Business intelligence, en finir avec le stress du cut-off ?

Le mois de septembre est une période chargée pour les équipes comptables et financières. L’été se finit tout juste qu’il est déjà temps de préparer le budget prévisionnel pour l’année qui arrive et d’anticiper le cut-off pour l’exercice qui se termine.

Lorsqu’on est DAF dans une PME ou une ETI et qu’on dispose d’effectifs limités, il faut savoir bien s’équiper pour éviter le stress de la rentrée…

La performance avant tout : le cut-off est devenu un outil de pilotage

Si l’obligation légale du cut-off est annuelle, les entreprises ont de plus en plus recours à des échéances semestrielles ou trimestrielles pour des raisons stratégiques. En effet, pour le DAF et ses dirigeants, le cut-off représente une photographie de la situation des comptes à un instant précis, à mettre en parallèle avec l’activité réelle.

En formalisant les écarts entre le réalisé et le facturé, le DAF peut suivre le déroulé des commandes et des opérations et rectifier la trajectoire (relance de facturation, état des avances). L’exercice du cut-off devient donc un véritable support pour le pilotage opérationnel et apporte une aide à la décision des plus utile.

Au delà des considérations opérationnelles, c’est également l’occasion d’affiner le pilotage fiscal et d’anticiper les besoins de financements ponctuels. Autant d’excellentes raisons d’en faire un atout et non plus une contrainte…

Automatisation et centralisation : la fin de la chasse aux infos

L’une des principales difficultés en période de budget, c’est de collecter des informations fiables auprès d’une diversité d’acteurs en un temps réduit. En s’imposant comme un réservoir de données unique, centralisé et automatisé, une solution de Business Intelligence relève le challenge avec brio.

Cette solution agit comme une interface reliée à tous les logiciels et fichiers internes pertinents : ERP, CRM, outils métiers, feuilles Excel… La Business Intelligence récolte et met en forme la donnée de manière automatisée.

Ainsi, les affaires en cours, facturées ou non, sont directement remontées dans un outil ergonomique qui permet de réaliser son budget ou ses tableaux de bord en seulement quelques clics.

Un référentiel et un langage commun pour caractériser les opérations

L’autre grande difficulté lors du cut-off, c’est la bonne caractérisation des opérations sur les projets en cours. Qui détient l’information la plus fraîche et à quoi correspondent coupablement les éléments business communiqués ? Ici aussi, la Business Intelligence se révèle utile. Elle agit comme un référentiel unifié qui traduit automatiquement les données dans un langage commun.

Le DAF passe moins de temps à caractériser les opérations et à rapprocher les écritures, il peut se concentrer sur le cas d’exceptions et le pilotage. Finalement, le contrôle de gestion est simplifié et le cut-off devient une simple formalité.

Plus de stress, la gestion autrefois laborieuse des cut-off est désormais automatisée. Une occasion en or pour se consacrer à ce qui crée réellement de la valeur : le pilotage de la performance !

La Business Intelligence libère le potentiel des équipes financières et la planification budgétaire est un aspect parmi d’autres. Pour découvrir tout ce que la BI peut apporter à votre DAF, n’hésitez pas à demander une démo de notre solution MyReport.

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Quelques éléments de rappel sur MyReport BE

MyReport BE est une solution de business intelligence et d’aide à la décision qui permet de centraliser, d’analyser et de partager toutes les données. Son objectif ? Accompagner les entreprises dans la maîtrise de leurs données.

Vous êtes client Essential ? Cliquez ici pour en savoir plus sur MyReport Business Evolution.

Toujours plus loin dans la dataviz et l’ergonomie de MyReport BE

Si vous êtes utilisateur(rice) de MyReport Business Evolution, vous avez certainement remarqué le travail que nos équipes R&D ont réalisé depuis la 3.0 (sortie en janvier 2020) sur la partie Data Visualisation.

En effet, nous avons pu constater que la dataviz s’est très bien intégrée chez nos clients, et qu’elle représente un véritable facteur de déploiement de la data dans l’entreprise. C’est ainsi que de nombreuses fonctionnalités ont vu le jour : maître-détail, embedded, cartographie…

Avec la 4.1, qui sortira le 7 septembre prochain, nous continuons donc sur notre lancée afin d’aller encore un peu plus loin dans ce que MyReport BE peut vous proposer.

De plus, nos clients grandissent et certains d’entre eux comptent un nombre de collaborateurs important. De ce fait, certains DSI et administrateurs ont rencontré des difficultés dans la gestion des utilisateurs auxquelles nous avons évidemment souhaité palier. Tadam ! Le module Administrator nouvelle version est né !

Pratiques, dynamiques et ergonomiques : découvrez les nouvelles fonctionnalités de MyReport BE 4.1

L’export des données des indicateurs d’un tableau de bord

Imaginez : vous êtes en plein rendez-vous avec un client et vous lui montrez votre écran avec un beau tableau de bord présentant ses données. Dans le mille ! Il trouve ça passionnant et vous demande de lui partager ces graphiques… Respirez ! C’est désormais possible grâce à la 4.1 !

En effet, vous pouvez désormais exporter depuis le Center la liste des données d’un indicateur graphique, d’un tableau ou d’un listing vers Excel. Cette fonctionnalité vous donne ainsi toutes les informations pour analyser facilement les données des tableaux de bord.

Les podiums

Jusqu’ici disponible uniquement dans le Builder, la fonctionnalité Podium fait sa grande entrée sur Page pour tous les rapports graphiques, listings ou tableaux. Identifier en un seul coup d’œil ses 3 premiers clients devient donc un jeu d’enfant avec la 4.1 !

Vous l’avez compris, le principe de cette fonctionnalité est de filtrer les dimensions d’un indicateur par les n premières et/ou les n dernières valeurs.

Le filtre peut se faire :

  • En nombre de valeurs : par exemple les 3 premiers clients en CA
  • En pourcentage de l’indicateur : par exemple les clients qui représentent 50% du CA du mois
  • Ou en valeur de l’indicateur : par exemple les clients avec lesquels est réalisé un CA de 1M€

Cette fonctionnalité est un véritable atout pour tous les managers qui conçoivent des tableaux de bord à destination de leurs équipes ! Quelques exemples :

  • Le/la DG qui souhaite visualiser le CA des 3 premiers commerciaux de l’entreprise
  • Le/la DAF qui souhaite se renseigner sur les clients représentant les 15 plus gros en-cours
  • Le/la DRH qui souhaite connaître les 5 plus gros salaires et des 5 derniers salaires du mois
  • Le/la directeur-rice commercial qui souhaite afficher, pour chacun de ses commerciaux, la liste des 10 premiers clients qui n’ont pas été visités depuis plus de 3 mois

Quelques éléments supplémentaires sur le podium :

  • Vous avez la possibilité de mettre en évidence les valeurs demandées par rapport aux autres afin d’avoir une vue d’ensemble de votre statistique.
  • Vous avez toujours la possibilité d’utiliser le drill et le maître détail pour creuser vos données
  • NOUVEAU : il est désormais possible d’utiliser le drill et le maître détail sur la catégorie « Autre ». La fonctionnalité Podium est ainsi plus complète et performante !

Le module Administrator

Si vous êtes DSI, alors vous connaissez bien ce module qui permet de gérer les droits des utilisateurs et groupes d’utilisateurs (et ils peuvent être nombreux dans une entreprise !). Pour cela, vous avez besoin de moyens simples pour afficher un grand nombre d’éléments, afin de comparer facilement les droits et d’identifier les utilisateurs dont les droits dérogent par exception à leur(s) groupe(s) d’appartenance.

Vous l’avez peut-être constaté, il était jusqu’ici assez compliqué d’identifier des droits spécifiques sur les utilisateurs et les groupes d’utilisateurs.

Notre équipe R&D a de ce fait travaillé sur l’ergonomie du module Administrator. D’ailleurs, bien conscients que l’expérience utilisateur est un sujet capital, nous avons accueilli il y a 1 an de cela un UX designer, qui travaille sur ces enjeux de simplicité d’usage de MyReport.

Avec ce module revisité, vous disposez d’une interface unique et d’outils de sélections combinées très pratiques pour :

  • Sélectionner les types de droits à gérer (Fonctionnalités, Modèles, ETL, Diffusions)
  • Sélectionner les groupes ou les utilisateurs
  • Comparer les éléments sélectionnés en renforçant la mise en évidence des surcharges.

Cette version 4.1 vient donc enrichir le panel de fonctionnalités de MyReport BE tout en optimisant davantage son ergonomie et sa facilité d’usage pour les métiers SI.

Reconciliez-vous avec l’exercice du budget sur Excel !

Tous les ans, c’est le même rituel de rentrée au sein des directions financières : la campagne budgétaire est lancée et les équipes doivent sortir leurs boules de cristal pour préparer l’année qui arrive. Jusqu’ici, Excel était l’allié naturel des DAF dans les PME et les ETI. Mais les choses ont bien changé avec l’arrivée de nouvelles solutions plus ergonomiques, plus faciles d’accès, et surtout beaucoup plus efficaces. On vous en dit plus ?

Le réflexe Excel : une si bonne idée que ça ?

Le réflexe Excel… Un réflexe naturel puisque l’outil existe et a été adopté par les directions financières depuis des années, voire des décennies. Mais cet outil a aussi ses limites !

Tout d’abord, pour exploiter le potentiel du logiciel et parvenir à un budget satisfaisant (c’est à dire : précis, fiable et dynamique), il faut avoir beaucoup de temps et de solides aptitudes en modélisation. Ce n’est pas toujours évident pour les financiers des PME ou des ETI, qui ont un rôle opérationnel à assumer par ailleurs.

Si la réalisation du budget en interne sur Excel est trop compliquée, il existe des templates de budget. Evidemment, toutes les entreprises ne se ressemblent pas et les enjeux budgétaires varient grandement d’un secteur à un autre. Dans ces conditions, il sera très compliqué d’établir un budget personnalisé qui garantit la performance financière de la structure.

En dernier recours, il reste toujours l’option d’externaliser auprès d’un cabinet comptable spécialisé. Mais là aussi, les inconvénients existent : surcoûts, perte d’autonomie et de réactivité, problèmes de suivi et de pilotage au cours de l’année… Avec les retraitements à la main que cela implique, la solution de facilité peut se révéler un vrai casse-tête au long cours.

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Excel a-t-il atteint ses limites pour le pilotage de votre entreprise ?

Ergonomie et automatisation : la Business Intelligence à la rescousse

Business Intelligence, ça y est le mot est lâché. Alors, de quoi parle-t-on ? Il s’agit de solutions logicielles (API ou web services) qui centralisent et analysent les données de l’entreprise. Ces données, issues de vos outils commerciaux, financiers, RH ou de production, sont réunies dans une interface ergonomique et facile à utiliser pour prendre les meilleures décisions.

Pour les directions financières, cela change tout, notamment en période de campagne budgétaire. Une fois installée, la solution va aller puiser toutes les données nécessaires à l’établissement du budget : historiques, rapport d’activité, chiffrage des nouveaux projets, évolution des indices ou des taux de financement, et toute donnée utile par définition.

Elle va ensuite fournir une analyse et des prévisions selon les paramètres choisis par l’utilisateur. Le budget ainsi édité peut être personnalisé dans ses moindres détails, et, dès qu’une information évolue dans l’un des outils métiers, la mise à jour se fait automatiquement.

Le rendu est visuel, dynamique et sur mesure. La prise en main est intuitive. Idéal pour préparer sereinement son budget !

La Business Intelligence, un véritable booster de la performance

Gain de temps, de précision, de fiabilité, les bénéfices ne se font pas attendre. Et à moyen terme, c’est toute la performance financière et opérationnelle de l’entreprise qui s’en ressent : pas de sous-évaluation ni de surévaluation, la ressource financière est pleinement exploitée.

LA DAF maîtrise parfaitement son budget et peut le faire évoluer facilement au cours de l’année.

La Business Intelligence libère le potentiel des équipes financières et la planification budgétaire est un aspect parmi d’autres. Pour découvrir tout ce que la BI peut apporter à votre DAF, n’hésitez pas à demander une démo de notre solution MyReport.

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Pourquoi le data storytelling est important pour votre entreprise ?

Lorsque l’on veut traduire des données dans une entreprise, il est important de les faire parler sans que cela devienne rébarbatif. Le data storytelling sert justement à expliquer les données en racontant une histoire personnalisée en fonction de vos interlocuteurs.   

Le data storytelling, l’outil indispensable pour faire parler vos données 

De plus en plus utilisé dans les entreprises, le data storytelling est un processus qui s’appuie sur les outils de visualisation de données. Il permet d’expliquer de façon claire et précise les données de votre entreprise. Comme elles peuvent être complexes, elles se matérialisent alors sous forme de tableaux, de graphiques, d’infographies…  

Avec l’utilisation du data storytelling, vous racontez une histoire cohérente et vous vulgarisez les chiffres sous une forme narrative et visuelle. Cela permet d’apporter une bonne compréhension à l’ensemble de vos associés et collaborateurs qui veulent connaître, de façon précise, l’activité de votre entreprise. 

Communiquez vos données clés à l’ensemble de vos équipes avec Report One 

Vous souhaitez informer vos équipes des différents indicateurs et des données clés de votre entreprise ? Report One vous aide à les partager efficacement et de façon claire.  

Grâce à notre outil MyReport, vous pouvez diffuser vos informations sous la forme de tableaux de bord. Consultables sur le web, vos données sont à votre disposition lorsque vous en avez besoin. Ainsi, vous pouvez les communiquer de façon automatique, à la demande et de manière sécurisée à l’ensemble de vos collaborateurs. 

Pourquoi la centralisation des données accélère la croissance des PME ?

Entre le CRM, le reporting financier, le logiciel RH, le suivi de la facturation et les autres, la masse de données à disposition des entreprises ne cesse de croître. Elle double même tous les ans. Mais comment être sûr de mettre toutes ces informations pleinement au service de la croissance, lorsqu’on est une PME ? Une seule solution : centraliser !

Centralisation de la donnée : comment ça marche ?

Centraliser la donnée au sein de son entreprise, c’est un chantier à trois dimensions :

  • la centralisation entre les métiers,
  • la centralisation entre les différents logiciels et sources externes,
  • la centralisation sur tous les appareils.

La première dimension est humaine et organisationnelle. Les différents services doivent rendre l’information disponible autour d’eux de manière rapide et fiable, pour créer des synergies.

La seconde dimension est logicielle. L’objectif est de relier toutes les sources d’informations, qu’il s’agisse de logiciels techniques ou de simples tableurs Excel.

La dernière dimension concerne les appareils. Grâce au Cloud, l’objectif est de rendre chaque donnée consultable partout et par tous. Depuis un téléphone, une tablette un poste fixe…

Business Intelligence : la plateforme de centralisation optimale

Pourquoi entreprendre un tel chantier ? Tout d’abord parce que c’est aujourd’hui très simple. Une solution de Business Intelligence, une fois paramétrée, ira extraire la donnée de tous les processus métiers, de tous les logiciels, de toutes les machines. Chaque information ne doit être renseignée qu’une unique fois, quelle que soit la source.

Mais la véritable raison d’être de la centralisation, c’est la croissance ! Le gain de temps et de productivité pour les équipes est considérable une fois la problématique de récolte et de contrôle de l’information évacuée. Une organisation plus performante permet alors aux collaborateurs de se concentrer sur leur mission première : le développement de l’activité.

Ensuite, les outils analytiques de la BI (reporting en direct, indicateurs de performance, tableaux de suivi) permettent de corriger plus rapidement une trajectoire lorsque c’est nécessaire.

Et cerise sur le gâteau, la centralisation supprime l’effet silo. C’est la garantie de ne laisser passer aucune opportunité : décaler une vente pour minimiser les impacts fiscaux, adapter le planning des équipes en fonction du volume d’affaires, proposer un suivi client plus personnalisé…

Au sein d’une PME, le croisement des données qui permet de détecter les nouvelles opportunités de croissance. Et pour croiser efficacement, il faut d’abord centraliser !

En centralisant ses données avec Report One, Mondorf met en place une organisation plus performante et un booste sa performance.

Un problème ?

Le groupe Mondorf exploite un centre de cure thermal, deux hôtels et six restaurants. Les dirigeants ont exprimé le besoin de connecter l’ensemble de leurs logiciels métiers (Sage, Homing, Skidata, Sopra HR), pour améliorer l’organisation et le pilotage de l’activité.

Une solution !

Mondorf se tourne vers Report One : « Nous souhaitions exploiter la solution dans son intégralité et connecter l’ensemble de nos logiciels afin de centraliser nos données », explique David Grandjean, Chef comptable.

Les décisions sont désormais fondées sur l’analyse des indicateurs de performance et notamment les KPIs financiers comme le CA, le nombre de nuitées, de couverts, de soins vendus. L’analyse précise des données a permis de réorganiser la planification des horaires de travail des employés et notamment des réceptionnistes grâce à l’exploitation des heures d’accès.

L’entreprise constate un réel gain de performance sur l’organisation des métiers et un meilleur pilotage des activités. Un véritable catalyseur de la croissance !

Comment faire rimer croissance et agilité au sein des directions financières?

Les équipes financières au sein des PME et des ETI le savent très bien. En phase d’expansion les collaborateurs sont déjà « à bloc ». Dans ce contexte, il est difficile d’obtenir des informations fiables en temps et en heure pour assurer le suivi financier, et il n’est pas aisé de fournir en retour aux opérationnels des indicateurs de pilotage digne de confiance. Alors, comment faire rimer croissance et agilité au sein des directions financières quand tout va trop vite ?

Les retraitements manuels : la bête noire des directions financières

Qui dit croissance, dit nouveaux clients, nouveaux produits, nouvelles offres. Et quand c’est nouveau… il faut souvent le faire à la main du côté de la direction financière. Or les retraitements manuels sont hautement chronophages, sources d’erreurs et d’oubli. Dans les reportings internes comme dans les comptes !

Avec la croissance, le volume de données augmente, la pertinence des analyses évolue et les opérationnels ont de nouvelles requêtes. Il faut rapidement adapter les tableaux de bord, les indicateurs et les reportings pour répondre à ces besoins. Bref, quand tout va bien, ça va souvent trop vite côté direction financière.

La Business Intelligence, une solution évolutive

Le challenge, ici, est de s’adapter à ce nouveau rythme sans déstabiliser tous les outils et les systèmes d’information internes sur lesquels est bâtis la croissance. Et c’est exactement ce que propose une solution de Business Intelligence.

Cette dernière vient extraire toute la donnée utile, depuis des logiciels internes ou des tableurs Excel. Elle trie ensuite l’information, la caractérise et la rend directement exploitable par la direction financière : pas d’effet de volume lié à la croissance.

La solution de Business Intelligence intervient comme une interface entre les outils métiers (sources de la donnée) et les équipes finances. Elles peuvent paramétrer leurs tableaux de bord avec sérénité, se débarrasser des tâches de compilation et de retraitement. Sans toucher à la donnée sous-jacente, il est alors possible de faire évoluer l’analyse financière, au même rythme que l’activité de l’entreprise.

Autonomie et prise d’initiative : la BI libère le potentiel de la DAF

Avec une solution aussi maniable et ergonomique, c’est tout le potentiel de la DAF qui est libéré. Chacun est libre de paramétrer ses indicateurs ou ses tableaux et de les faire vivre pour répondre aux nouveaux défis de l’entreprise. C’est un catalyseur d’initiatives.

Avec une agilité retrouvée, la DAF devient un acteur de la croissance à part entière.

Un exemple concret avec Report One

Erganeo retrouve agilité et sérénité en pleine croissance grâce à MyReport.

Un problème ?

Erganeo est une société d’investissement qui finance la recherche en France. Créée en 2012, l’entreprise s’est rapidement développée et les outils métiers ne répondaient plus aux nouvelles exigences internes. Les équipes souhaitaient avoir davantage de visibilité et pouvoir créer des reportings pour optimiser le pilotage financier.

Une solution !

Avec MyReport, les équipes finances peuvent désormais associer des données provenant de diverses sources sans passer par de multiples extractions. Le logiciel comptable, l’ERP, le logiciel RH et le CRM sont tous reliés.

“Il n’y a rien de mieux qu’un logiciel de BI pour devenir une entreprise data-driven, piloter ses activités et accompagner le management d’une société.” Guillaume Beckerich – contrôleur de gestion

Le service financier a désormais un accès régulier à la donnée, fiable et sécurisée. MyReport permet de minimiser les tâches redondantes et récurrentes.

La DAF constate un gain de temps essentiel et peut répondre plus facilement à ses besoins et à ceux des équipes métiers.

5 arguments pour vendre un entrepôt de données à sa direction générale

Au cœur des entreprises, le DSI est doté d’une vision transverse des besoins en données de l’entreprise, associée à une conscience des enjeux de gouvernance de la data. En tant que « Business Partner » des métiers, il est le mieux placé pour s’assurer durablement du respect des exigences de qualité, de cohérence, de stabilité et d’accessibilité des données, indispensables pour améliorer la prise de décision et la capacité d’anticipation à tous les étages de l’entreprise.

Afin d’initier une démarche décisionnelle sur des bases solides et durables, la construction d’un entrepôt de données est alors incontournable. Encore faut-il être à même d’en expliciter les bénéfices !

Comment présenter la valeur d’un entrepôt de données à sa direction générale en quelques points ultra-concrets ? Réponse ici.

1mn30 pour clarifier ce qu’est un entrepôt de données auprès de votre direction générale

L’entrepôt de données (ou datawarehouse) est une base de données indépendante, qui connecte et harmonise de grandes quantités de données provenant de multiples sources internes ou externes de l’entreprise : systèmes opérationnels de production, ERP, gestion comptable et financières, ventes, achats.

Dédié aux besoins décisionnels, l’entrepôt de données capitalise sur les systèmes d’entreprise en place mais ne se limite pas à copier les données opérationnelles. En effet, les données sont au préalable nettoyées, contextualisées et structurées automatiquement selon un référentiel propre à l’entreprise, commun à tous les métiers.

Ainsi, il constitue LA source de vérité pour une organisation donnée. Il peut alors nourrir la Business Intelligence, le reporting et l’analyse et permettre à l’entreprise d’exploiter ses données en toute confiance.

5 bénéfices clefs de l’entrepôt de données, illustrés par des situations concrètes

1. Construire une vision fiable et partagée des données

« Vous avez peut-être déjà vécu cette situation, lors d’un comité de direction. Plusieurs directions présentent leurs tableaux de bord et certaines données essentielles comme le chiffre d’affaires diffèrent. S’ensuit une discussion improductive sur la véracité et la cohérence des chiffres, au détriment d’une collaboration centrée sur le développement de l’entreprise. »

Avec un entrepôt de données, toute l’entreprise partage des indicateurs cohérents et bien compris. Pour construire un entrepôt de données, l’entreprise se dote au préalable d’un vocabulaire commun (référentiel de données), clairement défini et documenté. Cette clarification se fait d’abord métier par métier avant d’être modélisé de manière transverse, à l’échelle de l’entreprise. Le fait que les données soient normalisées, rationalisées et contextualisées permet de garantir leur cohérence, et ainsi de s’assurer de la qualité des analyses. Des alertes fondées sur les règles de gestion définies par l’entreprise permettent d’accroitre la qualité des données au plus tôt dans la chaîne.

2. Développer l’accessibilité de la donnée

« L’une des directions de votre entreprise souhaite mener une analyse spécifique pour prendre une décision majeure. Or, l’ERP ne propose que des tableaux de bord standard et certaines données ne sont pas prises en compte. Dans tous les cas, l’extraction des données prend du temps et nécessite de nombreuses manipulations, qui ne peuvent être faites que par le service informatique.»

Avec un entrepôt de données, la base de données est prête à être interrogée, à la disposition des métiers. Les solutions décisionnelles comme My Report de Report One, qui incluent à la fois un entrepôt de données et des outils simples et intuitifs de requêtage et de visualisation de la donnée rendent les données accessibles, explicites et parlantes.

Les requêtes sont également plus rapides, car l’entrepôt de données est conçu pour permettre l’extraction et l’analyse rapides des données, avec peu ou pas d’aide du service informatique. Même si un large volume de données doit être analysé, les performances des autres systèmes de l’entreprise ne seront jamais perturbées.

3. Maîtriser la sécurité de l’information

« La direction générale et la direction financière souhaiteraient avoir une vue partagée et comparable de leurs différentes filiales. Pour autant, le périmètre de chacun des managers doit être strictement respecté.»

Avec un entrepôt de données, les différentes directions gagnent en autonomie alors que l’entreprise conserve une totale maîtrise de l’information, même centralisée et consolidée. Une fois, les règles d’accès aux données définies, une gestion fine des droits d’accès permet de protéger cet actif de l’entreprise.

4. Exploiter une nouvelle richesse pour de meilleures décisions

« Un distributeur constate un écart de stock conséquent d’une année sur l’autre. Identifier l’origine de ce delta nécessite l’analyse de multiples informations, documents et procédures. Avec un entrepôt de données, il serait plus efficace de pouvoir générer des reportings très précis à partir de nouvelles données d’exploitables, détaillant avec précision les stocks. »

L’entrepôt de données permet de désiloter les données et favorise le croisement des informations pour enrichir et affiner les analyses. En outre, l’entrepôt de données donne une visibilité sur les données historiques, sans contrainte de volume. Il est donc possible d’analyser les tendances et les expériences passées, de construire des prévisionnels plus fiables et d’améliorer le pilotage de l’activité au quotidien. Les tableaux de bord, les indicateurs clés de performance, les alertes et les rapports permettent de redécouvrir les données, avec un autre regard et d’approfondir ses analyses.

5. Faire évoluer l’entrepôt de données et les solutions décisionnelles au rythme de l’entreprise

« Par principe, l’analyse décisionnelle est évolutive, en termes de données traitées, de périmètre et de modèles d’analyses. De nouvelles demandes et projets sont le signe d’une culture data qui se développe, sous l’impulsion de la curiosité et du besoin croissants des utilisateurs d’une part et de l’enrichissement des solutions par exemple en termes de de datavisualisation. »

Un système décisionnel fondé sur un entrepôt de donnée offre la possibilité de commencer à petite échelle et d’étendre le périmètre selon les besoins de l’entreprise et le développement d’une culture de la donnée dans l’organisation. La nature et le volume des données traitées peuvent évoluer sans difficulté majeure au fur et à mesure de la prise de conscience de la valeur de la donnée.

Livres blancs

Le Data Warehouse : la solution pour croiser les données des outils métiers de votre société

En synthèse, sans entrepôt de données, il est très difficile d’associer des données provenant de sources multiples, de s’assurer leur qualité et cohérence dans le temps et d’obtenir une vue éclairée des données à court, moyen et long terme. Un tel investissement permet de construire un véritable moteur d’analyse de la donnée plutôt que de réagir sous contrainte à des demandes ponctuelles. C’est l’opportunité de donner une nouvelle impulsion facilitant la prise de recul de chacun au profit de l’entreprise.

Améliorer la QVT grâce à l’analytique RH

Les événements de l’année passée, surtout le passage au télétravail ou au chômage partiel, ont enjoint les entreprises à revaloriser l’humain dans le quotidien de l’organisation tout en poursuivant leur exploration des outils de business intelligence. Puisque nous savons qu’un collaborateur épanoui est plus performant, il est logique d’appliquer l’analytique RH à la QVT. Mais comment appliquer l’analytique RH à l’expérience collaborateur ? Pour envisager le plein potentiel de l’informatique décisionnelle pour les RH, il faut tout d’abord la sortir de son cadre purement financier. Premièrement, le simple fait de s’armer d’une manière de chiffrer ses activités renforce la posture stratégique de la fonction RH. Deuxièmement, une data visualisation bien exécutée fait parler les informations collectées et permet d’identifier les aspects peu satisfaisants de l’expérience collaborateur et de la QVT. Explications.

L’analytique RH valorise l’humain

En 2017, l’IBET, système de mesure du bien-être au travail, chiffrait le coût global du mal-être au travail à hauteur de 12 600 € par an par salarié. Non seulement source d’un coût financier non négligeable, l’impact négatif d’une QVT insatisfaisante risque de s’amplifier sur les années à venir. En effet, les tendances RH actuelles montrent que l’expérience collaborateur gagne en importance pour les salariés et influent davantage sur le choix d’employeur de certains candidats. 

Avis aux décideurs, mettre l’informatique décisionnelle au service du bien-être au travail implique de sortir d’une vision ROIste uniquement centrée sur les résultats de l’activité de l’entreprise. Car une approche multidimensionnelle de la performance incorpore des facteurs liés à l’humain, comme par exemple le taux d’absentéisme. La data visualisation, issue de cette approche, contextualise à une diversité d’enjeux RH :  

  • la sortie du télétravail à venir,
  • l’efficacité des méthodes agiles, 
  • les opportunités de reskilling et d’upskilling, 
  • les nouvelles compétences techniques requises,
  • les perspectives de progression de carrière pour les salariés,
  • la parité et l’inclusion au travers des strates de l’organisation,
  • et les risques psychosociaux. 

La première raison du mal-être au travail identifiée par l’IBET est la mauvaise organisation du travail. Rappelons que la QVT se traduit également par le fait de pouvoir faire son travail dans de bonnes conditions, aussi bien physiques que sociales, psychologiques et relationnelles. Voici quelques-unes des notions encore trop en retrait dans le traditionnel reporting excel RH : la masse de travail et son organisation, les relations entre managers et les “managés” et le dialogue social. Si ces facteurs sont souvent évoqués de manière informelle, ils apparaissent peu dans une vision ROIste de la fonction RH.

Avec quelles données mesurer la QVT ? 

Pour que Business Intelligence et politique RH puissent se rejoindre, encore faut-il sélectionner les bonnes données. Appliquer l’informatique décisionnelle au bien-être au travail implique de croiser les différentes sources d’informations : le SIRH, la paie, le logiciel de temps et de présence et bien d’autres encore. Même s’il reste chiffré, le reporting excel d’un travail d’analytique RH inclut à la fois les données financières et des informations de type qualitatif, comme une série de retours d’expérience des salariés récolté par la diffusion d’un questionnaire interne. Ainsi, les informations précises, pertinentes et fiables sur lesquelles se base l’analytique RH fonctionnent de concert avec l’expertise des experts des ressources humaines et de la transformation.

À quelles données faut-il s’intéresser pour vous renseigner sur l’efficacité de votre QVT ? 

  • les démissions et les ruptures conventionnelles,
  • le taux de maladies professionnelles et d’accidents du travail,
  • les absences courtes et prolongées,
  • la fréquence des preuves de désengagement sur l’année, 
  • le détail de la masse salariale : âge, sexe, lieu de vie, pôle d’activité, etc.

Résoudre l’absentéisme à l’aide de l’analytique RH

L’analytique RH détecte la source et les facteurs aggravants d’un mal-être au travail par la mise en commun de plusieurs données d’apparence disparates. Prenons l’exemple de l’absentéisme qui se remarque par un volume chiffrable : jours d’absence, fréquence des absences, groupements par périodes de l’année, etc. Mis en relation avec la masse salariale, la problématique gagne tout de suite en contraste, car c’est la proportion par rapport au nombre total de salariés qui vous donnera une idée de l’ampleur du problème. Vous observez un taux d’absentéisme croissant au sein de votre entreprise ? Avez-vous pensé aux facteurs suivants : 

  • Est-ce le nombre de salariés absents ou le nombre de jours d’absence qui a augmenté ?
  • Quelle est la progression de la durée moyenne des absences ? 
  • À quel moment de l’année notez-vous le taux d’absentéisme le plus élevé ? Identifiez-vous des périodes particulières ? 
  • Les absences sont-elles liées à une période de travail intense ou une unité de travail ? 

Adopter le bon outil pour collecter l’ensemble de vos données RH

L’offre d’outils d’analytique RH s’est étoffée et améliorée, à commencer par un fonctionnement plus intuitif et facile d’intégration dans le quotidien des salariés. La première chose pour choisir le bon outil pour votre organisation sera d’évaluer le niveau d’appétence et d’adoption des salariés par rapport aux outils numériques. Une entreprise qui utilise déjà des interfaces de gestion de données pour le reste de son activité aura plus de chance de convaincre ses collaborateurs de numériser les processus RH du quotidien tels que la demande de congés. L’informatique décisionnelle et la data visualisation aident à contextualiser les problématiques de ressources humaines pour mieux les piloter. Dans la lignée de la Business Intelligence, l’analytique RH aide à objectiver de manière concrète les efforts de QVT et à les inscrire dans la stratégie globale de l’entreprise. Attention, l’analytique RH informe les actions des RH, mais reste un outil au service de la mise en valeur de l’humain au cœur de l’organisation.

Comment valoriser le capital humain de votre entreprise grâce à la data ?

Une démarche data-driven* n’équivaut pas seulement à un gain de performance pour l’entreprise qui l’adopte, elle a d’autres atout à faire valoir, tels que l’amélioration de l’expérience collaborateurs. Comment ? En analysant en profondeur les données de l’entreprise, nous sommes davantage en mesure de répondre aux questions et problématiques qui se posent. L’examen des informations révèle des tendances de fond susceptibles d’impacter l’évolution du secteur et de son marché de talents. L’analyse des données amène ainsi à créer un reporting RH à destination des décideurs. Dans ce processus, le data management (il s’agit du fait d’intégrer, de stocker, de gérer et de traiter la donnée) intervient comme garant de la cohérence et de la pérennité des informations. Grâce à l’analyse des données RH, la performance RH n’en est que meilleur et surtout, le capital humain de l’entreprise peut désormais être valorisé.

La data analyse au service du capital humain de l’entreprise

Embarquée dans la performance de l’entreprise, la data analyse révèle les liens qui se tissent entre le capital humain et la Business Intelligence. À l’ère de la transformation numérique menée au pas de course, l’un ne peut se passer de l’autre. Ce lien est directement visible sur le tableau de bord RH, capable de mêler facteurs humains et données collectées en masse. 

D’une part, les qualités de la collecte et du traitement des données permettent de renforcer et prouver l’efficacité des politiques RH. Ainsi, la data analyse apporte un soutien aux ressources humaines en appuyant le positionnement de ces dernières comme prescriptrices des stratégies de gestion du capital humain de l’entreprise. Elle permet donc aux RH de devenir les acteurs concrets de la transformation numérique de leur organisation. 

D’autre part, la data analyse peut venir concrétiser une vision future du travail au sein de l’entreprise à la fois génératrice d’une expérience collaborateur positive et de chiffre d’affaires. L’entreprise peut alors articuler les données révélatrices du plein potentiel de son capital humain vers une vision ROIste du bonheur au travail. Ainsi, les décisions prises en ce sens seront perçues par le reste des décideurs comme des investissements et non des mesures de saupoudrage. La data analyse confère aux DRH une autorité les plaçant à la table des décideurs, et ce, sur la durée.

Comment la data analyse renseigne-t-elle la politique RH ?

La data analyse dessine une image granulaire des enjeux humains de l’entreprise rendue par des reportings ou en s’affichant sur un tableau de bord RH rendu lisible par la data visualisation (une méthode pour communiquer les donnés de manière graphique). Ces “prises de vue” à un instant T ou sur une période délimitée informent la démarche RH dans la gestion du vivier de talents au sein de l’organisation. Absentéisme, départs à la retraite, activité partielle, désir de mobilité des salariés, télétravail, tous ces enjeux peuvent être sujets à une approche basée sur la data analyse. Par la présentation d’informations rationalisées et cohérentes, les ressources humaines passent d’une fonction support incomprise à un levier de performance quantifiable. 

En tirant les conclusions d’un reporting RH détaillé, des stratégies anticipatives ou correctives concrètes et quantifiables peuvent être exposées aux dirigeants. Voici un florilège de missions RH liées au capital humain de l’entreprise qui peuvent faire l’objet de data analyse : 

  • la mise à jour des critères de performance,
  • l’anticipation des recrutements face aux départs prévus ou imprévus,
  • un meilleur sourcing de talents grâce au ciblage salarial ou géographique des offres,
  • la gestion des populations vieillissantes dans l’entreprise,
  • la gestion de la masse salariale dans le cadre de la crise sanitaire : l’activité partielle, le télétravail, les plans de reclassement des postes et la reprise du présentiel,
  • l’identification d’éventuels biais au sein de l’entreprise pour contribuer à remplir les objectifs de la parité et d’inclusion, 
  • la détection des tendances à l’absentéisme, 
  • la mise en évidence des tendances de désengagement et de départs,
  • la rétention de talent en proposant une formation complémentaire, une évolution de carrière, des avantages ou encore une augmentation à un salarié sur le départ, 
  • la mise en lumière des leviers de motivation et l’identification des périodes pendant lesquelles celle-ci est accrue.

Remettre la data analyse dans un contexte de reporting RH

La data analyse appuie l’investissement dans le capital humain duquel sont responsables les RH. Elle ne peut en aucun cas faire cavalier seul et doit être couplée avec l’expérience des RH. Après tout, ce sont eux et elles qui détiennent la véritable expertise du capital humain de l’entreprise et notamment les softs skills essentiels à la mise en pratique des décisions. Un reporting RH peut nous en apprendre beaucoup, mais il ne remplace pas les échanges humains entre les diverses parties prenantes de l’organisation et les collaborateurs. Car c’est à la croisée de la transformation des entreprises et du capital humain que la data analyse prend tout son sens. 

(*) data-driven qualifie une approche stratégique d’entreprise orientée par la récolte, l’analyse et la visualisation de la donnée. 

Par quels moyens garantir la fiabilité de ses données ?

Aujourd’hui, les datas occupent une place fondamentale dans le pilotage d’une PME. Pour pouvoir analyser des indicateurs pertinents et prendre les meilleures décisions, privilégiez la qualité à la quantité. Mais comment s’assurer de la fiabilité des données ? Report One vous informe.

3 règles à respecter pour garantir la fiabilité de ses données

Empêcher les erreurs de saisie

Une simple erreur de saisie peut anéantir à elle seule la qualité des données collectées et les tableaux de bord qui en découlent. De plus, vous aurez toutes les peines du monde à l’identifier dans une masse conséquente de datas.

Assurer la fiabilité de ses données passe par la sécurisation au maximum des champs de saisie.

Privilégier le recours aux API

Une API désigne une porte au sein d’une application qui permet d’exporter certaines données de façon automatique dans votre outil d’analyse. Ce système assure la fiabilité de vos données et soulage vos équipes d’un travail de reporting fastidieux.

Trier les données collectées

Après avoir recueilli des données de qualité, vous devez vous assurer de leur exactitude. Pour ce faire, le data cleaning vous aide à identifier les données mal orthographiées, manquantes ou erronées.

Livres blancs

Améliorer le pilotage de la performance de votre entreprise

Comment automatiser le traitement de ses données ?

Le recours à un logiciel de gestion des données s’avère indispensable pour garantir leur fiabilité à chaque étape du processus : collecte, analyse et partage auprès de vos collaborateurs. Il centralise toutes vos datas au sein d’un même espace, en local ou dans le cloud, et vous développez vos propres tableaux de bord pour les exploiter

Report One vous accompagne dans l’amélioration de la qualité de vos données. Contactez nos conseillers pour découvrir la démo de notre solution MyReport !

BI : comment concilier sécurité et démocratisation des données ?

L’exploitation des données au service d’une stratégie ou d’un gain de performance se démocratise à toute vitesse. Direction générale, DAF, ressources humaines ou encore services commerciaux prennent progressivement leur autonomie vis-à-vis de la DSI et peuvent désormais consulter et mettre en forme eux-mêmes des données essentielles à leur activité. Un nouveau rapport à l’information plus égalitaire mais qui pose une question cruciale : celle de la sécurité. Comment multiplier les accès sans multiplier les risques d’intrusions ou de faille ?

Choisir des outils conçus pour des usages décentralisés

La décentralisation de l’information et la démocratisation des accès ne peuvent être opérées à partir des mêmes outils qui servaient auparavant une gestion centralisée des données. Leur accessibilité, leur ergonomie mais aussi et surtout leur sécurité doivent être entièrement repensées pour répondre à ces nouveaux défis. La gestion des accès est donc une fonction-clé des solutions permettant des usages décentralisés. La DSI doit pouvoir déterminer à tout moment les droits d’accès de chacun, en fonction de son métier, son service et son statut hiérarchique, sur chaque flux de données. Un contrôle complet qui permet d’avoir une vision claire de la distribution de l’information au sein de l’entreprise et donc de prévenir toute faille de sécurité.

Cartographier les besoins

Pour définir avec précision les droits de chacun, un travail de cartographie des besoins devra être réalisé en amont. L’objectif sera alors de répondre à la question : qui peut accéder à quelle information pour quel usage ? Pour chaque flux de données, une liste précise d’utilisateurs autorisés à y accéder devra alors être établie. Une liste qui pourra facilement changer en fonction des évolutions stratégiques et des besoins exprimés ultérieurement par les métiers.

Développer une culture de la sécurité

En matière de sécurité, le maillon faible est le plus souvent le facteur humain. D’après une étude menée par IBM en 2018, l’erreur humaine et la négligence sont en effet les causes principales de 95% des brèches de cybersécurité. Une solution sécurisée sur le plan technique ne suffit donc pas à assurer une protection optimale des données. Une véritable culture de la sécurité doit être développée en interne par des formations, une action pédagogique de la DSI et la définition de processus adaptés au degré de sensibilité de chaque information. Il faut cependant noter que cette nécessité n’est pas exclusive aux architectures décentralisées. Que les données soient fournies au cas par cas par la DSI ou en libre-accès auprès des métiers, les risques d’une défaillance humaine sont en tout point identiques.

La démocratisation de l’accès aux données n’est ainsi pas synonyme de menace pour la sécurité des données mais simplement d’évolution dans leur mode de gestion. Le choix d’une solution adaptée permettant une gestion des accès extrêmement fine des accès apparaît comme le meilleur moyen de distribuer l’information tout en la controlant.

DSI : 3 conseils pour travailler de manière plus agile avec les métiers

Les relations entre la DSI et les métiers sont parfois tendus voire conflictuels. Et pour cause : souvent relégués à la gestion purement technique des outils numériques, les responsables des systèmes d’information sont parfois contraints de modérer les attentes de leurs collaborateurs, notamment en matière d’autonomie. Mais la transformation numérique en cours et le rôle désormais central des données pousse aujourd’hui les DSI à se réinventer. Leur objectif : coopérer de façon plus agile avec les responsables administratifs et financiers, les spécialistes des ressources humaines mais aussi la direction générale ou encore les commerciaux. Voici trois conseils pour développer concrètement ces nouvelles synergies.

1 – Développer les outils en libre-service pour démocratiser l’accès aux données

Pour orienter leur action, les métiers ont besoin de tableaux de bord adaptés à leurs problématiques du moment et de KPI choisis en accord avec leur stratégie. Pour accéder à ces données, ils doivent généralement solliciter la DSI et ainsi enclencher un processus de collaboration qui se révèle bien souvent chronophage pour les deux services impliqués. Autonomiser ces utilisateurs en leur permettant d’accéder eux-mêmes aux données permet de diminuer considérablement la charge de travail de la DSI tout en donnant aux métiers la souplesse et l’autonomie dont ils ont tant besoin.

Des outils de BI en self-service peuvent ainsi transformer en profondeur les rapports entre spécialistes de l’informatique et utilisateurs finaux. Pour mener à de réels gains de productivité, cette autonomisation doit cependant s’appuyer sur des outils intuitifs permettant de personnaliser simplement et rapidement la mise en forme des données par des non-spécialistes.

2 – Etablir une stratégie de data management

Une telle démarche de décentralisation des données ne s’improvise pas ! Une véritable stratégie de data management est indispensable pour assurer aux métiers un accès constant à des données de qualité. Une telle stratégie peut se concevoir en trois étapes :

  • Centraliser les données dans un entrepôt commun

Créer une base de données unique simplifie les processus et fluidifie la communication entre les services. Les données fournies aux utilisateurs sont ainsi uniformes, exhaustives et à jour.

  • Structurer et fiabiliser les données

Etant donné le caractère stratégique des données dans l’action des métiers, leur exactitude est un enjeu primordial. Pour assurer une qualité irréprochable de l’information, il s’agit alors de structurer les données en assurant leur traçabilité et, lorsque c’est possible, en automatisant le reporting existant.

  • Cartographier les usages

Qui, au sein de l’entreprise, a besoin de quelles données ? A quelles fins ? Voilà les questions auxquelles il s’agit de répondre pour paramétrer le contrôle des accès, anticiper les besoins de formation ou encore dimensionner et paramétrer les outils en self-service.

3 – Automatiser vos tâches chronophages pour vous concentrer sur les tâches à forte valeur ajoutée

Sauvegardes automatiques, pilotage intelligent des ressources et de l’approvisionnement réseau, gestion des configurations… De nombreuses tâches autrefois chronophages sont désormais simplifiées voire éliminées par l’automatisation. Une occasion pour les DSI de se rapprocher des métiers en assumant un rôle de conseil. Libérés de ces tâches à faible valeur ajoutée, les responsables des systèmes d’information peuvent se muer en stratèges numériques. Ils se consacrent dès lors à des fonctions de prospective sur les nouveaux outils et technologies à adopter, d’optimisation de processus métiers existant ou encore de formation des utilisateurs finaux pour développer toujours plus leur autonomie.

Travailler de façon plus agile avec les métiers revient ainsi à leur offrir une plus grande autonomie tout en assurant la fiabilité des données auxquelles ils accèdent et la performance de leurs outils. Une transformation qui, loin de dévaluer la fonction de la DSI, lui permet d’assumer un rôle véritablement stratégique.

En adoptant des outils adaptés comme MyReport, la DSI peut transformer en profondeur sa relation avec les métiers. En facilitant l’accès aux données via une BI en libre-service, en structurant une gouvernance des données efficace et en automatisant les tâches chronophages, elle passe d’un rôle de support technique à un véritable partenaire stratégique.

Avec MyReport, les métiers gagnent en autonomie tout en bénéficiant d’une donnée fiable et sécurisée, sans alourdir la charge de travail des équipes IT. Une approche gagnant-gagnant qui permet à la DSI de se recentrer sur des missions à plus forte valeur ajoutée : pilotage des innovations, optimisation des processus et accompagnement des équipes dans l’exploitation des données.

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