborateurs gagnent donc un temps énorme car ils n’ont plus besoin d’aller chercher les informations qu’ils ont besoin d’analyser dans une multitude de sources.
Des données fiables
Avec les ETL, les données sont fiables pour différentes raisons :
La standardisation des données limite les erreurs
La mise à jour des informations à la fréquence souhaitée
Les processus sont automatiques
Ces éléments ont un effet positif sur le temps gagné par les collaborateurs. En effet, pour créer un ETL, vous n’avez pas besoin de faire appel à un codeur qui devra lancer les mêmes processus mais de façon manuelle. Gain de temps, gain d’argent et réduction des erreurs assurés !
De plus, les collaborateurs peuvent bénéficier des données dont ils ont besoin en temps réel. Ce qui signifie que leurs analyses sont basées sur les bonnes informations. Ils n’ont pas de temps à perdre à savoir s’ils ont la dernière version des données.
Enfin, en obtenant facilement des données fiables, ils peuvent consacrer plus de temps sur des tâches à forte valeur ajoutée.
Une meilleure communication
Cette facilité d’accès et la fiabilité des données, merci aux ETL, permet aux collaborateurs de mieux communiquer. Effectivement, avec la standardisation des données, chaque collaborateur connaît la signification d’un KPI. Par exemple, lorsque l’on parle de chiffre d’affaires, tout le monde sait ce que cela signifie (CA facturé, CA prévisionnel ou encore CA réalisé).
Les informations sont également mieux partagées d’un service à l’autre car les données se retrouvent au même endroit. Par exemple, l’équipe commerciale a à sa disposition l’historique marketing d’un prospect. Elle peut donc savoir quels ont été les sujets les plus abordés avec ce potentiel client et rebondir avec un discours commercial adapté.
Cette vue unifiée à 360° permet donc à chacun d’être plus réactif et ainsi d’améliorer l’efficacité globale de la société.
Le guide des meilleures pratiques de communication financière
Découvrez dans ce guide les meilleures pratiques de communication financière.
L’accès facilité aux données, leur fiabilité et une meilleure communication autour des informations permettent aux collaborateurs d’avoir une connaissance client nettement améliorée : parcours d’achat, délai de closing, personae, etc.
Tout cela permet non seulement, de mieux cibler les futurs prospects, mais aussi de le faire à travers des actions pertinentes pour eux : contenu, canal de communication…
Cette connaissance permet aux collaborateurs de gagner du temps et de l’énergie sur beaucoup d’éléments, notamment la prospection.
Détecter des opportunités d’affaires
Avec autant de données à disposition, les équipes peuvent désormais détecter des signaux d’affaires : moment propice à la prise de décision, événement chez votre prospect qui implique l’achat d’un nouvel outil/service que vous pouvez fournir, etc.
Le fait de faire parler ces informations permet aux équipes une meilleure réactivité car elles contactent le prospect au moment où il en a le plus besoin, un fort potentiel de signature de contrat et une évolution du nombre d’affaires signées.
Et cerise sur le gâteau, les équipes n’ont pas besoin de passer des heures à essayer de trouver l’information qui démarquera votre entreprise de vos concurrents 😉.
Les ETL sont évolutifs
L’avantage des ETL est que vous pouvez y ajouter des données à collecter à tout moment. Vous avez besoin d’une nouvelle information ? Faites-le savoir à vos ETL et le tour est joué !
Les ETL s’adaptent donc aux besoins de tous les collaborateurs, ce qui leur permet de toujours avoir les informations dont ils ont besoin à disposition.
Pour conclure, les ETL ne sont pas simplement des outils techniques réservés aux DSI, mais bien des leviers stratégiques pour toute l’entreprise. Ils offrent à tous les collaborateurs – qu’ils soient au service commercial, aux ressources humaines ou encore à la direction générale – un accès simplifié et fiable aux données, permettant ainsi de travailler plus efficacement et de prendre des décisions éclairées.
Avec MyReport, découvrez une solution intuitive qui simplifie la gestion et l’analyse de vos données. Centralisez, transformez et exploitez vos informations pour optimiser la prise de décision et améliorer la performance de votre entreprise.
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La BDESE (Base de Données Économiques, Sociales et Environnementales) est obligatoire au sein des entreprises d’au moins 50 salariés. Ce recueil d’informations œuvre en faveur de la transparence et du dialogue entre la direction et les instances de représentation du personnel. Cette base de données constitue également une aide à la prise de décision.
Alors, comment réussir sa mise en place et son actualisation ? Découvrez la solution dans cet article !
Qu’est ce que la BDESE ?
BDESE, définition
La Base de Données Économiques, Sociales et Environnementales (BDESE) centralise les informations concernant les principales orientations économiques et sociales des entreprises de plus de 50 collaborateurs. Depuis la loi n° 2021-1104 du 24 août 2021, elle inclut les enjeux de la transition écologique. Notamment en prenant en compte les conséquences des activités de l’entreprise sur l’environnement. Elle comporte certaines mentions obligatoires variant selon l’effectif de l’organisation (plus de 300 salariés ou moins). Les données concernent l’année en cours, les deux années précédentes ainsi que les perspectives à venir pour les trois prochaines années.
Votre BDESE vous permet de préparer la consultation annuelle du CSE. Grâce aux données récoltées, vous pouvez faire le point sur les orientations stratégiques de l’entreprise, sa politique sociale (notamment pour les conditions de travail, de santé et la QVCT) et les évolutions de sa situation économique et financière.
Votre BDESE doit être accessible en permanence aux représentants du personnel désignés ainsi qu’aux instances représentatives du personnel (CSE, délégués syndicaux, délégation unique du personnel, comité d’établissement). Elle peut se présenter sous forme de reporting mais aussi de tableaux bord afin qu’elle soit plus facilement lisible et analysée.
Une obligation légale
Tous les employeurs d’au moins 50 salariés ont l’obligation de concevoir et mettre à disposition des représentants du personnel ou du Comité Économique et Social (CSE) une BDESE. Les effectifs de la société sont calculés au niveau global et non par établissement, dans le cas d’une entreprise à établissements multiples.
Une entreprise qui refuse de mettre en place une BDESE peut être reconnue coupable de délit d’entrave. Ce délit est passible d’une amende de 7 500 €.
Pour rappel, les données devant figurer dans votre BDESE concernent les thématiques liées à :
l’investissement social de l’entreprise
l’investissement matériel et immatériel
la situation d’égalité entre les hommes et les femmes
les fonds propres, votre endettement et vos impôts
la rémunération des salariés, des dirigeants et de l’épargne salariale
la contribution pour les activités sociales et culturelles
la rémunération des financeurs (actionnaires et actionnariat salarié)
les flux financiers à destination de votre société
les partenariats
les transferts commerciaux et financiers
la politique environnementale et votre engagement sur ce sujet
Le format numérique est fortement recommandé pour faciliter la gestion des données RH, la conception et l’actualisation de votre BDESE (dashboards, reportings…).
La Business Intelligence pour les RH
La direction RH, le business Partner de la direction d’entreprise grâce à la BI
La Business Intelligence au service d’une stratégie RH pertinente
La Business Intelligence (BI) est votre alliée pour concevoir et mettre à jour facilement votre BDESE ! Comment ? En collectant, centralisant, triant, mettant en forme et restituant l’ensemble de vos datas sur un support adapté. Le tableau de bord, outil phare de la BI, vous offre une vision globale de votre business modèle, votre stratégie et votre organisation. Ce type de solution intègre les données de gouvernance, économiques, sociales, éthiques et environnementales propres à votre entreprise. Elle englobe également toute la data dont les professionnels RH ont besoin pour piloter leur activité : pilotage de la masse salariale, BDESE, index égalité, taux d’absentéisme, de turn over, suivi des effectifs….
Grâce à la BI, vous définissez une liste d’indicateurs RH spécifiques pour réussir la mise en place de votre BDESE : KPI sur la formation professionnelle, l’évolution des effectifs par type de contrat, par âge, par ancienneté … À l’aide de la data visualisation, vous choisissez un support de restitution sur-mesure et lisible par tous (dashboard RH…). Choisir la restitution visuelle ou le graphique adéquat est indispensable pour visualiser vos données RH le plus simplement et clairement possible.
Le saviez-vous ? MyReport vous accompagne dans votre projet de BI, pour identifier les données à collecter et analyser afin de les transformer en indicateurs RH pertinents.
Gagnez un temps considérable grâce à la BI
Professionnels RH et DRH, vous pouvez dire adieu à la collecte, au croisement et à la restitution manuelle des données !
La BI optimise votre pilotage RH et la mise en place de la BDESE en assurant un suivi simple de l’évolution de vos données RH. De plus, elle vous permet d’analyser les résultats obtenus sur une période donnée, en fonction d’objectifs précis à atteindre.
Comment ? Les reportings ou tableaux de bord RH vous permettent de cartographier la situation sociale et économique de l’entreprise à l’instant T ou sur une période donnée. Tout en incluant les conséquences environnementales de vos activités.
De plus, vous pouvez par exemple anticiper la variabilité des effectifs, identifier vos axes d’amélioration, les orientations stratégiques à venir, effectuer vos prévisions budgétaires ou encore connaître la part et les types de contrats dans votre masse salariale.
Véritable outil d’aide à la prise de décision, le tableau de bord RH vous offre donc une photographie fiable et précise de votre écosystème. L’objectif est simple : collecter, analyser et mettre en forme vos données afin de concevoir et mettre à jour une BDESE compréhensible par tous les acteurs impliqués. Tout en gagnant du temps pour vous consacrer à des tâches à forte valeur ajoutée !
Alors, prêt à vous lancer dans les tableaux de bord RH ? Découvrez comment MyReport vous permet très simplement de maîtriser les données, les analyser et ainsi prendre de meilleures décisions au quotidien notamment grâce à la centralisation des données ! Je veux parler avec un expert !
L’acronyme “Key Performance Indicator” signifie indicateur clé de performance. Ces indicateurs permettent de mesurer, de suivre et d’évaluer la performance des processus essentiels pour atteindre des objectifs stratégiques. Dans le contexte financier, les KPI sont des outils indispensables pour un Directeur Général (DG) qui cherche à comprendre la santé de son entreprise, identifier les opportunités d’amélioration et prendre des décisions éclairées.
Pourquoi les KPI financiers sont-ils essentiels pour un DG ?
Le rôle du Directeur Général est avant tout de piloter l’entreprise en fonction d’objectifs financiers, stratégiques et opérationnels. Sans une vision claire des performances financières, il devient difficile, voire impossible, d’évaluer la pérennité d’une activité ou de prioriser les investissements.
Voici 3 raisons clés pour lesquelles un DG doit maîtriser les KPI financiers :
Anticiper les risques : Des indicateurs bien suivis permettent de détecter les signes de difficultés financières avant qu’ils ne deviennent critiques.
Optimiser les performances : En identifiant les leviers d’amélioration, le DG peut allouer les ressources aux activités les plus rentables.
Communiquer avec les parties prenantes : Que ce soit pour les actionnaires, les investisseurs ou les équipes internes, les KPI financiers offrent des données concrètes pour justifier des décisions.
#1 : Le seuil de rentabilité, un indicateur clé de risque
Le seuil de rentabilité est un KPI stratégique pour mesurer la viabilité d’un modèle économique. Il détermine le niveau de chiffre d’affaires à atteindre pour couvrir l’ensemble des charges fixes et variables. En d’autres termes, c’est le moment où l’entreprise commence à générer des profits.
Comment le calculer ?
Le seuil de rentabilité se calcule comme suit :
Seuil de rentabilité =
Charges fixes
/
Marge sur coûts variables
Seuil de rentabilité = Charges fixes / Marge sur coûts variables
Seuil de rentabilité = 100 000 € / 0,4 = 250 000 €
L’entreprise devra donc générer un chiffre d’affaires annuel d’au moins 250 000 € pour être rentable.
Pourquoi ce KPI est-il crucial pour un DG ?
Mesurer la rentabilité minimale : Le DG peut évaluer si l’activité actuelle est soutenable.
Comparer les performances prévues et réelles : L’analyse des écarts permet de corriger rapidement les dérives.
Tester des scénarios : Le seuil de rentabilité est aussi utilisé dans les simulations financières pour prévoir l’impact de variations (hausse des coûts, nouvelles charges).
Les outils pour optimiser :
Avec un logiciel de Business Intelligence, vous pouvez automatiser le calcul de ce KPI et identifier rapidement les écarts par rapport aux prévisions.
#2 : La marge bénéficiaire, une métrique stratégique
Les marges bénéficiaires, qu’elles soient brutes ou nettes, figurent parmi les indicateurs les plus suivis dans les tableaux de bord financiers. Elles donnent une idée précise de la rentabilité d’une entreprise.
1. La marge brute
La marge brute est un KPI essentiel pour analyser la rentabilité des produits ou services.
🔹Elles permettent au DG de comparer les performances financières avec celles des concurrents.
🔹Une marge nette élevée garantit une meilleure capacité d’autofinancement et une sécurité accrue pour faire face aux imprévus.
Optimiser avec des solutions BI
La data visualisation permet de suivre ces KPI en temps réel. Grâce à des graphiques interactifs, un DG peut analyser l’évolution des marges et ajuster rapidement les stratégies commerciales.
#3 : La valeur ajoutée, pour évaluer la contribution économique
La valeur ajoutée est un indicateur clé pour mesurer la contribution de l’entreprise à l’économie. Elle représente la richesse créée par l’entreprise grâce à son activité.
Comment la calculer ?
La valeur ajoutée est un indicateur clé pour mesurer la richesse créée par une entreprise grâce à son activité.
#4 : Le fonds de roulement, KPI financier pour se préparer à l’avenir
Le fonds de roulement est une mesure cruciale pour évaluer la capacité de l’entreprise à financer son activité courante et ses projets à long terme. Il est étroitement lié au besoin en fonds de roulement (BFR), qui mesure les besoins financiers liés aux décalages entre les entrées et sorties d’argent.
Le calcul du fonds de roulement :
Le fonds de roulement est un indicateur essentiel pour évaluer la capacité de l’entreprise à financer son activité à long terme.
Il se calcule comme suit :
Fonds de roulement =
Ressources stables – Emplois stables
Un fonds de roulement positif indique que l’entreprise dispose de ressources suffisantes pour couvrir ses besoins à long terme. En revanche, un fonds négatif peut être le signe d’une gestion financière déséquilibrée.
3 leviers pour optimiser le fonds de roulement
Réduire les stocks inutiles.
Raccourcir les délais de paiement des clients.
Allonger les délais de règlement des fournisseurs.
#5 : La trésorerie nette, pour garantir l’équilibre financier
La trésorerie nette reflète donc les liquidités disponibles pour faire face aux besoins immédiats de l’entreprise. Elle joue un rôle crucial dans la gestion quotidienne des finances.
Comment la calculer ?
La trésorerie nette est un indicateur clé pour mesurer les liquidités disponibles d’une entreprise à court terme.
Elle se calcule comme suit :
Trésorerie nette =
Fonds de roulement – BFR
Exemple :
Fonds de roulement : 200 000 €
Besoin en fonds de roulement (BFR) : 150 000 €
Pourquoi la trésorerie est-elle stratégique ? Une trésorerie bien gérée permet de répondre aux imprévus, d’assurer les paiements courants et d’investir dans des projets stratégiques. De plus, elle rassure les partenaires financiers, notamment les banques, sur la solvabilité de l’entreprise.
Optimiser la trésorerie avec le reporting BI
Un reporting intégré offre une vue d’ensemble des flux de trésorerie. Vous pouvez ainsi anticiper les besoins et ajuster les stratégies de financement.
Dans un contexte où le pilotage de la performance financière devient un levier stratégique, disposer d’un tableau de bord clair et actualisé est essentiel pour suivre ses objectifs. Grâce à un reporting précis et automatisé, les entreprises renforcent leur capacité d’analyse, qu’il s’agisse de la mesure de la rentabilité, du suivi des encours clients ou de la gestion des fournisseurs. Un bon tableau de bord ne se contente pas d’afficher des données : il structure l’information pour offrir une vision fiable, proactive et directement exploitable par les décideurs, au service d’une performance financière durable.
Pilotez vos KPI financiers avec précision
Les KPI financiers ne sont pas uniquement des chiffres : ils représentent la santé, la performance et la viabilité de votre entreprise. En tant que Directeur Général, votre rôle est de maîtriser ces indicateurs pour prendre des décisions stratégiques et garantir la croissance de votre activité.
Grâce à des solutions comme MyReport, vous centralisez, analysez et visualisez vos KPI en temps réel, vous offrant ainsi une vue précise et complète de vos performances financières. Intéressé ? Demandez une démo dès maintenant ! 👇