Reporting extra-financier : contrainte ou opportunité pour le DAF ?

Le reporting extra-financier ESG (Environnemental, Social, Gouvernance) s’impose progressivement comme un enjeu clé pour les entreprises, porté par des attentes croissantes des parties prenantes : investisseurs, clients, régulateurs. Ces indicateurs visent à mesurer non seulement la performance financière, mais également l’impact global de l’entreprise sur la société et l’environnement. Cette tendance, renforcée par des régulations comme la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), bien que ne s’appliquant pas encore directement aux PME, incite toutes les entreprises à préparer leur transition vers une gestion plus durable et transparente.

C’est souvent le Directeur Administratif et Financier (DAF) qui hérite de cette mission, qui est souvent perçue comme une contrainte. Mais ce rôle supplémentaire est-il une simple corvée, ou peut-il devenir une véritable opportunité stratégique pour le DAF et son entreprise ?


Le reporting extra-financier est bel et bien un défi pour le DAF

L’accès aux données nécessaires est souvent complexe

Les indicateurs ESG nécessitent de collecter des données éparpillées dans plusieurs départements. Par exemple, les données environnementales peuvent provenir des équipes techniques ou des responsables d’approvisionnement, tandis que les indicateurs sociaux dépendent souvent des ressources humaines. Le DAF doit jouer un rôle de coordination transverse, ce qui représente une charge de travail importante dans des organisations où ces processus ne sont pas encore structurés. Sans un système centralisé, ces collectes se révèlent fastidieuses et sujettes à des erreurs.

reporting excel manuel complexe

Les outils métiers en place sont peu adaptés

La majorité des outils financiers classiques ne permettent pas de répondre aux exigences complexes de ce reporting extra-financier. Par conséquent, de nombreux DAF se retrouvent à gérer des processus manuels, souvent sous Excel, pour tenter de répondre aux besoins de transparence. Ces outils, bien qu’efficaces pour des tâches financières traditionnelles, ne sont pas conçus pour analyser des données qualitatives ou quantitatives issues de multiples sources.

Les attentes liées au reporting extra-financier sont élevées et parfois floues

Les régulateurs et les investisseurs exigent des données ESG fiables, compréhensibles et conformes à des normes variées telles que le GRI (Global Reporting Initiative) ou le SASB (Sustainability Accounting Standards Board). Toutefois, l’absence de standards universels rend leur mesure délicate. Les DAF doivent également composer avec des attentes fluctuantes des parties prenantes, qui cherchent souvent à adapter ces indicateurs à leurs propres besoins.


Mais un défi qui peut être transformé en opportunité stratégique

Renforcer la transversalité et le leadership

La gestion des données ESG positionne le DAF comme un acteur transversal, en lien direct avec tous les départements de l’entreprise. Cette mission offre l’opportunité de démontrer ses compétences de leadership en pilotant un projet structurant pour l’organisation. En devenant le garant des données stratégiques ESG, le DAF renforce son influence interne et améliore sa collaboration avec les directions RH, techniques et marketing.

Apporter une vision globale

Les indicateurs ESG offrent une perspective unique, complémentaire à celle des données financières. Par exemple, mesurer l’empreinte carbone, le bien-être des salariés ou la gouvernance d’une entreprise permet d’apprécier sa performance à travers un prisme plus complet. Le DAF, en apportant cette vision d’ensemble, aide la direction à aligner les objectifs stratégiques sur des enjeux durables, renforçant ainsi la réputation et l’attractivité de l’entreprise.

indicateurs RH suivi activité

Améliorer les processus de gestion des données

L’intégration des données ESG pousse naturellement à revoir les systèmes d’information et les outils de collecte. Les plateformes modernes, telles que les solutions de reporting et d’analyse de données comme MyReport, permettent de centraliser les données et d’automatiser les collectes. En améliorant la qualité et la traçabilité des données, le DAF peut optimiser non seulement les processus ESG, mais aussi les processus financiers classiques.


Les bonnes pratiques pour relever le défi du reporting ESG

Centraliser les données dans un entrepôt unique

La centralisation des données permet une vue d’ensemble fiable et cohérente. En regroupant les données issues de différentes sources dans une plateforme unique, le DAF réduit les risques d’erreurs, facilite les mises à jour et garantit une meilleure transparence. Un entrepôt de données performant permet aussi de croiser les données ESG avec les données financières pour des analyses encore plus pertinentes.

MyReport - Onglet 1 - Consolidation des données

Automatiser les collectes récurrentes

Les collectes manuelles sont non seulement chronophages mais aussi sujettes aux erreurs. En adoptant des outils d’automatisation, le DAF peut garantir une collecte régulière, fiable et rapide des données ESG. Cela permet également de libérer du temps pour se concentrer sur l’analyse et l’interprétation des résultats.

Structurer les indicateurs selon des référentiels reconnus

S’appuyer sur des standards comme le GRI ou le SASB offre une structure précise et facilite la compréhension des rapports par toutes les parties prenantes. Ces référentiels permettent également de comparer la performance ESG avec celle d’autres entreprises, renforçant ainsi la crédibilité des données.

Il ne tient qu’au DAF d’envisager le reporting extra-financier comme une opportunité

Loin d’être une simple contrainte, le reporting extra-financier représente une opportunité stratégique pour le DAF. En devenant le garant des données extra-financières, il joue un rôle central dans la stratégie durable de l’entreprise et renforce son influence auprès de la direction. Cette responsabilité lui permet de moderniser les processus, d’améliorer la qualité des données et de contribuer à la réputation de l’entreprise.

Avec les bons outils et une organisation adaptée, le DAF peut transformer cette mission en un levier de différenciation et de performance pour l’entreprise. Le reporting ESG n’est donc pas seulement une obligation à respecter, mais bien une chance unique de réaffirmer la valeur ajoutée du DAF dans un monde en pleine transformation.

tableaux de bord pour dirigeants

Avec MyReport, vous disposez d’une plateforme intuitive et puissante pour automatiser vos collectes, structurer vos indicateurs selon les référentiels clés, et produire des analyses croisées qui mettent en lumière vos performances ESG et financières. Libérez-vous des tâches répétitives pour vous concentrer sur ce qui compte : l’interprétation des données et la prise de décisions stratégiques.

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Les 6 meilleures alternatives à EMAsphère pour le pilotage financier des PME et ETI (2026)

EMAsphère est une solution reconnue pour structurer rapidement le pilotage financier des PME. Selon le niveau de personnalisation attendu, les compétences disponibles en interne ou la volonté d’élargir le pilotage au-delà de la finance, d’autres solutions peuvent toutefois être plus adaptées. Cet article passe en revue les principales alternatives à EMAsphère, en mettant en perspective leurs usages, leur niveau de technicité et leur adéquation aux enjeux des PME et ETI.

1. MyReport : l’alternative française pour un pilotage financier simple et évolutif

Cette solution s’adresse aux PME et ETI qui veulent structurer leur pilotage financier et leur reporting sans dépendre de compétences techniques, tout en conservant des usages simples (notamment Excel) et une forte capacité d’évolution.

Pourquoi c’est une alternative à EMAsphère

MyReport permet de couvrir les besoins de pilotage financier tout en offrant une approche beaucoup plus souple que les solutions reposant exclusivement sur des modèles standards. La solution se distingue par sa facilité d’usage, accessible aux utilisateurs métiers sans compétences techniques, et par sa capacité à évoluer avec l’entreprise.

À retenir

  • Prise en main rapide par les équipes finance et métiers
  • Aucun langage technique requis
  • Conservation des usages Excel
  • Adaptée aux enjeux des PME et des ETI
  • Pilotage financier et data dans un même outil

Points de vigilance

  • Nécessite un cadrage initial des modèles de données
  • Approche plus structurante qu’un outil purement clé en main

2. Finthesis : l’alternative pour structurer rapidement un pilotage financier standard

Cette solution, conçue en premier lieu pour les cabinets d’Experts-Comptables, s’adresse aux PME qui veulent mettre en place rapidement un pilotage financier standard, à partir de modèles préparamétrés, sans projet long ni paramétrage complexe.

Pourquoi c’est une alternative à EMAsphère

Finthesis repose sur des modèles financiers préconstruits permettant de produire rapidement des reportings normés (résultat, trésorerie, indicateurs de performance). Elle répond efficacement aux besoins des PME souhaitant structurer leur pilotage sans projet long.

À retenir

  • Modèles financiers standardisés prêts à l’emploi
  • Déploiement rapide
  • Forte orientation finance / DAF

Points de vigilance

  • Personnalisation limitée hors modèles
  • Peu adaptée aux règles métiers spécifiques
  • Extension à d’autres fonctions (RH, ventes) restreinte

3. Amelkis EPM : l’alternative pour les organisations financières déjà très normées

Cette solution s’adresse aux organisations disposant déjà d’une fonction finance mature, qui recherchent un cadre normé et conforme pour la consolidation, le budget et le reporting réglementaire.

Pourquoi c’est une alternative à EMAsphère

Amelkis EPM s’inscrit dans une logique de pilotage financier normé et structuré, proche de celle d’EMAsphère, mais avec un périmètre plus large sur les sujets réglementaires et de consolidation.

À retenir

  • Forte couverture des besoins financiers structurés
  • Adaptée aux organisations déjà matures financièrement
  • Logique de conformité et de normalisation

Points de vigilance

  • Mise en œuvre plus lourde
  • Peu orientée self-service
  • Faible transversalité métier

4. Board : l’alternative pour le pilotage stratégique global et la simulation

Cette solution s’adresse aux entreprises qui souhaitent centraliser pilotage stratégique, planification et simulation dans un outil unique, et qui sont prêtes à mener un projet structurant.

Pourquoi c’est une alternative à EMAsphère

Board est parfois choisie par des entreprises souhaitant dépasser le simple reporting financier pour intégrer planification, simulation et pilotage stratégique dans un même outil.

À retenir

  • Vision stratégique élargie
  • Fonctions avancées de planification
  • Solution reconnue à l’international

Points de vigilance

  • Outil complexe
  • Coût élevé
  • Souvent surdimensionné pour une PME

5. Power BI : l’alternative BI pour les entreprises avec des profils techniques

Cette solution s’adresse aux entreprises disposant de profils techniques capables de concevoir, maintenir et faire évoluer des modèles financiers et analytiques sur mesure.

Pourquoi c’est une alternative à EMAsphère

Power BI est fréquemment utilisé comme alternative lorsque l’entreprise souhaite construire ses propres reportings financiers, notamment dans des environnements très Microsoft.

À retenir

  • Grande liberté de modélisation
  • Large écosystème
  • Puissance analytique reconnue

Points de vigilance

  • Nécessite des compétences techniques (DAX, modélisation)
  • Forte dépendance à l’IT ou à un intégrateur
  • Gouvernance et diffusion parfois complexes pour les PME

6. Qlik Sense : l’alternative analytique pour explorer ses données financières

Cette solution s’adresse aux organisations qui privilégient l’analyse approfondie et l’exploration multidimensionnelle des données financières et opérationnelles, au-delà du reporting normé.

Pourquoi c’est une alternative à EMAsphère

Qlik Sense est utilisée par des entreprises souhaitant analyser finement leurs données financières et opérationnelles, au-delà du reporting normé.

À retenir

  • Excellente capacité d’analyse multidimensionnelle
  • Puissance du moteur associatif
  • Adaptée à des besoins analytiques complexes

Points de vigilance

  • Moins orientée reporting financier standard
  • Courbe d’apprentissage réelle
  • Nécessite des profils analytiques

Tableau récapitulatif des alternatives à EMAsphère

Ces alternatives à EMAsphère se distinguent principalement par leur niveau de technicité, leur capacité de personnalisation et leur adéquation aux contraintes des PME et ETI. Si certaines solutions privilégient un cadre financier très normé ou une puissance analytique avancée, d’autres misent davantage sur la simplicité d’usage et l’autonomie des équipes. Le tableau ci-dessous permet de visualiser rapidement ces différences.

Solution Orientation principale Niveau technique requis Personnalisation Cible
MyReport Pilotage financier & data métier Faible Élevée PME / ETI
Finthesis Pilotage financier normé Faible Limitée PME
Amelkis EPM EPM financier & conformité Moyen Moyenne PME / groupes
Board Pilotage stratégique & planification Élevé Élevée ETI / grands comptes
Power BI BI généraliste Élevé Très élevée PME / ETI
Qlik Sense BI analytique avancée Élevé Très élevée ETI / grands comptes

Conclusion

Choisir une alternative à EMAsphère dépend avant tout de votre contexte et de vos priorités. Certaines solutions répondent très bien à des besoins de pilotage financier normé et rapide à mettre en place, tandis que d’autres privilégient la puissance analytique ou la planification stratégique, au prix d’un niveau de technicité plus élevé et de projets plus structurants.

La question clé n’est donc pas seulement de savoir quelle solution est la plus complète sur le papier, mais plutôt quel équilibre vous recherchez entre standardisation, personnalisation et autonomie des équipes. Pour les PME et ETI, ce choix est souvent déterminant : un outil trop rigide limite l’évolution du pilotage, tandis qu’un outil trop technique crée une dépendance durable à l’IT ou à des experts.

Dans ce contexte, des solutions comme MyReport se positionnent différemment, en proposant un pilotage financier robuste et évolutif, tout en restant accessible aux utilisateurs métiers et adapté aux contraintes des PME et ETI. L’enjeu n’est alors plus seulement de produire des reportings, mais de construire un dispositif de pilotage capable d’évoluer avec l’entreprise.

Questions les plus fréquentes.

La meilleure alternative à EMAsphère pour une PME dépend du niveau de standardisation et d’autonomie attendu. Les solutions basées sur des modèles préparamétrés conviennent bien pour un pilotage financier normé, tandis que d’autres outils permettent davantage de personnalisation et d’ouverture à d’autres fonctions, sans nécessiter de compétences techniques avancées.

Oui, certaines alternatives à EMAsphère ont été conçues pour être utilisées directement par les équipes finance et métiers, sans langage technique ni dépendance forte à l’IT. Ces solutions privilégient la simplicité d’usage, l’autonomie des utilisateurs et la continuité avec des outils familiers comme Excel.

Les solutions EPM sont principalement orientées pilotage financier normé, consolidation et conformité réglementaire. Les solutions de Business Intelligence, quant à elles, offrent une approche plus large du pilotage, intégrant la gestion de la donnée, l’analyse multi-sources et la visualisation, avec des niveaux de technicité variables selon les outils.

Les PME et ETI privilégient généralement des solutions capables de combiner pilotage financier, évolutivité et facilité d’usage. Une alternative pertinente est donc une solution qui permet de structurer le reporting financier tout en restant accessible aux utilisateurs métiers et capable d’évoluer avec les besoins de l’entreprise.

Directions financières : ce que révèle l’étude DFCG & PwC sur les priorités 2026

L’étude « Priorités 2026 des Directions Financières », réalisée par la DFCG et PwC auprès de plus de 220 dirigeants financiers issus majoritairement de PME et d’ETI, mais aussi de grands groupes, met en évidence une évolution nette des attentes et des arbitrages au sein de la fonction Finance en France.

L’incertitude économique, la pression réglementaire, la contrainte sur les ressources et l’accélération des transformations technologiques redéfinissent les attentes vis-à-vis de la Finance. Celle-ci n’est plus seulement attendue sur la production de chiffres fiables ou sur la conformité, mais sur sa capacité à piloter la performance, anticiper les trajectoires et éclairer les décisions stratégiques.

Les résultats de l’étude sont révélateurs de cette évolution. Le pilotage de la performance redevient la priorité n°1 des directions financières à horizon 2026, devant la gestion du cash et l’efficience des processus. Dans le même temps, 86 % des répondants anticipent une stabilité ou une baisse des coûts de la fonction Finance, alors même que les besoins de reporting, d’analyse et de transformation continuent de croître. Cette tension structurelle impose aux directions financières de repenser leurs modèles de pilotage et leurs modes de fonctionnement.

L’étude met également en évidence un décalage persistant entre ambitions et réalité opérationnelle. Si les directions financières affichent des attentes élevées en matière d’anticipation, de scénarisation et d’exploitation de la donnée, elles restent freinées par des environnements data hétérogènes et des processus encore largement manuels, notamment sur le reporting et les données extra-financières.

Autrement dit, les enjeux mis en lumière par l’étude DFCG & PwC ne sont pas uniquement technologiques. Ils portent avant tout sur la structuration du pilotage, la fiabilisation de la donnée et la capacité à transformer le reporting en un véritable levier de décision.

C’est à partir de cette lecture que nous proposons, dans cet article, une analyse des principaux enseignements de l’étude et de la manière dont MyReport apporte des réponses concrètes et pragmatiques aux priorités identifiées par les directions financières à l’horizon 2026.

Priorités 2026 : ce que cela implique concrètement
Constat (étude DFCG & PwC) Conséquence opérationnelle
Pilotage de la performance élargi (au-delà du P&L) Unifier les lectures rentabilité / cash / BFR et décliner par responsables pour éviter les arbitrages “à l’aveugle”.
Discipline cash renforcée et suivi BFR plus régulier Mettre en place des indicateurs partagés et des routines de suivi pour détecter plus tôt les tensions de liquidité.
Pression d’efficience : plus de demandes, moins de marge de manœuvre Risque : reporting manuel qui consomme le temps d’analyse.
Priorité : automatiser et standardiser pour libérer du temps utile.
Ambitions data/analytique freinées par la fiabilité et la gouvernance Stabiliser les référentiels, les règles de calcul et la qualité des données avant de viser des usages avancés.
Objectif : transformer le reporting en levier de décision, sans alourdir l’organisation.

1. Le pilotage de la performance redevient la priorité n°1

Le retour du pilotage de la performance en tête des priorités n’est pas un simple effet de balancier.

Il traduit une prise de conscience : les modèles de lecture historiques ne suffisent plus pour piloter l’entreprise dans un environnement imprévisible.

Pendant longtemps, le pilotage s’est concentré sur une lecture essentiellement financière, largement centrée sur le compte de résultat, avec une analyse a posteriori et une granularité limitée. Or, cette approche montre aujourd’hui ses limites.

Le baromètre met en évidence une évolution nette des attentes :

  • élargissement du périmètre d’analyse au bilan et à la trésorerie,
  • intégration du BFR dans les modèles de performance,
  • prise en compte croissante des dimensions extra-financières,
  • besoin d’analyses plus fines par activité, projet ou centre de responsabilité.

Ce mouvement traduit une volonté de comprendre les moteurs réels de la création de valeur, et pas seulement d’en constater les résultats agrégés.

Une performance devenue systémique

La performance n’est plus perçue comme un indicateur isolé, mais comme un système d’équilibres :

  • équilibre entre rentabilité et génération de cash,
  • équilibre entre croissance et consommation de ressources,
  • équilibre entre court terme et soutenabilité.

Pour les directions financières, cela implique de faire évoluer leurs modèles de pilotage vers plus de transversalité, mais aussi vers plus de cohérence et de lisibilité pour les décideurs.

Ce que MyReport apporte

MyReport permet de structurer cette évolution en fournissant un cadre de pilotage :

  • capable de consolider des données issues de multiples sources,
  • structuré autour d’indicateurs homogènes et partagés,
  • adaptable à différents niveaux de lecture (direction générale, responsables opérationnels, finance).

En facilitant la création de tableaux de bord multi-dimensions et leur diffusion automatisée, MyReport aide les directions financières à reprendre la maîtrise de leur modèle de pilotage, sans complexifier l’existant.

2. La gestion du cash et du BFR : d’un sujet financier à un enjeu d’entreprise

La gestion du cash reste solidement ancrée comme deuxième priorité des directions financières.

Mais le baromètre montre une évolution qualitative : le cash n’est plus traité comme un sujet purement financier, mais comme un enjeu collectif et transversal.

Dans un environnement marqué par :

  • des tensions sur le financement,
  • une volatilité accrue des flux,
  • des délais de paiement sous surveillance,

les directions financières cherchent à renforcer leur capacité d’anticipation plutôt que de subir les variations de trésorerie.

Vers un pilotage plus continu du cash

Les leviers cités par les répondants illustrent cette mutation :

  • tableaux de bord plus fréquents et plus opérationnels,
  • seuils et alertes pour détecter les tensions en amont,
  • automatisation des prévisions,
  • meilleure intégration entre finance, opérations et commerce.

Le pilotage du cash devient un exercice quasi permanent, qui nécessite des données fiables, accessibles et partagées.

Le BFR comme révélateur opérationnel

Le BFR est de plus en plus perçu comme un indicateur de fonctionnement global de l’entreprise.

Il révèle des dysfonctionnements opérationnels (facturation, recouvrement, achats), mais aussi des arbitrages stratégiques (conditions commerciales, politique fournisseurs).

Encore faut-il disposer d’une lecture claire et régulière pour agir efficacement.

Ce que MyReport apporte

MyReport permet aux directions financières de :

  • structurer des tableaux de bord cash et BFR exploitables dans la durée,
  • suivre les indicateurs clés avec une granularité suffisante,
  • diffuser ces indicateurs au-delà de la seule équipe finance.

En rendant le pilotage du cash plus lisible et plus partagé, MyReport contribue à installer une culture cash opérationnelle, condition indispensable pour passer d’une logique réactive à une logique proactive.

3. L’efficience des processus devient une contrainte structurante

Pour la première fois, l’efficience des processus entre clairement dans le top 3 des priorités.

Ce signal est particulièrement révélateur de la pression exercée sur les directions financières.

Les équipes Finance doivent :

  • absorber une inflation des besoins de reporting,
  • gérer des exigences réglementaires croissantes,
  • accompagner la transformation de l’entreprise,

le tout avec des budgets souvent stables, voire en baisse.

Le reporting comme point de friction

Le baromètre identifie très clairement le reporting comme le premier gisement de productivité.

Non pas parce qu’il serait inutile, mais parce qu’il est encore trop souvent :

  • fragmenté,
  • manuel,
  • redondant,
  • consommateur de temps à faible valeur ajoutée.

Cette situation limite la capacité des équipes à se concentrer sur l’analyse et le conseil.

Ce que MyReport apporte

MyReport agit directement sur ce point de friction en :

  • automatisant la consolidation des données,
  • standardisant les formats de restitution,
  • fiabilisant les mises à jour,
  • organisant la diffusion de manière structurée.

Le gain n’est pas seulement opérationnel.

Il est aussi stratégique : en réduisant la charge liée à la production du reporting, MyReport libère du temps pour l’analyse, la compréhension des écarts et l’anticipation.

4. L’IA progresse, mais révèle les fragilités du socle data

L’étude met en lumière un paradoxe désormais bien installé : l’IA suscite un fort intérêt, mais reste difficile à industrialiser dans la fonction Finance.

Si les cas d’usage sont nombreux et pertinents, la majorité des initiatives restent à l’état de pilotes ou de tests localisés.

Des freins structurels plutôt que technologiques

Les obstacles identifiés sont récurrents :

  • qualité inégale des données,
  • multiplicité des sources,
  • processus insuffisamment stabilisés,
  • gouvernance encore immature.

Ces freins rappellent une réalité souvent sous-estimée : l’IA ne compense pas un socle data défaillant.

Ce que MyReport apporte

MyReport n’est pas une solution d’IA, mais joue un rôle clé en amont :

  • fiabilisation des données,
  • structuration des référentiels,
  • harmonisation des indicateurs,
  • automatisation des flux de reporting.

En renforçant la qualité et la cohérence des données, MyReport permet aux directions financières de créer les conditions nécessaires à une exploitation pertinente de l’analytique avancée et, à terme, de l’IA.

5. La fiabilité des données devient un enjeu de crédibilité

La question de la fiabilité des données s’impose comme un sujet stratégique.

Si la majorité des directions financières se déclarent satisfaites de leurs données financières, ce taux chute fortement pour les données extra-financières.

Les causes sont connues :

  • sources multiples,
  • automatisation insuffisante,
  • hétérogénéité des données amont.

Une donnée fragile fragilise la décision

Une donnée peu fiable n’impacte pas seulement le reporting.

Elle affecte :

  • la qualité des analyses,
  • la conformité réglementaire,
  • la crédibilité de la fonction Finance,
  • la confiance des parties prenantes internes et externes.

Ce que MyReport apporte

MyReport aide à structurer un environnement data plus robuste en :

  • consolidant des sources hétérogènes,
  • sécurisant les règles de calcul,
  • limitant les erreurs liées aux manipulations manuelles.

La donnée devient ainsi un actif de confiance, au service de la décision.

6. Du reporting « push » au reporting « pull » : un changement de modèle

La montée en charge des besoins de reporting rend le modèle traditionnel de diffusion de moins en moins soutenable.

Le baromètre souligne une évolution vers des approches de type « reporting pull », dans lesquelles :

  • les données sont centralisées et gouvernées,
  • les utilisateurs accèdent directement à l’information,
  • la Finance se recentre sur l’analyse.
  • les données sont centralisées et gouvernées,
  • les utilisateurs accèdent directement à l’information,
  • la Finance se recentre sur l’analyse.

Une autonomie qui nécessite de la gouvernance

Ce modèle n’est viable que si les données sont structurées, fiables et sécurisées.

Sans gouvernance, l’autonomie devient source de confusion.

Ce que MyReport apporte

MyReport permet de concilier autonomie et contrôle grâce à :

  • la centralisation des données,
  • la publication web sécurisée,
  • des droits d’accès maîtrisés,
  • une gouvernance intégrée.
MyReport - Onglet 2 - Partage et diffusion de reporting

7. Une direction financière pleinement stratégique

Enfin, le baromètre confirme une évolution de fond :

la direction financière devient un acteur clé de la stratégie et de la transformation.

Les attentes portent désormais sur :

  • la projection,
  • la scénarisation,
  • l’aide à la décision,
  • la compréhension fine des modèles économiques.

Ce que MyReport apporte

MyReport donne aux directions financières les moyens :

  • de tester des hypothèses,
  • d’analyser la sensibilité des résultats,
  • de produire des tableaux de bord transverses et stratégiques.

Il accompagne le passage d’une logique de reporting à une logique de pilotage stratégique.

En synthèse : pourquoi MyReport est en phase avec les priorités 2026

L’étude DFCG & PwC met en évidence une évolution claire du rôle des directions financières à l’horizon 2026. La fonction Finance n’est plus seulement attendue sur la production et la sécurisation des chiffres, mais sur sa capacité à piloter la performance, anticiper les trajectoires et éclairer les décisions stratégiques dans un environnement durablement incertain.

Le pilotage de la performance redevient central, mais sous une forme élargie, intégrant rentabilité, cash, BFR et dimensions opérationnelles ou extra-financières. Dans le même temps, les directions financières doivent composer avec une pression forte sur l’efficience, alors que les besoins de reporting et d’analyse continuent de croître.

L’étude souligne également un décalage persistant entre ambitions et réalité opérationnelle. Les attentes en matière d’anticipation, de scénarisation et d’outils avancés se heurtent encore à des environnements data hétérogènes et à des processus de reporting insuffisamment structurés.

Au final, les priorités 2026 ne renvoient pas à une course aux outils, mais à un enjeu plus fondamental : structurer le pilotage, fiabiliser la donnée et transformer le reporting en véritable levier de décision. C’est précisément sur ces terrains que s’inscrit l’approche de MyReport, avec une réponse pragmatique aux attentes actuelles des directions financières.

FAQ – Priorités 2026 des directions financières.

L’étude DFCG & PwC montre que les directions financières évoluent dans un environnement durablement incertain, où les modèles de lecture historiques ne suffisent plus. Le pilotage de la performance redevient central car il permet d’aller au-delà du constat des résultats passés pour mieux comprendre les moteurs de création de valeur, intégrer le cash, le BFR et les dimensions opérationnelles, et renforcer la capacité d’anticipation et de prise de décision.

Le reporting concentre une part importante des tâches manuelles, des retraitements et des échanges de fichiers à faible valeur ajoutée. L’étude souligne que sa production constitue le principal gisement de productivité pour les directions financières. En automatisant et en structurant le reporting, les équipes peuvent réduire la charge opérationnelle et se recentrer sur l’analyse, le pilotage et l’accompagnement des décideurs.

Les freins identifiés par l’étude sont avant tout structurels. Ils concernent la qualité hétérogène des données, la multiplicité des sources, le manque de gouvernance et des processus encore trop manuels. Sans un socle data fiable et un reporting structuré, les initiatives d’analytique avancée ou d’IA peinent à produire des résultats concrets et durables.

Les KPI ressources humaines

Dans toute entreprise, la fonction Ressources Humaines ne peut plus se limiter à une approche déclarative ou intuitive. Le pilotage des équipes, la gestion des collaborateurs, la qualité du travail ou encore l’efficacité du recrutement reposent désormais sur des données fiables et structurées. C’est dans ce contexte que les indicateurs et les KPI occupent une place centrale.

Les indicateurs RH permettent de suivre, comparer et analyser des taux clés liés aux salariés / employés et plus largement aux ressources humaines. Ils offrent une lecture factuelle de la performance sociale de l’organisation : absentéisme, satisfaction, engagement, développement des compétences ou impact de la formation. Présentés dans un tableau ou un tableau de bord de reporting rh, ces indicateurs deviennent de véritables outils d’aide à la décision pour aligner enjeux humains et objectifs de l’entreprise.

Dans cet article, nous revenons sur la définition des KPI RH, leur rôle dans la stratégie RH et la manière de les structurer pour piloter efficacement les ressources humaines.

Les KPI RH permettent de mesurer et piloter la performance humaine à partir de données fiables. En structurant les indicateurs clés dans des tableaux de bord clairs, les équipes RH gagnent en visibilité, sécurisent leurs décisions et alignent plus efficacement enjeux humains et objectifs de l’entreprise.

Les indicateurs de performance en gestion des ressources humaines

Axe suivi Indicateur Ce qu’il permet d’analyser
Organisation du travail Taux d’absentéisme Identifier les dysfonctionnements organisationnels et les signaux de désengagement
Recrutement Délai moyen de recrutement Évaluer l’efficacité du processus d’embauche et la réactivité de l’entreprise
Recrutement Taux d’acceptation des offres Mesurer l’attractivité des postes et des conditions proposées
Fidélisation Turnover des collaborateurs Apprécier la stabilité des équipes et les risques de départ
Développement Accès à la formation Suivre l’investissement dans le développement des compétences
Engagement Satisfaction des employés Comprendre le ressenti global et l’adhésion au projet d’entreprise
Performance globale Chiffre par collaborateur Relier contribution humaine et résultats de l’entreprise

Définition des indicateurs de performance RH

Un indicateur de performance RH est une mesure chiffrée permettant d’évaluer un aspect précis de la gestion des ressources humaines. Il peut s’agir d’un taux (par exemple le taux d’absentéisme), d’un chiffre absolu (nombre de collaborateurs formés sur une année) ou d’un ratio mettant en relation plusieurs données. Lorsqu’un indicateur est standardisé, suivi dans le temps et rattaché à des objectifs, on parle alors de kpi ou de kpis RH. Selon Helloworkplace, le taux d’absentéisme des salariés en France était d’environ 4,84% en 2024, une évolution notable dans les arrêts de travail sur l’année dernière. Ces chiffres témoignent d’une dynamique persistante concernant l’absentéisme dans les entreprises françaises.

Ces indicateurs couvrent l’ensemble du périmètre humain : recrutement, formation, mobilité, turnover, satisfaction des employés, ou encore répartition des collaborateurs. Leur calcul repose sur des données issues de différents outils : SIRH, paie, enquêtes internes, fichiers opérationnels. L’enjeu n’est pas d’accumuler les indicateurs, mais de sélectionner ceux qui ont du sens pour la stratégie RH et la réalité de l’entreprise.

Importance des KPI dans une stratégie RH

Les KPI RH jouent un rôle clé dans le pilotage de la fonction RH. Ils permettent de suivre l’évolution des pratiques, d’évaluer l’efficacité des actions mises en place et d’objectiver la prise de décision. Par exemple, analyser le taux de turnover ou la satisfaction au travail aide à anticiper les risques sociaux et à ajuster les politiques internes.

Intégrés dans un tableau de bord RH, ces indicateurs offrent une vision synthétique et partagée de la performance humaine. Ils facilitent le dialogue entre la fonction RH, le management et la direction, en reliant enjeux humains et résultats de l’entreprise. À terme, une bonne analyse des KPI RH contribue à une meilleure allocation des ressources, à la sécurisation des processus RH et à la valorisation durable des talents.

En 2025, les responsables RH en France se concentrent de plus en plus sur la digitalisation des processus et l’adaptation organisationnelle pour répondre aux besoins de transformation. Le Baromètre RH 2025 révèle une évolution dans la manière de piloter les équipes et de gérer les priorités dans un contexte incertain et changeant

Les indicateurs dans le recrutement

Le recrutement est un processus structurant pour toute entreprise. Il conditionne à la fois la performance future des équipes, la qualité du travail produit et la capacité de l’organisation à atteindre ses objectifs. Pour piloter efficacement cette fonction, il est indispensable de s’appuyer sur des indicateurs fiables, construits à partir de données mesurables et suivis dans le temps. Les KPI de recrutement permettent ainsi d’évaluer l’efficacité des actions menées, d’optimiser les ressources engagées et d’améliorer l’expérience des candidats et des futurs collaborateurs, et :

  • sécuriser les embauches sur le long terme
  • réduire les délais et les frictions dans le processus
  • améliorer l’attractivité de l’entreprise
  • fiabiliser l’intégration des nouveaux arrivants
  • limiter les départs précoces

Délai de recrutement moyen

Le délai de recrutement moyen mesure le temps nécessaire entre l’ouverture d’un poste et l’embauche effective d’un collaborateur. Cet indicateur met en lumière la fluidité du processus de recrutement et la capacité de l’entreprise à attirer rapidement les compétences recherchées. Un délai trop long peut impacter la performance des équipes en place, générer une surcharge de travail ou freiner certains projets internes.

Suivi dans un tableau de bord, ce KPI permet d’identifier les étapes du recrutement les plus chronophages et d’ajuster les actions, qu’il s’agisse du sourcing, de la validation interne ou de la prise de décision finale.

Coût total par recrutement

Le coût par recrutement regroupe l’ensemble des dépenses liées à l’embauche d’un nouvel employé : diffusion des annonces, recours à des outils ou prestataires externes, temps mobilisé par les équipes internes, intégration et formation initiale. Cet indicateur apporte une vision claire de l’investissement financier consenti par l’entreprise pour renforcer ses ressources humaines.

Analyser ce chiffre dans le temps permet de comparer l’efficacité des différents canaux de recrutement et d’arbitrer entre plusieurs stratégies, en lien avec les objectifs et les moyens disponibles.

Turnover des nouveaux collaborateurs

Le turnover des nouveaux collaborateurs mesure la proportion d’employés quittant l’entreprise dans les mois suivant leur embauche. Cet indicateur est particulièrement révélateur de la qualité du recrutement et de l’adéquation entre le poste, les attentes des salariés et la réalité du travail.

Un taux élevé peut signaler des dysfonctionnements dans le processus de sélection, dans l’onboarding ou dans la gestion des ressources humaines. Suivi régulièrement, ce KPI aide à renforcer la stabilité des équipes et à sécuriser les recrutements sur le long terme.

Taux d’acceptation des offres

Le taux d’acceptation des offres correspond au nombre de propositions d’embauche acceptées par rapport au nombre total d’offres formulées. Il reflète l’attractivité de l’entreprise, tant sur le plan de la rémunération que des conditions de travail, de la culture interne ou des perspectives d’évolution.

Intégré dans un tableau de bord RH, cet indicateur permet d’ajuster la stratégie de recrutement et d’améliorer la cohérence entre le discours employeur et la réalité proposée aux candidats.

Équilibre hommes / femmes dans le recrutement

Cet indicateur analyse la répartition femmes-hommes parmi les collaborateurs recrutés. Il s’inscrit dans une logique de suivi des politiques de diversité et d’égalité professionnelle au sein de l’entreprise. Exploité à partir de données fiables, il permet de mesurer les effets des actions mises en place et d’orienter les pratiques de recrutement.

Au-delà de l’obligation réglementaire, cet indicateur contribue à une gestion plus équilibrée et plus performante des ressources humaines.

Score de diversité du recrutement

Le score de diversité du recrutement vise à évaluer la variété des profils intégrés à l’entreprise, en tenant compte de critères tels que l’âge, le parcours professionnel, la mobilité ou l’origine des talents. Cet indicateur offre une lecture plus globale de la politique d’embauche et de son impact sur la richesse humaine de l’organisation.

Suivi dans le temps, il aide à objectiver les démarches de diversité et à mesurer leur contribution à la performance collective.

Satisfaction à l’issue de l’onboarding

La satisfaction des nouveaux employés à l’issue de leur intégration est un indicateur clé pour évaluer la qualité de l’onboarding. Il repose généralement sur des enquêtes internes et sur l’analyse de données qualitatives et quantitatives.

Un bon niveau de satisfaction favorise l’engagement, réduit le turnover précoce et améliore durablement la performance des collaborateurs. Intégré à un tableau de bord RH, cet indicateur permet d’ajuster les pratiques d’accueil et de formation afin de sécuriser chaque recrutement.

Centralisation et consolidation des données RH

La centralisation des données RH répond à un constat simple : les informations nécessaires au suivi des enjeux humains sont souvent éparpillées entre plusieurs systèmes, fichiers et applications. Cette dispersion complique la lecture globale, fragilise la fiabilité des chiffres et limite la capacité des équipes à produire des analyses cohérentes. Centraliser consiste à rassembler l’ensemble de ces informations dans un référentiel unique, structuré et exploitable.

Cette démarche permet d’unifier des données issues de sources multiples, qu’elles soient administratives, sociales ou organisationnelles. En supprimant les silos, la fonction RH dispose d’une vision transversale, indispensable pour suivre les évolutions dans le temps, comparer les périodes et objectiver les constats. La consolidation garantit également une meilleure cohérence entre les différents reportings produits, en s’appuyant sur des règles communes de calcul et de structuration.

Connecter diverses sources de données RH

La première étape repose sur la capacité à connecter l’ensemble des systèmes utilisés au quotidien. Logiciels de paie, solutions SIRH, outils de gestion des temps, fichiers de suivi ou bases internes doivent pouvoir être intégrés sans rupture. Cette interconnexion permet de récupérer automatiquement les informations, sans ressaisie manuelle, et de maintenir un niveau de fiabilité constant.

En connectant ces sources, les équipes RH peuvent croiser les informations, enrichir les analyses et détecter plus facilement les incohérences ou les écarts. Cette approche facilite également la mise à jour régulière des chiffres, en garantissant une continuité dans le suivi et une lecture homogène de la situation.

Consolider l’ensemble des informations dans un seul outil

Une fois les sources connectées, la consolidation vise à structurer les informations au sein d’un outil unique. Les données sont harmonisées, historisées et organisées selon des règles communes, ce qui permet d’éviter les doublons et les interprétations divergentes. Cette étape est essentielle pour fiabiliser les analyses et assurer une diffusion cohérente des résultats.

Disposer d’un point d’accès unique simplifie considérablement le travail des équipes. Les responsables peuvent consulter les informations dont ils ont besoin, comparer les périodes, identifier les tendances et appuyer leurs décisions sur des éléments factuels. La consolidation des données RH devient ainsi un socle indispensable pour structurer le pilotage, renforcer la crédibilité des analyses et soutenir une prise de décision éclairée à tous les niveaux de l’organisation.

Création de tableaux de bord personnalisés

Une fois les informations centralisées et structurées, l’enjeu consiste à les restituer de manière claire, lisible et directement exploitable. Les tableaux de bord personnalisés répondent à cet objectif en transformant des données brutes en vues synthétiques, adaptées aux besoins de chaque acteur. Ils permettent de passer d’une logique de production de chiffres à une logique de lecture et d’interprétation.

Chaque profil au sein de l’organisation n’a pas les mêmes attentes ni les mêmes usages. Un responsable RH, un membre de la direction ou un manager opérationnel ne recherchent pas le même niveau de détail. La personnalisation des tableaux de bord permet d’ajuster les contenus, les indicateurs affichés et les axes d’analyse afin de fournir une information pertinente, au bon niveau et au bon moment.

Concevoir des tableaux de bord interactifs et personnalisés

La conception de tableaux de bord interactifs repose sur la capacité à structurer l’information autour des enjeux clés de chaque utilisateur. Les vues peuvent être filtrées par période, par entité ou par périmètre, afin de faciliter les comparaisons et d’identifier rapidement les évolutions significatives. Cette interactivité favorise une lecture dynamique et encourage l’appropriation des données par les équipes.

La personnalisation permet également de hiérarchiser l’information, en mettant en avant les éléments prioritaires et en reléguant les détails secondaires à des niveaux de lecture plus fins. Les tableaux de bord deviennent ainsi de véritables supports d’analyse, utilisables aussi bien en suivi régulier qu’en préparation de comités ou de points de pilotage.

Intégration des indicateurs RH les plus pertinents

L’efficacité d’un tableau de bord repose avant tout sur la sélection des indicateurs affichés. Il ne s’agit pas de tout montrer, mais de retenir ceux qui apportent un éclairage réel sur la situation et les leviers d’action. Les indicateurs intégrés doivent être compréhensibles, comparables dans le temps et directement reliés aux enjeux opérationnels et stratégiques.

Présentés sous forme de graphiques, de tableaux synthétiques ou de repères visuels, ces indicateurs facilitent la lecture et accélèrent la prise de décision. En structurant l’information autour de tableaux de bord adaptés, les équipes disposent d’une vision claire, partagée et cohérente, essentielle pour piloter efficacement les sujets humains et accompagner les décisions à tous les niveaux de l’organisation.

Automatisation des rapports RH

La production régulière de rapports constitue une activité chronophage pour les équipes RH, souvent mobilisées sur des tâches de collecte, de mise en forme et de vérification des chiffres. L’automatisation des rapports permet de sécuriser cette production tout en libérant du temps pour des missions à plus forte valeur ajoutée. Elle s’inscrit dans une logique de fiabilisation et de régularité de l’information diffusée.

En automatisant les rapports, les données sont mises à jour selon une fréquence définie et restituées sous un format homogène. Les risques d’erreur liés aux manipulations manuelles sont réduits, et la cohérence des chiffres est assurée d’un reporting à l’autre. Cette approche garantit une continuité dans le suivi et facilite la comparaison des résultats dans le temps.

Automatiser la génération de rapports RH périodiques

L’automatisation permet de produire des rapports à échéances régulières, qu’ils soient mensuels, trimestriels ou annuels, sans intervention manuelle répétée. Les modèles de restitution sont définis en amont et alimentés automatiquement par les données consolidées. Les équipes disposent ainsi de documents prêts à l’usage, sans avoir à reconstruire les analyses à chaque période.

Cette régularité renforce la fiabilité du suivi et permet de détecter plus rapidement les évolutions ou les signaux faibles. Les responsables peuvent s’appuyer sur des supports constants pour analyser les résultats, préparer des échanges internes ou piloter les actions dans la durée.

Diffusion automatique des rapports aux parties concernées

Au-delà de la production, l’automatisation facilite également la diffusion des rapports. Les documents peuvent être transmis automatiquement aux destinataires concernés, selon des règles définies en amont. Chaque acteur reçoit ainsi une information adaptée à son périmètre, sans dépendre d’envois manuels ou de relances internes.

Cette diffusion fluide améliore la circulation de l’information et favorise un partage plus large des constats. Elle contribue à installer une culture de suivi régulier et à renforcer la transparence, en mettant à disposition des éléments fiables et actualisés auprès des différentes parties prenantes.

Suivi des tendances et analyses prédictives

Le suivi régulier des informations dans le temps permet de dépasser une lecture ponctuelle pour s’inscrire dans une logique d’observation continue. En analysant les évolutions, les équipes RH peuvent identifier des tendances de fond, comprendre les dynamiques à l’œuvre et anticiper les impacts à venir. Cette approche apporte une profondeur d’analyse essentielle pour éclairer les décisions et orienter les priorités.

L’exploitation historique des données permet de mettre en évidence des variations saisonnières, des ruptures ou des signaux faibles. Ces éléments, souvent invisibles dans une lecture isolée, deviennent des leviers précieux pour ajuster les pratiques et préparer les actions futures.

Identifier les tendances et les évolutions de la performance RH

L’analyse des tendances repose sur la capacité à comparer les résultats sur plusieurs périodes et à les contextualiser. En observant les évolutions, les responsables RH peuvent mieux comprendre les effets des actions engagées, mesurer leur impact réel et identifier les axes d’amélioration.

Cette lecture dans la durée permet également de prioriser les sujets, en distinguant les phénomènes conjoncturels des évolutions structurelles. Elle offre ainsi une vision plus stable et plus fiable pour accompagner les décisions et sécuriser les orientations prises.

Anticiper les risques et soutenir la prise de décision

Les analyses prédictives visent à projeter les évolutions futures à partir des données disponibles. En croisant les informations historiques avec des modèles d’analyse, il devient possible d’anticiper certains risques, d’évaluer des scénarios et de préparer des réponses adaptées.

Cette capacité d’anticipation renforce la réactivité de la fonction RH et soutient une prise de décision plus éclairée. En s’appuyant sur des analyses prospectives, les responsables disposent d’éléments concrets pour ajuster les plans d’action, accompagner les transformations et sécuriser la performance globale de l’organisation.

Piloter durablement la performance RH avec MyReport

Le suivi structuré des enjeux RH repose avant tout sur la capacité à transformer des informations dispersées en éléments lisibles, cohérents et directement exploitables. En s’appuyant sur des indicateurs pertinents, organisés au sein de tableaux de bord clairs et alimentés de manière régulière, la fonction RH gagne en visibilité, en fiabilité et en impact. Cette approche permet de mieux comprendre les dynamiques internes, d’anticiper les évolutions et d’accompagner les décisions à tous les niveaux de l’organisation.

Pour aller plus loin, il devient essentiel de s’appuyer sur une solution capable de centraliser les données, de structurer les restitutions et d’automatiser les analyses. MyReport s’inscrit dans cette logique en offrant un environnement unique pour faire de la Business Intelligence pour la gestion RH concevoir des tableaux de bord personnalisés et diffuser des reportings fiables. En facilitant l’accès à une vision claire et partagée, MyReport accompagne les équipes RH dans un pilotage plus serein, plus réactif et durablement orienté vers la performance globale de l’entreprise.

KPI et pilotage RH.

Les indicateurs à suivre dépendent des enjeux de l’entreprise, mais certains sont incontournables : absentéisme, turnover, délai de recrutement, satisfaction des employés et accès à la formation. L’essentiel est de sélectionner un nombre limité d’indicateurs réellement utiles, alignés avec les objectifs RH et suivis de manière régulière.

La fréquence de mise à jour varie selon la nature des indicateurs. Certains nécessitent un suivi mensuel, comme l’absentéisme ou le recrutement, tandis que d’autres peuvent être analysés de façon trimestrielle ou annuelle. Une mise à jour régulière permet de détecter rapidement les évolutions et d’ajuster les actions sans attendre.

Pour être réellement utiles, les données doivent être centralisées, fiables et présentées de façon claire. Leur exploitation passe par des tableaux de bord adaptés aux différents profils et par des analyses comparables dans le temps. Cette approche facilite la compréhension des enjeux, renforce la prise de décision et soutient une gestion RH plus structurée et proactive.

Comment MyReport répond aux fragilités révélées par le Baromètre Cash 2025 de la DFCG

Le Baromètre Cash 2025, mené auprès de 60 directions financières (et réalisé par la DFCG, Creditsafe et Meelo), met à jour un paradoxe préoccupant : la trésorerie française semble solide dans les bilans, mais s’avère vulnérable dans son fonctionnement quotidien.

Retards de paiement, défaillances en cascade, exposition croissante à la fraude, manque d’anticipation… Le cash n’est plus un simple indicateur à surveiller : il devient un équilibre instable, exigeant des directions financières une vigilance constante et une capacité analytique renforcée.

Dans ce contexte, posséder un outil de Business Intelligence et de Data visualisation s’impose comme un levier de consolidation, de transparence et de maîtrise. Non pas en se substituant aux outils financiers spécialisés, mais en apportant ce qui manque souvent : une donnée fiable, structurée, nourrie par les opérations et directement exploitable par la DAF.

Le Baromètre Cash 2025 révèle une trésorerie française solide en apparence, mais fragile dans les faits : une progression médiane de trésorerie d’environ +40 % entre 2022 et 2024, mais plus de 76 000 défaillances d’entreprises en 2024, un niveau record, et près de 16 % des entreprises présentant un risque élevé de défaut à 12 mois. Dans le même temps, les tensions de trésorerie touchent déjà environ un tiers du tissu économique, les litiges commerciaux augmentent et la fraude explose, avec 85 % des PME/ETI déclarant au moins une tentative de fraude sur les 12 derniers mois.

Dans ce contexte, MyReport apporte une réponse pragmatique en renforçant la fiabilité des données, en offrant un pilotage quotidien du BFR, en réduisant les risques liés aux manipulations manuelles et en facilitant la prévision. Une plateforme qui aide la DAF à passer d’une gestion défensive du cash à un pilotage plus stratégique et proactif.

1. Clarifier la réalité du cash : remettre de l’objectivité dans la lecture financière

Le baromètre le souligne : la trésorerie a progressé en moyenne, mais cette amélioration masque des comportements défensifs (gel des investissements, thésaurisation) qui ne traduisent pas une dynamique de gestion saine.

Or, sans une vision consolidée et homogène des flux financiers, il est difficile pour une DAF de distinguer un cash “réellement disponible” d’un cash “artificiellement préservé”.

MyReport apporte ici une réponse structurante

MyReport permet d’agréger automatiquement les données issues de la comptabilité, des ventes, des achats, de la facturation, des litiges, et des encaissements.

Cette consolidation donne naissance à une lecture fidèle et débarrassée des approximations liées aux extractions ponctuelles.

En pratique, cela se traduit par :

  • une balance âgée automatiquement mise à jour,
  • une vision claire des délais de paiement par typologie de clients,
  • une cartographie précise des factures en litige,
  • un rapprochement systématique entre prévisionnel et réalisé.

Cette transparence permet à la direction financière de comprendre d’où vient réellement le cash, à quel rythme il se transforme, et quelles zones cachées dégradent la performance.

Risque identifié (Baromètre Cash 2025) Impact pour la finance Comment MyReport aide à y répondre
Défaillances en hausse et risque élevé de défaut Tension accrue sur les encaissements, visibilité limitée sur l’exposition clients Vision consolidée du BFR, balance âgée automatisée, suivi des encours et des comportements de paiement par client/segment.
Allongement des délais de paiement et effet domino Difficulté à anticiper les pics de tension de trésorerie et à prioriser les actions de relance. Tableaux de bord quotidiens des délais de paiement, des litiges et des retards ; aide à la priorisation des relances et arbitrages commerciaux.
Explosion des tentatives de fraude Exposition accrue liée aux manipulations manuelles, aux accès non maîtrisés et aux erreurs humaines. Gouvernance renforcée : droits d’accès maîtrisés, traçabilité des données, automatisation des reportings pour limiter les manipulations sensibles.
Manque de prédictif et pilotage réactif du cash Décisions prises trop tard, difficulté à anticiper les ruptures de cash et à tester des scénarios. Prévisions de trésorerie basées sur les historiques, scénarios de projection et diffusion automatique des indicateurs d’alerte auprès des décideurs.
Exécution irrégulière des fondamentaux cash Relances, reportings et analyses réalisés de façon ponctuelle, dépendants des ressources disponibles. Automatisation du rafraîchissement des données, des reportings et de leur diffusion : une exécution rigoureuse et régulière, indépendamment des aléas opérationnels.

2. Piloter le BFR avec finesse : détecter les signaux faibles, comprendre les dynamiques

L’étude met en lumière un phénomène inquiétant : 76 013 défaillances en 2024, en hausse de 19 % sur un an, et un allongement durable des délais de paiement, notamment dans certains secteurs comme le commerce, le transport, la construction ou les services, où le DSO reste élevé. En parallèle, 31 % des entreprises se déclarent en tension de trésorerie. Le pilotage du BFR n’est donc plus un sujet périphérique, mais un enjeu structurel.

Pour une DAF, gérer le BFR n’est plus un exercice mensuel : c’est un suivi quasi continu, qui nécessite de capter les micro-variations, d’identifier les signaux faibles et de les traduire en actions concrètes auprès du commerce, du recouvrement ou de la direction générale.

MyReport s’inscrit dans cette logique de pilotage fin.

Une lecture plus riche, plus explicative

MyReport ne se contente pas de mesurer les délais de paiement : il permet d’identifier les causes profondes des dérives. Par exemple :

  • une baisse soudaine des encaissements liée à un litige non traité,
  • un allongement des délais dans un secteur géographique spécifique,
  • des clients historiquement fiables qui basculent dans des comportements plus risqués.

Un exemple concret

Une DAF détecte que les retards de paiement d’un portefeuille client ont doublé en un trimestre. Avec MyReport, elle peut immédiatement analyser :

  • le type de factures concernées,
  • les commerciaux associés,
  • les produits ou services créant des litiges,
  • l’effet prévisionnel sur la trésorerie dans les 30 à 90 jours.

Cette granularité change radicalement la capacité d’anticipation, et donc la capacité à agir avant que la tension de trésorerie ne se matérialise.

Découvrez les KPI à suivre absolument pour gérer le cash de votre entreprise.

3. Réduire les risques de fraude : fiabiliser les process, sécuriser les pratiques

Le baromètre confirme une véritable explosion de la fraude : 85 % des PME/ETI interrogées déclarent avoir subi au moins une tentative en 12 mois (contre 60 % en 2020), et près de 10 % des fraudes impliquent une usurpation d’identité de dirigeant. Par ailleurs, les données de scoring comportemental indiquent qu’un peu plus de 5 % des entreprises françaises présentent un risque avéré de comportement frauduleux, soit plus de 100 000 sociétés potentiellement problématiques.

Bien que MyReport ne soit pas une solution de détection de fraude, il contribue à réduire l’exposition au risque en renforçant la gouvernance de la donnée et en limitant les failles internes sur lesquelles les fraudeurs s’appuient.

Trois contributions essentielles

A. Limiter les manipulations manuelles

Les extractions Excel répétées, les copiés-collés et les tableaux bricolés sont des portes d’entrée pour les erreurs et les manipulations malveillantes.

MyReport automatise ces étapes, réduisant la “surface d’attaque”.

B. Renforcer la séparation des rôles

La gestion fine des droits permet de réserver certains indicateurs, données ou tableaux à des profils bien identifiés. On limite ainsi les accès superflus, principal vecteur d’usurpation interne.

C. Assurer une traçabilité complète

Chaque transformation, chaque rafraîchissement de données, chaque modification est documenté. Cette visibilité est un atout majeur dans la construction d’un plan de contrôle interne fiable.

Autrement dit : MyReport ne lutte pas directement contre la fraude, mais il assainit l’environnement dans lequel la fraude prolifère.

4. Accéder à une logique prédictive : anticiper les ruptures, éviter l’effet domino

Le baromètre montre que le passage au prédictif reste limité : les prévisions sont encore majoritairement construites dans Excel, avec peu de scénarios et une mise à jour irrégulière.

MyReport n’impose pas de modèle automatique ni d’IA prédictive. C’est le client qui renseigne ses hypothèses, ses règles métier et ses projections, exactement comme il le ferait dans un fichier Excel. La différence, c’est que ces données sont ensuite intégrées et visualisées dans des tableaux de bord, comparées aux historiques et connectées aux indicateurs réels de trésorerie et de BFR.

En pratique, MyReport permet de :

  • intégrer vos prévisions dans un environnement sécurisé et structuré,
  • visualiser immédiatement l’impact de vos hypothèses,
  • comparer prévisionnel vs réalisé,
  • détecter plus tôt les écarts et tensions à venir.

Le prédictif ne devient pas automatique, mais opérationnel et lisible. Vous gardez la main sur vos calculs, MyReport apporte la fiabilité, la consolidation et la visibilité qui manquent souvent aux prévisions Excel traditionnelles.

5. Digitaliser les processus : maîtriser les fondamentaux avec rigueur et constance

Le baromètre rappelle une évidence trop souvent oubliée : les fondamentaux du cash ne datent pas d’hier.

Relancer, suivre, prévoir, comparer.

Le problème n’est pas la méthode : c’est sa mise en œuvre, sa régularité, sa qualité d’exécution. Beaucoup d’entreprises restent dépendantes d’Excel, de reportings manuels, de consolidations approximatives, ce qui fragilise la gouvernance et la fiabilité des chiffres.

C’est précisément ce que la digitalisation via MyReport permet d’améliorer, en mettant en musique plusieurs leviers identifiés dans le baromètre : relances structurées, suivi régulier du DSO, prévisions dynamiques, coopération finance–commerce, et outillage digital au service de la discipline.

Une exécution plus régulière, plus fiable

MyReport automatise :

  • le rafraîchissement des données,
  • la production des tableaux de bord,
  • la diffusion des reportings,
  • l’ajustement des indicateurs.

Ce n’est pas qu’un gain de temps : c’est l’assurance que les bonnes pratiques ne dépendent plus de la disponibilité d’un collaborateur, ni d’un fichier Excel fragile. Les fondamentaux deviennent systématiques, tracés, robustes.

Un usage simplifié, pensé pour les DAF et les métiers

La restitution via Excel (pour l’analyse fine) et via le web (pour la consultation rapide) permet à chaque acteur de rester dans un environnement maîtrisé.

L’adoption est naturelle, les routines s’installent, la gouvernance devient fluide.

6. Unifier la lecture stratégique : donner au cash son rôle de “juge de paix”

Le baromètre conclut que le cash est devenu un référentiel stratégique, au même titre que la marge ou la croissance.

Encore faut-il lui donner un cadre d’analyse cohérent.

MyReport apporte cette cohérence

Il réunit dans un même environnement :

  • la trésorerie,
  • le BFR,
  • les ventes,
  • les marges,
  • les charges,
  • les prévisions.

La direction financière et la direction générale disposent ainsi d’un socle commun. Les décisions peuvent se baser sur les mêmes chiffres, au même moment, avec la même précision.

Cela évite les divergences d’analyse, accélère les arbitrages et renforce la capacité du comité de direction à pivoter rapidement.

Bien se préparer pour gérer son cash en 2026

Les fragilités révélées par le Baromètre Cash 2025 ne sont pas conjoncturelles : elles traduisent une transformation durable du paysage économique. La trésorerie n’est plus affectée uniquement par les variations d’activité, mais par une combinaison de chocs permanents : tensions sur les chaînes de valeur, comportements de paiement plus erratiques, polarisation croissante entre secteurs solides et secteurs vulnérables, hausse structurelle des litiges et montée en puissance des menaces cyber et fraude.

À cela s’ajoute un environnement réglementaire et financier plus contraint, marqué par la fin de certains dispositifs de soutien, la pression sur le coût du capital et la nécessité de mieux structurer les arbitrages d’investissement.

Dans ce contexte, les entreprises qui continueront à gérer leur cash “comme avant” prendront du retard — voire des risques significatifs.

Pour y répondre, les directions financières doivent :

  • renforcer leur capacité d’analyse, en disposant d’indicateurs plus fins, plus fréquents et plus transversaux ;
  • fiabiliser leurs processus, pour éliminer les zones de fragilité (Excel instable, manipulations manuelles, dépendance à un collaborateur, reporting erratique) ;
  • anticiper les ruptures, en intégrant systématiquement prévisions, scénarios et stress-tests dans leur pilotage ;
  • aligner les équipes, car le cash ne peut plus être géré en silo : il implique la DAF, le commerce, les opérations et la direction générale ;
  • mieux sécuriser les flux, en renforçant la gouvernance, la traçabilité et la détection des signaux faibles.

La maturité cash devient ainsi un avantage compétitif. Les entreprises capables de piloter leur trésorerie de manière proactive absorberont mieux les tensions, prendront de meilleures décisions et saisiront davantage les opportunités de croissance ou d’investissement.

MyReport s’inscrit précisément dans cette dynamique

MyReport apporte une réponse structurée aux défis mis en lumière par la DFCG. La plateforme joue un rôle de colonne vertébrale : elle organise, sécurise et valorise la donnée financière, là où beaucoup d’organisations manquent encore de fiabilité, de cohérence et de visibilité.

Grâce à son architecture orientée PME/ETI et à son approche intégrée (data management + data analyse + data visualisation), MyReport permet :

  • d’obtenir une donnée plus fiable, car collectée automatiquement à la source et consolidée sans manipulation ;
  • de proposer une lecture plus claire, à travers des tableaux de bord homogènes, partagés entre la DAF, la DG et les métiers ;
  • de produire des projections plus rapides, en reliant les historiques, les retards, les litiges et les cycles d’activité ;
  • de renforcer la gouvernance, via des droits maîtrisés, une traçabilité complète et une réduction des risques liés à Excel ;
  • de diffuser l’information à tous les décideurs, pour accélérer les arbitrages et renforcer la culture cash dans l’entreprise.

En d’autres termes : un véritable accélérateur de maturité cash, pleinement aligné avec les priorités des DAF en 2026.

FAQ – Baromètre Cash 2025 et rôle de MyReport

Parce que les indicateurs de bilan montrent une progression de la trésorerie médiane entre 2022 et 2024, mais les signaux opérationnels racontent une autre histoire : retards de paiement structurels, hausse des défaillances, explosion de la fraude et tensions croissantes dans les cycles d’exploitation. La trésorerie apparaît donc moins comme une réserve stable que comme un point d’équilibre instable, très sensible aux aléas quotidiens.

MyReport consolide automatiquement les données issues de la comptabilité, des ventes, des achats, des litiges et des encaissements. Cette centralisation élimine les approximations liées aux extractions manuelles et redonne une lecture objective du cash réellement mobilisable. Les indicateurs essentiels – balance âgée, DSO, retards, litiges, prévisionnel vs réalisé – sont actualisés en continu.

Le pilotage du BFR nécessite un suivi rapproché des comportements de paiement et des variations d’encaissements. MyReport met en lumière les signaux faibles : une hausse des litiges, un glissement sectoriel des délais, un portefeuille client qui se détériore. La DAF peut ainsi comprendre l’origine des dérives et agir plus tôt, en coordination avec le commerce et le recouvrement.

MyReport vs Power BI : deux visions de la Business Intelligence

Deux outils puissants, deux philosophies différentes

Pour beaucoup d’entreprises, Power BI est le premier réflexe lorsqu’il s’agit de mettre en place un outil de reporting ou de Business Intelligence. Sa présence dans l’environnement Microsoft — déjà utilisé par la majorité des organisations — en fait une porte d’entrée naturelle pour structurer les premiers tableaux de bord et analyses.

MyReport, de son côté, a été conçu spécifiquement pour les PME et ETI. Solution française et accessible, elle mise sur la simplicité d’usage, la rapidité de déploiement et une gouvernance des données maîtrisée, avec la possibilité d’héberger les données en France ou en interne, selon les besoins de chaque entreprise.

Les deux solutions poursuivent le même objectif : rendre la donnée exploitable au service de la performance. Leur différence réside dans la manière d’y parvenir — entre une plateforme complète à forte technicité et un environnement intuitif, pensé pour que les métiers gardent la main sur leurs reportings.

1. Souveraineté et accompagnement local

Power BI repose sur l’écosystème Microsoft, dont le support et l’hébergement des données sont principalement gérés à l’international. Cela garantit une infrastructure mondiale solide, mais offre moins de maîtrise directe sur l’emplacement et la souveraineté des données.

MyReport est une solution française, accompagnée par un support local basé en France et un réseau de partenaires de proximité. Les entreprises peuvent choisir entre un déploiement SaaS avec hébergement des données en France ou une installation on premise, pour garder la main complète sur leur infrastructure et leurs informations. Cette flexibilité permet de répondre aux exigences de sécurité, conformité et confiance numérique tout en bénéficiant d’un accompagnement réactif et humain.

2. Simplicité et autonomie des utilisateurs

Power BI offre une richesse fonctionnelle impressionnante, mais si la prise en main de base est simple et accessible pour un usage individuel, son exploitation complète à l’échelle d’une organisation nécessite souvent des compétences techniques pointues et une montée en compétence sur des sujets comme la modélisation de données ou le langage DAX.

MyReport adopte une philosophie différente. Conçu pour les utilisateurs métiers, il repose sur une approche no-code et une intégration native avec Excel. L’interface est claire, structurée par usage, et permet une autonomie réelle dans la création et la maintenance des reportings. Ce positionnement en fait une solution particulièrement adaptée aux PME et ETI qui souhaitent réduire leur dépendance aux experts techniques et gagner en réactivité.

Christophe C. Chef de projet Gestionnaire d’applications Hospital & Health Care est utilisateur de MyReport et ancien utilisateur de Power BI

« Microsoft Power BI est trop complexe et lourd en mises à jour. MyReport est plus simple et doté de vrais tableaux de bord»

3. Gestion des données : centralisation et cohérence

Dans Power BI, la préparation et la modélisation des données s’effectuent souvent en dehors de la solution principale, via Power Query ou d’autres outils comme Dataflows ou Fabric. Cette modularité offre de la souplesse, mais peut complexifier la gouvernance globale et la cohérence du référentiel.

MyReport intègre un ETL visuel directement dans l’outil, centralisé et partagé par l’ensemble des utilisateurs. Toutes les données sont réunies dans un entrepôt unique, garantissant la cohérence du modèle et la traçabilité des mises à jour.

Cette approche permet non seulement de structurer un système décisionnel complet, mais aussi de s’articuler avec Power BI : MyReport peut parfaitement être utilisé comme data warehouse, servant de socle de données propre, fiable et consolidé pour alimenter les visualisations Power BI. Un scénario courant pour les entreprises qui souhaitent combiner la puissance d’analyse de Power BI avec la robustesse et la gouvernance d’un entrepôt MyReport.

R. Plaza, Operation Director chez Pierre Lannier – Groupe ERNO

«On a nos habitudes avec Excel. Power BI, c’est puissant pour faire des graphiques, mais pour récupérer des data dans Excel ce n’est pas simple. Power BI ne sait pas bien rapprocher des sources de données différentes. Le langage informatique DAX n’est pas accessible pour tout le monde. On est une PME, on ne va pas embaucher un informaticien. On est 80.»

4. Gouvernance des droits : clarté et transparence

L’environnement Microsoft s’appuie sur une hiérarchie complexe de licences et d’autorisations (Office 365, Azure, SharePoint, Power BI Service…). Cette superposition peut rendre la gestion des accès plus difficile à suivre et à documenter.

MyReport propose une gouvernance des droits claire et centralisée, reposant sur des modèles de données et des groupes d’utilisateurs. Les administrateurs visualisent facilement qui accède à quoi, d’où viennent les données et comment elles sont diffusées. Un atout important pour les organisations qui souhaitent maîtriser la chaîne de valeur de leur donnée.

5. Diffusion : automatiser sans surcoût

Avec Power BI, la consultation des rapports nécessite une licence pour chaque utilisateur, et la diffusion automatisée (par email ou export PDF/Excel) requiert souvent l’usage d’outils tiers.

MyReport intègre cette fonctionnalité en standard. Les reportings peuvent être diffusés automatiquement, selon les droits de chaque destinataire, sans coût de licence additionnel. Cette diffusion intelligente garantit la bonne information au bon moment, tout en maîtrisant le budget global de la solution.

6. Maîtrise des coûts : lisibilité et prévisibilité

Power BI adopte un modèle tarifaire évolutif : chaque nouvelle source de données, augmentation de volume ou ajout d’utilisateur peut impacter le coût global.

MyReport propose une tarification complète, sans frais cachés ni dépendance à l’usage. Les entreprises disposent d’un budget clair et stable, leur permettant de planifier leurs investissements sur le long terme et de sécuriser leur ROI.

Conclusion : quelle solution pour votre entreprise ?

Power BI est une solution puissante, idéale pour les organisations matures vis-à-vis de la data et disposant de ressources techniques internes.

Mais pour les PME et ETI qui recherchent une solution française, simple à déployer, rapide à prendre en main et centrée sur les usages métiers, MyReport représente une alternative particulièrement pertinente.

En réunissant dans un même environnement la préparation, l’analyse, la datavisualisation et la diffusion des données, MyReport permet aux entreprises d’atteindre un haut niveau d’autonomie tout en maîtrisant leurs coûts.

Questions les plus fréquentes.

Power BI se distingue par sa puissance technique et sa richesse fonctionnelle, mais requiert souvent des compétences avancées pour un usage d’entreprise à grande échelle. MyReport, plus intuitif et no-code, offre une autonomie métier immédiate tout en couvrant l’ensemble de la chaîne décisionnelle.

Oui. MyReport peut être utilisé comme socle de données (data warehouse) pour alimenter Power BI. Cette complémentarité permet de bénéficier de la gouvernance, de la cohérence et de la traçabilité de MyReport tout en exploitant les capacités de visualisation de Power BI.

Oui. MyReport offre la possibilité d’un hébergement en France en mode SaaS ou d’un déploiement on premise. Cette flexibilité répond aux besoins de souveraineté et de conformité des entreprises françaises.

MyReport vs Sage Business Reporting: deux approches du reporting à connaître

Deux solutions, deux philosophies du pilotage

Pour les entreprises équipées de Sage 100, Sage Business Reporting apparaît souvent comme la première option pour centraliser et visualiser leurs données. De son côté, MyReport se positionne comme une solution décisionnelle complète, pensée pour structurer un pilotage d’entreprise plus large.

Si ces deux outils visent à faciliter le reporting, leur logique et leur périmètre diffèrent : l’un reste intégré à l’écosystème Sage, l’autre propose une approche plus ouverte et évolutive.

1. Visualisation et restitution : du tableau Excel au pilotage interactif

Sage Business Reporting restitue les données principalement dans Excel. Cette approche repose sur des rapports figés, nécessitant parfois des retraitements manuels pour mettre à jour ou mettre en forme les données.

MyReport combine la puissance d’Excel avec une restitution plus moderne et dynamique. La solution intègre un module Excel enrichi, mais aussi des dashboards web responsives qui facilitent la lecture et le partage des indicateurs. L’objectif : permettre un suivi visuel, fluide et homogène sur l’ensemble des supports.

2. Connectivité : ouverture et transversalité des données

Sage Business Reporting est conçu pour fonctionner en priorité avec la suite Sage 100. Il peut se connecter à d’autres applications, mais dans un périmètre restreint. Cette logique répond aux besoins des utilisateurs Sage, mais limite la consolidation de données issues d’outils externes (CRM, SIRH, gestion de production…).

À l’inverse, MyReport est une solution multi-sources. Elle permet de connecter et croiser nativement toutes les données de l’entreprise — issues de Sage, mais aussi d’autres logiciels de gestion ou de simples fichiers Excel. Cette ouverture favorise une vision plus transversale et unifiée du pilotage.

3. Performance : des données centralisées pour plus de fluidité

Sage Business Reporting interroge directement les bases de données Sage en temps réel. Cette approche garantit la fraîcheur des informations, mais peut ralentir la navigation avec des temps de chargement importants dès que la volumétrie de données augmente.

MyReport adopte une logique différente : les données sont centralisées dans un data warehouse dédié et actualisées à intervalles réguliers via un ETL. Les utilisateurs travaillent ainsi sur des données consolidées, à jour, sans subir de ralentissements, tout en gardant la maîtrise du rythme de mise à jour.

4. Diffusion : automatiser et personnaliser la communication des reportings

Sage Business Reporting permet la consultation des rapports depuis Excel ou Sage, mais sans automatisation native de leur diffusion, ni logique différenciée d’un destinataire à un autre. Les utilisateurs doivent donc partager manuellement les fichiers ou résultats.

MyReport intègre un moteur de diffusion planifiée. Les reportings peuvent être envoyés automatiquement par email ou déposés sur un portail dédié, selon les droits et le profil de chaque destinataire. Une approche qui garantit la bonne information au bon moment, sans coût de licence supplémentaire pour les lecteurs.

Conclusion : quel outil pour quel usage ?

Sage Business Reporting peut constituer une première étape pour les entreprises déjà équipées de Sage 100 et souhaitant exploiter leurs données financières plus efficacement. Mais cette approche reste avant tout centrée sur la restitution de données au sein de l’écosystème Sage.

MyReport, de son côté, peut tout à fait répondre à ce premier besoin, grâce à sa compatibilité native avec les produits Sage. Il s’intègre naturellement à l’environnement existant et permet de construire des reportings financiers tout aussi rapidement, tout en posant les bases d’un système décisionnel plus global.

Ce choix s’avère d’autant plus pertinent sur le long terme que MyReport évolue avec l’entreprise : lorsque les besoins s’élargissent — nouveaux indicateurs, nouvelles sources de données, diffusion automatisée — la solution est déjà en place et prête à accompagner cette montée en puissance.

Un investissement durable, qui garantit un meilleur retour sur investissement et une continuité sans rupture dans le pilotage de la performance.

Questions les plus fréquentes.

Oui. MyReport s’intègre nativement avec Sage 100 et ses principaux modules (comptabilité, gestion commerciale, paie…). Vous pouvez donc conserver vos données existantes tout en enrichissant vos reportings et vos analyses.

Absolument. MyReport est conçu pour répondre aussi bien aux besoins de reporting sur Sage qu’à ceux d’autres services de l’entreprise. Il peut être déployé rapidement, en capitalisant sur vos données Sage, puis évoluer progressivement vers un pilotage global.

MyReport peut couvrir les mêmes usages tout en offrant un cadre plus complet. Il reprend les données de Sage, mais vous donne la possibilité d’y ajouter d’autres sources et de piloter l’ensemble de votre activité depuis une plateforme unique — une approche plus durable et plus scalable sur le long terme.

Tableau de bord social : le guide

Ce type d’outil est devenu essentiel pour toute organisation qui souhaite mieux comprendre son fonctionnement interne et suivre l’évolution de ses équipes. Il offre une vue d’ensemble claire, utile aussi bien aux responsables opérationnels qu’aux dirigeants, afin d’évaluer la situation et d’ajuster les actions en conséquence.

Dans un environnement où l’information circule en continu, la capacité à rassembler, structurer et interpréter les éléments issus de différentes sources devient un atout majeur. Cette approche permet de mieux anticiper les changements, d’appuyer les choix stratégiques sur des faits concrets et de renforcer la cohérence entre les différentes fonctions de l’entreprise.

Définition du tableau de bord social

Un dispositif de ce type sert avant tout à rassembler, structurer et interpréter un ensemble d’informations dispersées au sein de l’organisation. Il permet de disposer d’une vision claire et régulière des principaux éléments liés à la vie du personnel : évolution des effectifs, équilibre entre les services, évolution des coûts, suivi de la présence, développement des compétences, mobilité interne, ou encore intégration de nouveaux collaborateurs.

Sa vocation n’est pas seulement de présenter des chiffres, mais d’en faciliter la lecture et l’interprétation. Il met en évidence les évolutions dans le temps, aide à repérer les déséquilibres avant qu’ils ne deviennent problématiques et mesure l’efficacité des actions engagées. En ce sens, il agit comme un véritable tableau de bord de la dimension humaine de l’organisation, capable de relier les aspects opérationnels et stratégiques.

Pour fonctionner correctement, il s’appuie sur un ensemble de systèmes internes — gestion administrative, suivi du temps de travail, paie, formation, enquêtes internes — dont les informations sont consolidées et harmonisées. Il peut également intégrer des éléments extérieurs, par exemple des données de marché ou des comparaisons sectorielles, afin d’offrir une perspective plus complète. Ce croisement de sources apporte de la profondeur à l’analyse et aide les responsables à situer leur organisation dans un contexte plus large.

Importance du tableau de bord social dans une entreprise

Au-delà des obligations formelles, ce dispositif joue un rôle essentiel dans la compréhension et la gestion de la dimension humaine au sein de l’organisation. Il permet d’avoir une vision claire de la composition des équipes, de l’évolution des coûts liés au personnel et du climat interne. Son intérêt réside dans sa capacité à rendre ces informations accessibles et à les transformer en repères utiles pour l’action.

Pour la direction générale, il offre une lecture concrète de la situation et éclaire les choix stratégiques. Pour les services dédiés à la gestion du personnel, il constitue un outil de suivi et d’anticipation, facilitant la détection des écarts et la mise en place de mesures correctives. Quant aux managers de terrain, ils y trouvent un moyen simple de comprendre les dynamiques propres à leur service, d’identifier les leviers d’amélioration et de dialoguer plus efficacement avec leurs équipes.

En rendant visibles des éléments parfois dispersés ou difficilement comparables, ce type de support renforce la cohérence entre les différents niveaux de l’organisation et encourage une approche plus collective de la gestion interne.

Les différents types de tableaux de bord social

On distingue plusieurs formes de tableaux de bord selon les besoins et la maturité de l’entreprise :

  • Le tableau de bord de suivi réglementaire, souvent orienté reporting, qui répond aux obligations légales (bilan social, indicateurs égalité femmes-hommes, etc.) ;
  • Le tableau de bord stratégique, destiné aux directions générales, qui synthétise les indicateurs les plus significatifs pour orienter la politique RH ;
  • Le tableau de bord opérationnel, plus détaillé, utilisé par les managers pour suivre l’activité, les coûts et la répartition des effectifs ;
  • Le tableau de bord prévisionnel, qui combine historique et data pour anticiper les besoins en compétences, la masse salariale ou les départs à venir.

Les éléments clés d’un tableau de bord social efficace

Pour être réellement exploitable, ce type d’outil doit être élaboré avec rigueur. L’objectif n’est pas d’accumuler des chiffres, mais de choisir les informations les plus utiles, d’en assurer la fiabilité et de les présenter de manière claire et lisible pour tous les utilisateurs.

Les indicateurs clés de performance (KPI) à suivre

Les indicateurs du tableau de bord social varient selon la taille, le secteur et les priorités de l’entreprise, mais certains sont incontournables :

Catégorie Indicateurs clés
Effectifs Nombre total de salariés, répartition par sexe, âge, statut, ancienneté
Masse salariale Évolution des coûts, répartition par service ou catégorie
Absentéisme Taux d’absence, motifs, répartition par période ou service
Turnover Taux d’entrée et de sortie, analyse des causes
Recrutement Nombre de postes ouverts, délais moyens, coûts associés
Formation Taux de participation, budget consacré, impact sur la performance
Conditions de travail Accidents, arrêts, bien-être, climat social

Ces indicateurs permettent de suivre la dynamique du capital humain, mais aussi de relier les données sociales aux indicateurs business, pour évaluer leur influence sur la rentabilité et la productivité.

Les sources de données pour le tableau de bord

La fiabilité des informations utilisées est essentielle pour obtenir une vision juste et cohérente de la situation. Celles-ci proviennent souvent de sources diverses, issues de différents services ou outils internes. Le principal enjeu consiste alors à les harmoniser : il faut s’assurer que tout parle le même langage, que les formats soient compatibles et que les chiffres ne se contredisent pas.

Rassembler ces éléments dans un système commun permet d’éviter les erreurs, de gagner du temps et de disposer d’une base solide pour l’analyse. En automatisant la mise à jour et en clarifiant les responsabilités de chacun dans la gestion de ces informations, l’organisation gagne en fiabilité, en efficacité et en confiance dans ses résultats.

La visualisation des données

Un dispositif efficace s’appuie avant tout sur une présentation claire et intuitive. Les représentations visuelles — qu’il s’agisse de graphiques, de cartes ou d’indicateurs dynamiques — facilitent la compréhension et rendent les informations plus parlantes.

L’objectif n’est pas d’en accumuler, mais de faire ressortir l’essentiel : les évolutions, les écarts, les points d’attention. Une bonne mise en forme permet de saisir en un regard ce qui mérite d’être approfondi.

Les solutions actuelles offrent en outre la possibilité d’interagir directement avec les données, de filtrer les résultats selon ses besoins et de partager facilement les analyses au sein de l’organisation.

L’interactivité du tableau de bord

L’époque du tableau Excel figé est révolue. Les outils de Business Intelligence permettent désormais de filtrer, explorer et commenter les données en temps réel.
Chaque utilisateur peut piloter son tableau selon ses besoins : zoomer sur un service, isoler une période, comparer les taux d’absentéisme ou d’évolution de la masse salariale.
Cette interactivité transforme le tableau de bord social en véritable outil de pilotage collaboratif, au service d’une gestion plus agile et plus transparente.

Les avantages du tableau de bord social

Un tableau de bord social bien conçu ne se limite pas à une compilation de chiffres ou à un exercice de conformité administrative. C’est un véritable levier de transformation pour l’organisation. En offrant une vision claire, partagée et structurée des dynamiques humaines, il contribue à instaurer une culture du pilotage fondée sur la compréhension et la confiance.

D’abord, il favorise une lecture transversale des réalités internes : chacun, qu’il soit dirigeant, responsable d’équipe ou collaborateur, peut identifier les tendances qui façonnent la vie de l’entreprise. Les décisions ne reposent plus sur l’intuition ou sur des impressions fragmentées, mais sur des éléments tangibles et contextualisés. Cette transparence améliore la communication entre les différentes directions et crée un terrain d’échange plus constructif.

Ensuite, la mise en perspective régulière des données sociales permet de replacer les actions RH dans une logique de progression continue. L’entreprise comprend mieux où elle en est, ce qu’elle doit consolider et ce qu’elle doit corriger. Ce suivi structuré renforce la cohérence entre la stratégie globale et les politiques humaines menées sur le terrain.

Enfin, en rendant visibles les signaux faibles, ce type d’outil aide à prévenir les déséquilibres et à anticiper les tensions. Il alimente un dialogue plus apaisé avec les représentants du personnel, fondé sur des faits vérifiables. Au-delà des chiffres, c’est donc un instrument de confiance, qui soutient la maturité managériale et encourage une vision plus durable du développement humain au sein de l’organisation.

Amélioration de la communication interne

Le partage d’informations favorise la clarté et renforce la confiance entre les différents services. Chacun dispose des mêmes éléments pour comprendre la situation et échanger sur des bases concrètes plutôt que sur des perceptions. Cette transparence facilite le dialogue, aligne les points de vue et rend les choix collectifs plus cohérents et mieux acceptés.

Prise de décision plus éclairée

Lorsque les informations essentielles sont réunies en un même endroit, il devient plus simple d’identifier les écarts entre la situation réelle et les résultats attendus. Ce regard global aide à comprendre les causes, à repérer les points de vigilance et à déterminer les actions prioritaires. Les choix se fondent alors sur des éléments concrets, ce qui permet d’agir plus rapidement et plus efficacement.

Engagement des équipes

Lorsqu’un dispositif de suivi est bien utilisé, il favorise un climat de confiance et de reconnaissance. Les collaborateurs perçoivent que leur contribution est prise en compte et que les actions engagées servent à améliorer leur quotidien. Ce sentiment d’écoute et de transparence renforce la cohésion, la motivation et l’implication au sein des équipes.

Suivi de la stratégie globale

Un système de mesure bien conçu contribue à maintenir l’alignement entre les orientations générales de l’organisation et les actions menées au quotidien. Il rend visibles les progrès accomplis, les résultats obtenus et les efforts à poursuivre. En reliant la dimension humaine à la trajectoire globale, il aide chacun à comprendre sa place et à agir dans une logique commune de performance durable.

Retour sur investissement

L’automatisation d’un dispositif de suivi permet de libérer un temps précieux pour les équipes, en supprimant les tâches répétitives et les manipulations manuelles. Les informations sont mises à jour sans effort, accessibles en permanence et exploitables immédiatement.
Au-delà du gain opérationnel, l’organisation y trouve un bénéfice concret : moins d’erreurs, une meilleure utilisation des ressources et une coordination plus fluide entre les services. Les efforts se concentrent enfin sur l’analyse et l’action, plutôt que sur la préparation des données.

Comment créer un tableau de bord social efficace

La mise en place d’un tel dispositif requiert une véritable préparation. Il ne suffit pas de rassembler des chiffres : il faut d’abord définir clairement les objectifs, déterminer les informations réellement utiles et impliquer les acteurs concernés dès le départ.

Cette démarche doit ensuite être structurée, avec une organisation rigoureuse des données et une répartition claire des rôles entre les équipes. Enfin, la réussite dépend autant de la méthode que de la communication : un outil compréhensible, partagé et utilisé par tous a bien plus de valeur qu’un système complexe resté théorique.

Définir les objectifs

La première étape consiste à clarifier l’intention du projet. Il s’agit de déterminer ce que l’on souhaite réellement observer, comprendre ou améliorer. Cette phase de cadrage permet d’éviter la dispersion et de concentrer les efforts sur les éléments qui ont un véritable impact. Chaque mesure retenue doit servir à éclairer une action ou à mettre en évidence un point de vigilance, afin que le dispositif conserve tout son sens.

Sélectionner les éléments de suivi

Une fois les priorités fixées, il convient de choisir les repères les plus utiles. Mieux vaut se limiter à quelques éléments bien définis, simples à comprendre et actualisés régulièrement. Leur pertinence repose autant sur la fiabilité des informations collectées que sur la capacité des utilisateurs à les interpréter et à s’en servir concrètement. Ce travail de sélection conditionne la clarté et la valeur du dispositif.

Collecter et interpréter les informations

Le rassemblement des données représente souvent la partie la plus technique du projet, car il nécessite d’unifier plusieurs sources et de garantir leur cohérence. Une fois ces éléments regroupés, l’analyse peut commencer. Elle ne se limite pas à décrire la situation : elle vise à en comprendre les causes, à identifier les tendances et à déterminer les actions à engager. C’est à ce moment que la réflexion prend tout son sens et que l’outil devient un véritable levier d’amélioration.

Visualiser les données de manière claire et concise

La manière dont les éléments sont présentés influence directement leur compréhension. Une mise en forme soignée, reposant sur des repères visuels simples et cohérents, facilite la lecture et permet de repérer immédiatement ce qui compte. L’objectif est de rendre le contenu accessible à tous, même à ceux qui ne sont pas familiers des outils d’analyse, tout en donnant du sens aux chiffres présentés.

Partager le tableau de bord avec les employés

Un dispositif de suivi prend toute sa valeur lorsqu’il est partagé. Les solutions actuelles permettent de transmettre automatiquement les rapports aux bonnes personnes, selon leur rôle et leur niveau de responsabilité. Cette diffusion régulière renforce l’implication, aligne les actions et aide chacun à comprendre sa contribution aux objectifs communs.

MyReport, l’outil ultime pour la gestion de votre tableau de bord social

MyReport soutient les organisations dans la création d’outils de suivi efficaces et accessibles à tous. La plateforme réunit en un seul environnement les fonctions nécessaires pour rassembler, structurer, interpréter et diffuser les informations, sans exiger de connaissances techniques particulières.

Centraliser et consolider les données sociales

Avec MyReport, toutes vos données RH sont regroupées dans un environnement unique : paie, SIRH, gestion des temps, formation, recrutement…
La plateforme consolide automatiquement les données issues de différentes sources pour offrir une vision complète et cohérente de votre capital humain.

Automatiser la collecte et le traitement des données

Finies les manipulations répétitives sous Excel ! MyReport automatise la collecte, la mise à jour et le traitement de vos données sociales.
Les tableaux sont rafraîchis automatiquement selon la fréquence souhaitée, garantissant une information toujours fiable et à jour.

Créer des tableaux de bord interactifs et personnalisés

Grâce à sa couche de datavisualisation intuitive, MyReport vous permet de concevoir des tableaux de bord sur mesure : indicateurs RH, masse salariale, effectifs, taux d’absentéisme, recrutement, formation, etc.
Les utilisateurs peuvent piloter les données en toute autonomie, filtrer par service, période ou fonction, et partager leurs analyses en un clic.

Suivre et analyser les indicateurs de performance sociale

MyReport facilite l’analyse des performances sociales à tous les niveaux de l’entreprise.
Les indicateurs sont centralisés, les écarts identifiés, les tendances mises en évidence.
Vous disposez d’un tableau de bord clair pour suivre l’évolution des effectifs, du climat social ou du coût du travail, et prendre des décisions éclairées.

Produire des rapports automatisés

En un clic, générez vos rapports sociaux et RH prêts à être diffusés : reporting trimestriel, bilan social, indicateurs obligatoires, ou suivi des objectifs internes.
Les exports peuvent être partagés en ligne ou par mail, garantissant une circulation fluide de l’information.
MyReport transforme la complexité du pilotage social en une expérience simple, automatisée et fiable.

Pour aller plus loin, découvrez :
👉 Tableaux de bord pour Reporting BI
👉 Business Intelligence pour la gestion RH

En résumé

Le tableau de bord social est bien plus qu’un simple outil de suivi : c’est un levier stratégique au service de la performance humaine et organisationnelle.
En centralisant les données, en rendant les indicateurs accessibles et en favorisant une culture de la décision fondée sur la data, il permet aux entreprises de mieux piloter leurs ressources humaines et de renforcer leur intelligence collective.

Avec MyReport, la donnée sociale devient un moteur de pilotage concret : fiable, lisible et actionnable. Parce qu’une entreprise performante repose avant tout sur des décisions éclairées… et des données bien exploitées.

L’Extraction, Transformation, Chargement de vos données (ETL) : un enjeu majeur pour la BI

Dans un environnement où la data guide les décisions, les entreprises font face à un défi constant : transformer la masse d’informations qu’elles produisent en leviers d’action concrets. Ces données, éparpillées entre différents systèmes, applications et fichiers, sont souvent complexes à exploiter.
C’est précisément le rôle du processus ETL – pour Extraction, Transformation et Chargement – de collecter, structurer et fiabiliser ces informations. L’ETL constitue ainsi la colonne vertébrale de toute architecture de BI pour la performance de votre entreprise, permettant d’obtenir une vision claire, cohérente et exploitable de l’activité.

Que veut dire ETL exactement ?

L’acronyme ETL désigne un ensemble d’étapes destinées à faire circuler la data entre différents environnements informatiques. Ce processus d’intégration permet de transformer des données brutes issues de multiples sources en informations prêtes à l’analyse.
Concrètement, l’ETL se compose de trois phases :

  • l’extraction, qui consiste à collecter les données depuis leurs sources d’origine ;
  • la transformation, où ces données sont nettoyées, converties et harmonisées ;
  • le chargement, qui insère les données dans l’entrepôt de données cible.

Ce traitement structuré garantit la qualité, la traçabilité et la fiabilité de la donnée. Une variante, l’ELT (Extract, Load, Transform), est aujourd’hui privilégiée dans certaines architectures cloud où la transformation intervient directement dans l’entrepôt. Les deux approches répondent au même objectif : permettre une meilleure gestion et une exploitation optimale de la data.

Extraction : la première étape du processus

Identifier et collecter les sources de données

L’extraction représente le point de départ du processus ETL. Elle consiste à repérer, extraire et agréger les données dispersées dans les différents systèmes de l’entreprise : ERP, CRM, logiciels comptables, outils RH, fichiers Excel ou CSV, mais aussi sources externes comme les open data ou les flux d’applications cloud.
Ces données extraites sont souvent brutes, non structurées et hétérogènes. L’enjeu est donc de récupérer la bonne information tout en gérant la fréquence des extractions, la volumétrie et la diversité des formats.

Garantir la continuité du flux de données

Un système ETL efficace automatise cette phase pour limiter les erreurs humaines et garantir la cohérence entre les environnements. Les pipelines de données assurent la continuité du flux et la stabilité du processus.
C’est aussi à ce stade que s’opère une première gestion des sources : identification, sécurisation, documentation et préparation du stockage. Une bonne extraction conditionne directement la qualité du traitement et des analyses futures.

Transformation : rendre les données exploitables

Nettoyer, valider et structurer les données

Une fois extraites, les données passent à la transformation. Cette étape est au cœur du processus ETL, car elle permet de rendre la donnée cohérente et exploitable.
Le traitement peut inclure plusieurs opérations : conversion des formats, normalisation des champs, suppression des doublons, calculs métiers, regroupements ou contrôles de qualité. Les transformations garantissent la fiabilité et la pertinence de la donnée avant son intégration dans l’entrepôt cible.
Dans certaines solutions, ces transformations peuvent être automatisées via des règles métiers ou des scripts sans code, facilitant ainsi le travail des utilisateurs métiers.

Préparer la donnée pour l’analyse

La transformation ne se limite pas au nettoyage : elle prépare la donnée pour les outils d’analyse, de reporting et de visualisation. Les informations peuvent être réorganisées par client, par zone géographique ou par activité afin d’offrir une vue analytique pertinente.
Dans les architectures cloud modernes, notamment sur AWS ou d’autres plateformes de stockage, ces opérations sont optimisées pour un traitement rapide et scalable. Les entreprises bénéficient alors d’un entrepôt de données performant, alimenté par un flux fiable et documenté.

Chargement : alimenter l’entrepôt de données

Insérer les données dans la base cible

Le chargement constitue la dernière étape du processus ETL. Il consiste à insérer les données transformées dans un entrepôt de données ou data warehouse.
On distingue généralement deux méthodes de chargement :

Méthode Description
Chargement complet Remplace la totalité des données à chaque cycle
Chargement incrémental Met à jour uniquement les nouvelles données depuis le dernier traitement

Ce choix dépend de la volumétrie, de la fréquence des mises à jour et de l’architecture du système. Les environnements cloud permettent désormais de gérer ces opérations de manière flexible, en ajustant la puissance de calcul selon les besoins.

Optimiser la performance et la gouvernance

L’ETL ne se limite pas à déplacer des données. Il assure également leur fiabilité, leur sécurité et leur traçabilité. Chaque chargement permet de maintenir un historique des traitements et de garantir la conformité des informations utilisées dans les outils d’analyse.
Le résultat : une donnée toujours à jour, prête à alimenter les tableaux de bord et à soutenir la prise de décision.

Pourquoi utiliser un ETL dans la Business Intelligence ?

Les solutions ETL sont indispensables à la réussite d’une stratégie BI. Elles permettent de centraliser les données, de fiabiliser les flux et d’automatiser les traitements répétitifs.
En facilitant l’intégration et le contrôle de la data, l’ETL améliore la qualité des informations disponibles pour l’analyse. Il contribue aussi à renforcer la gouvernance de la donnée : documentation des sources, contrôle des accès, suivi des performances et sécurisation du stockage.

Un levier pour la performance des entreprises

Pour les entreprises, l’ETL représente un levier d’efficacité et de fiabilité. Il simplifie la gestion des flux de données et garantit une cohérence totale entre les différents systèmes d’information.
Les outils modernes, souvent disponibles en mode cloud, permettent d’intégrer facilement de nouvelles sources et de gérer des volumes croissants sans perte de performance.

MyReport, la solution ETL intégrée à votre BI

Connectivité étendue aux sources de données

MyReport se distingue par sa capacité à se connecter à une multitude de sources : ERP, logiciels de gestion, CRM, fichiers plats, bases de données SQL, outils web analytics ou encore données ouvertes.
Cette connectivité étendue simplifie l’intégration et assure la continuité du flux de données, quel que soit le système d’origine.

Centralisation et consolidation des données

En reliant toutes les sources de données, MyReport permet de centraliser l’information dans un entrepôt unique et sécurisé.
Les données issues de différents systèmes sont consolidées, homogénéisées et prêtes à être exploitées pour l’analyse.
Cette centralisation élimine les silos de données, renforce la cohérence globale et favorise une prise de décision éclairée.

Fiabilisation et actualisation des données

MyReport automatise les flux de collecte et de traitement, réduisant les erreurs liées à la saisie manuelle.
Les contrôles intégrés assurent la qualité et la cohérence entre la source et la cible, garantissant la fiabilité du processus complet.
Les données peuvent être actualisées à intervalle régulier ou selon des déclencheurs personnalisés, offrant ainsi une vue toujours à jour de l’activité.

Simplicité d’utilisation et autonomie des utilisateurs

Conçu pour être accessible aux utilisateurs non techniques, MyReport démocratise l’usage de l’ETL au sein des organisations.
Grâce à une interface intuitive et à une intégration native avec Excel, il permet à chacun de créer, automatiser et diffuser ses rapports sans dépendre de la DSI.
C’est une solution idéale pour les entreprises souhaitant combiner puissance, fiabilité et simplicité d’usage.

En conclusion

L’ETL est bien plus qu’un outil technique : c’est un maillon central du processus d’intégration des données et un levier clé de la Business Intelligence. De l’extraction à la transformation, jusqu’au chargement dans l’entrepôt cible, il garantit la qualité, la cohérence et la traçabilité des informations issues de multiples sources et systèmes. Découvrez nos tableaux de bord pour Reporting BI
Grâce à lui, les entreprises disposent d’une data consolidée, fiable et toujours à jour pour piloter leurs activités. Ce traitement structuré facilite la prise de décision et renforce la performance globale des organisations.
Avec MyReport, cette gestion des flux devient simple, automatisée et fiable. La solution réunit extraction, transformation et chargement dans un environnement intuitif, sans code et compatible cloud.
Une approche pragmatique de la data et du reporting, au service d’une gouvernance maîtrisée et d’une performance durable.

MyReport 7.0 : 7 nouveautés clés pour renforcer la satisfaction de vos équipes 

MyReport 7.0, c’est la réponse à un double enjeu : simplifier le quotidien des utilisateurs métiers et libérer du temps aux équipes IT.  

Parfois encore, la production de reportings et la gestion des données sont synonymes de dépendances, de pertes de temps ou de petites frustrations au quotidien. 

Cette nouvelle version de MyReport a été pensée pour lever ces irritants. Elle intègre 7 nouveautés majeures qui changent réellement l’expérience utilisateur, de la DSI jusqu’aux directions métiers. 

On vous laisse les découvrir ! 

Chargez vos fichiers directement depuis MyReport Center 

J-1 avant votre comité de direction, qui a lieu demain matin.  

Vous faites le point : il vous reste la journée pour avancer sur la production des rapports dont vous avez besoin.  

À cette occasion, vous avez ajusté vos prévisionnels en tenant compte des imprévus de début d’année et souhaitez présenter vos KPI clefs. 

Vous ouvrez un mail, glissez votre fichier Excel en PJ et écrivez : 

« Bonjour la DSI, 

Pouvez-vous svp intégrer les données de ce fichier Excel dans MyReport ? 

Merci par avance, 

La DAF » 

La réponse de votre DSI ne se fait pas attendre : « On est en pleine migration d’outil mais on s’en occupe dans la semaine ! ». 

Aoutch, ça s’annonce mal pour votre CODIR de demain 😕 

Que diriez-vous de pouvoir charger vos fichiers vous-même dans MyReport ? 

Avec MyReport 7.0, vous pouvez désormais uploader vos fichiers directement depuis votre plateforme de data visualisation ! 

Plus besoin d’attendre qu’un administrateur intègre vos données : vous actualisez vos reportings en toute autonomie.  

Pour vous, métiers, c’est la garantie d’avoir des données à jour et à temps pour une réunion importante.  

Et pour la DSI, c’est un gain de sérénité : moins de sollicitations ponctuelles, plus de temps pour se concentrer sur les projets stratégiques. 

Gérez les droits d’accès en toute simplicité

Un nouveau collaborateur vient d’arriver dans votre équipe.  

Vous souhaitez lui donner des droits pour qu’il puisse produire ses rapports avec MyReport. 

Pour ce faire, impossible de ne pas passer par l’IT qui doit intervenir dans MyReport Administrator. Et vous savez qu’ils sont encore très pris par leur migration d’outil.  

À priori, votre nouvel arrivant va devoir attendre un peu avant de pouvoir mettre le nez dans ses reportings…  

Sauf si vous profitez de l’une des nouvelles fonctionnalités clés de MyReport ! 

La version 7.0 introduit la possibilité de configurer des droits d’accès partiels.  

Concrètement, cela signifie que les administrateurs peuvent déléguer la gestion des autorisations aux utilisateurs clés tout en gardant la maîtrise du reste du système.  

Les métiers gagnent en réactivité, la DSI en efficacité.  

Une gestion des accès plus fluide, sans compromis sur la sécurité ni sur la gouvernance. 

Une seule authentification pour tous vos modules

Désormais avec MyReport 7.0, une seule authentification suffit pour l’ensemble des modules ! En effet, cette nouvelle version intègre le Single Sign-On (SSO). Résultat : vous vous connectez une fois, et vous naviguez ensuite sans rupture dans tous les modules MyReport.  

Mieux encore, cette version apporte le support de l’authentification multi-facteurs (MFA). Vous combinez donc confort d’utilisation et sécurité renforcée, un équilibre attendu depuis longtemps par les utilisateurs comme par les DSI. 

Adaptez MyReport à votre charte graphique

Vous vous êtes déjà dit que vos tableaux de bord auraient plus de panache s’ils étaient au couleur de votre entreprise ?  

Si la version 6.0 vous permet déjà de personnaliser la palette de couleurs de vos graphiques, il est désormais possible avec la 7.0 de personnaliser l’interface de MyReport Center selon la charte graphique de votre entreprise. Logo et couleurs principales viennent habiller les tableaux de bord, pour que chaque collaborateur se retrouve dans un environnement familier. Une personnalisation simple, mais qui favorise l’adhésion et l’engagement des équipes.

Une navigation plus fluide et intuitive

Vous cherchez régulièrement le bouton pour sortir de votre tableau de bord ? Votre navigation n’est pas toujours fluide ? L’emplacement des menus ou des options ne vous semble pas toujours évident ? 

La navigation dans un outil doit être la plus simple possible pour vous éviter de perdre du temps dans vos manipulations et ne pas frustrer les nouveaux utilisateurs qui ne sont pas encore familiers avec l’outil. 

La nouvelle interface de MyReport Center a été repensée dans une logique de simplicité et d’homogénéité. Les éléments de navigation sont désormais standardisés et plus intuitifs. Résultat : une expérience fluide, un apprentissage plus rapide pour les nouveaux utilisateurs, et un confort accru pour les équipes qui utilisent MyReport au quotidien. 

25 améliorations inspirées de vos retours

Vos collègues vous demandent régulièrement des informations complémentaires sur un tableau de bord ? Vous perdez souvent du temps à recréer le paramétrage d’une alerte, d’un filtre ou d’une condition déjà existant ? Vous en avez marre de devoir systématiquement aller chercher la date du jour dans le calendrier des conditions pour voir vos KPI d’aujourd’hui ? 

Avec cette nouvelle version, nous avons intégré 25 améliorations directement issues de vos retours. Parmi elles : 

  • L’ajout d’une description enrichie d’un report pour faciliter la compréhension et le partage des analyses,  
  • La duplication d’une alerte, d’un filtre ou d’une condition 
  • L’ajout du bouton “Aujourd’hui” pour sélectionner la date du jour en un clic sur les conditions de type “Liste déroulante” de type Date. 

Notre objectif : supprimer les points de friction pouvant freiner vos usages. Et vous apporter ainsi encore plus de confort au quotidien. 

Extension DSN désormais disponible en Saas 

DSN… si ces 3 lettres suffisent à vous donner des sueurs froides, alors on a quelque chose qui peut vous changer la vie ! 

En effet, la gestion de la Déclaration Sociale Nominative (DSN) est une contrainte administrative incontournable. Mais son traitement reste souvent complexe et chronophage, en particulier lorsque les outils ne sont pas adaptés. 

C’est pour vous apporter une réponse concrète que nous avons sorti en janvier 2024 l’extension MyReport x DSN. 

Sa promesse : transformer votre fichier DSN en tableaux de bord répondants à toutes vos questions Paie et RH

D’abord disponible en version on-premise, l’extension est à présent disponible en Saas et s’accompagne d’une mécanique de vérification de vos données poussée. La qualité de vos données n’est plus un sujet de préoccupation et vous pouvez vous concentrer sur ce qui compte vraiment : gérer l’humain et répondre à vos obligations légales en toute conformité

Pour en savoir plus sur l’extension MyReport x DSN, rendez-vous sur notre page dédiée.

Avec MyReport 7.0, nous avons voulu transformer les petites frustrations du quotidien en véritables opportunités d’amélioration.  

Autonomie renforcée pour les métiers, allègement des tâches pour la DSI, sécurité accrue et interface plus intuitive : cette nouvelle version a été conçue pour que chacun gagne en confort et en efficacité

MyReport 7.0, c’est un pas supplémentaire pour faire de MyReport la solution d’analyse de données la plus complète et la plus facile à utiliser

Les 10 idées reçues sur la Business Intelligence

La Business Intelligence (BI) désigne l’ensemble des technologies et processus permettant de transformer les données de l’entreprise en informations exploitables pour la décision.
Elle facilite la collecte, la consolidation et l’analyse des données issues de différentes sources, afin de mieux comprendre la performance et d’orienter les actions à venir.

Si la BI s’impose aujourd’hui comme un levier stratégique pour les organisations, de nombreuses idées reçues persistent et freinent encore son adoption.
Ces croyances, souvent héritées d’une vision ancienne ou technique de la BI, masquent la réalité d’outils désormais accessibles, intuitifs et pensés pour les utilisateurs métiers.
Cet article revient sur dix idées reçues courantes, et explique pourquoi elles ne sont plus fondées.

La Business Intelligence est aujourd’hui une solution accessible, simple à déployer et utile à toutes les fonctions de l’entreprise. Contrairement aux idées reçues, elle ne nécessite pas de compétences techniques avancées, n’impose pas de transformations lourdes du SI et ne se limite ni au reporting ni au service financier. Les outils modernes automatisent la consolidation, améliorent la qualité des données, renforcent la sécurité et permettent de démarrer progressivement. La BI devient ainsi un levier stratégique pour piloter la performance et éclairer la décision.

1. La BI, c’est uniquement pour les grandes entreprises.

La Business Intelligence a longtemps été associée aux grands groupes disposant de volumes de données importants et de moyens techniques conséquents. Aujourd’hui, les solutions ont profondément évolué : elles sont plus légères, plus flexibles et adaptées aux besoins des PME.

Grâce à des connecteurs standards et à des modèles de licences adaptés, les petites structures peuvent désormais piloter leur activité avec la même précision qu’une grande entreprise. La BI n’est plus une question de taille, mais de maturité dans la gestion de la donnée.

2. Je n’ai pas les compétences techniques pour mettre en place un projet BI.

La mise en œuvre d’une solution de BI ne nécessite plus de compétences techniques avancées. Les outils modernes reposent sur des interfaces ergonomiques et intuitives, permettant à tout utilisateur de créer des rapports ou tableaux de bord sans coder.

Les concepts de self-service BI et de glisser-déposer ont remplacé les lignes de requêtes complexes.
La donnée devient ainsi accessible à tous les métiers, sans dépendance excessive à la DSI.

3. Excel me suffit pour faire du reporting.

Excel demeure un outil incontournable pour manipuler les données, mais ses limites apparaissent rapidement lorsqu’il s’agit de traiter plusieurs sources, d’automatiser les mises à jour ou de fiabiliser les analyses.

La BI, à l’inverse, automatise la consolidation, sécurise les échanges et assure une mise à jour régulière des indicateurs. Certains outils, comme MyReport, conservent une compatibilité native avec Excel, permettant de combiner la simplicité du tableur et la puissance d’une solution décisionnelle complète.

4. Intégrer un outil de BI dans mon SI sera trop compliqué.

L’intégration d’une solution de BI n’implique plus de transformations lourdes du système d’information.

Les solutions actuelles s’interfacent facilement avec les principaux logiciels métiers (ERP, CRM, bases de données, outils comptables) grâce à des connecteurs prêts à l’emploi. Elles permettent notamment :

  • de se connecter rapidement aux outils déjà en place, sans développements spécifiques ;
  • d’intégrer progressivement de nouvelles sources de données au fil du projet ;
  • de déployer la BI sans interrompre l’activité ou modifier les processus existants ;
  • de valoriser immédiatement les données disponibles pour obtenir des résultats rapides ;
  • de limiter la dépendance aux équipes techniques grâce à des mécanismes d’automatisation.

5. La BI, c’est seulement pour les services financiers.

Si la BI s’est d’abord développée dans les directions financières, elle concerne désormais l’ensemble des fonctions de l’entreprise.

Les directions commerciales l’utilisent pour suivre :les ventes et les marges, les équipes marketing pour mesurer l’efficacité des campagnes, et les ressources humaines pour suivre les indicateurs de performance sociale. La BI est un outil transversal, au service de la performance collective.

👉 Découvrez comment instaurer une culture Data Driven au sein de votre entreprise.

6. La BI ne sert qu’à créer des reportings.

La Business Intelligence dépasse largement la simple production de rapports. Elle couvre l’ensemble du cycle de vie de la donnée : collecte, nettoyage, structuration, analyse et diffusion.

Elle permet également de passer d’une logique descriptive à une approche prédictive, en identifiant les tendances et les leviers de performance. La BI devient ainsi un véritable outil d’aide à la décision, et non un simple générateur de graphiques.

7. Je ne sais pas par où commencer avec la BI.

Un projet BI peut se déployer de manière progressive. Il n’est pas nécessaire de définir l’ensemble du périmètre dès le départ : il est souvent plus efficace de commencer par un domaine précis (reporting financier, performance commerciale, suivi RH) et d’élargir ensuite.

Cette approche incrémentale favorise l’appropriation par les utilisateurs et limite les risques.
La clé réside dans le choix d’un outil évolutif, capable d’accompagner la montée en maturité de l’organisation.

8. Mettre en place une BI va bouleverser mes processus internes.

L’introduction d’une solution de BI ne remet pas en cause les processus existants, elle les optimise. En automatisant les tâches de collecte et de retraitement, elle libère du temps pour l’analyse et la prise de décision.

Les collaborateurs conservent leurs habitudes de travail, tout en disposant d’informations plus fiables et plus récentes. La BI s’intègre dans les pratiques, sans rupture organisationnelle.

9. Mes données ne sont pas assez propres pour la BI.

Idée clé Description Rôle de la BI
La qualité de la donnée ne doit pas freiner le démarrage Les outils de BI intègrent des fonctions de contrôle et de nettoyage capables de détecter doublons, erreurs de saisie et incohérences. Contrôle, détection d’anomalies, nettoyage automatisé
Un projet BI améliore la qualité des données La BI contribue à instaurer une gouvernance et des règles de fiabilisation continues. Gouvernance, standardisation, fiabilisation progressive

10. La BI, c’est risqué pour la sécurité de mes données

La sécurité est au cœur des solutions de BI modernes. Elles intègrent des protocoles avancés de chiffrement, des systèmes d’authentification, et une gestion fine des droits utilisateurs.

Les données peuvent être hébergées dans des environnements certifiés et conformes aux réglementations européennes (RGPD).En centralisant les accès et les échanges, la BI réduit au contraire les risques liés à la dispersion de fichiers non sécurisés.

Conclusion

La Business Intelligence n’est plus un projet technique réservé à quelques experts. Elle est devenue un outil stratégique, au service de toutes les fonctions de l’entreprise.
Accessible, évolutive et interopérable, elle permet de piloter la performance, de fiabiliser les données et d’éclairer la décision. Derrière les tableaux de bord, c’est une culture de la donnée qui s’installe : partagée, mesurable et orientée résultat.
Dépasser les idées reçues sur la BI, c’est ouvrir la voie à une entreprise plus agile et plus informée.

FAQ.

Non. Les solutions actuelles sont légères, modulaires et adaptées aux PME. Elles s’installent facilement et permettent un pilotage aussi précis que celui des grandes organisations.

Pas nécessairement. Les outils modernes reposent sur des interfaces intuitives, du glisser-déposer et des logiques de self-service. Les métiers peuvent créer leurs rapports sans coder.

Excel reste utile, mais il atteint vite ses limites pour consolider plusieurs sources, automatiser les mises à jour ou fiabiliser les données. La BI sécurise, centralise et actualise automatiquement les indicateurs, tout en restant compatible avec Excel selon les solutions (comme MyReport).

Tableau de bord commercial : piloter la performance de votre entreprise

Le tableau de bord commercial, indispensable pour piloter la performance

Dans toute entreprise, la fonction commerciale joue un rôle vital : générer du chiffre, fidéliser les clients et atteindre des objectifs de croissance. Pourtant, sans une vision claire des résultats et des tendances, il devient difficile de savoir si la stratégie déployée est réellement efficace. C’est là qu’intervient le tableau de bord commercial. Cet outil structuré permet de regrouper les données essentielles issues de différentes sources et de les transformer en indicateurs accessibles, directement exploitables par les équipes.

Qu’est-ce qu’un tableau de bord commercial et pourquoi est-il crucial pour les entreprises ?

Un tableau de bord n’est pas simplement une suite de graphiques. C’est un dispositif de suivi qui centralise les informations nécessaires au pilotage des ventes. En condensant les données issues du CRM, du marketing digital ou des outils de gestion interne, il offre une lecture rapide et synthétique des performances. Pour une entreprise, disposer de ce support est devenu incontournable afin de prendre des décisions éclairées, réagir rapidement aux évolutions du marché et aligner les actions commerciales avec les objectifs stratégiques.

Rôle central dans le suivi des performances et l’atteinte des objectifs de vente

Le tableau de bord commercial n’est pas réservé aux dirigeants. Les équipes commerciales et leurs responsables en tirent aussi profit au quotidien. Grâce à lui, chaque action menée peut être reliée à un indicateur mesurable : nombre de rendez-vous réalisés, taux de transformation, valeur moyenne des affaires signées. Ce suivi régulier rend possible une gestion proactive, en anticipant les écarts par rapport aux prévisions et en adaptant la stratégie en conséquence.

Outil d’aide à la décision pour les équipes commerciales et les managers

L’enjeu n’est pas seulement d’afficher des chiffres. Le tableau de bord se transforme en outil de pilotage. Les managers peuvent suivre la progression de leur équipe, détecter les zones de blocage dans le pipeline et ajuster les priorités. Les commerciaux, de leur côté, accèdent à une vision claire de leur activité et peuvent analyser leurs résultats pour améliorer leur efficacité.

Les bénéfices clés du tableau de bord commercial

Visualisation claire des indicateurs de performance

Les tableaux de bord facilitent la compréhension des données en les transformant en graphiques intuitifs. Plutôt que de parcourir de longs tableaux chiffrés ou des fichiers Excel complexes, les responsables et les équipes commerciales accèdent à une visualisation claire et immédiate. Un graphique en barres peut par exemple comparer les ventes par produit ou par région, une courbe illustrer l’évolution du chiffre d’affaires au fil des mois, tandis qu’un indicateur visuel met en avant le taux de conversion ou le niveau d’atteinte des objectifs. Cette représentation rend les informations plus lisibles et surtout plus accessibles pour l’ensemble des collaborateurs, qu’ils soient experts en analyse de données ou non.

En rendant la lecture plus fluide, les tableaux de bord réduisent le temps nécessaire pour interpréter les indicateurs et facilitent la prise de décision. Ils permettent aussi d’identifier rapidement les tendances positives à renforcer et les signaux d’alerte sur lesquels concentrer des actions correctives. En d’autres termes, la visualisation transforme le reporting en un véritable outil de pilotage, directement utile au quotidien pour les commerciaux comme pour les managers.

Identification des tendances et des opportunités

En regroupant les informations historiques, les tableaux de bord aident à mettre en évidence des signaux faibles qui passeraient inaperçus dans un reporting classique. Une baisse du volume des ventes dans une zone géographique, l’augmentation progressive du panier moyen ou encore l’évolution du taux de conversion selon les canaux deviennent visibles en un coup d’œil. Cette lecture comparée dans le temps permet aux équipes commerciales d’anticiper les opportunités comme les risques, et d’ajuster leurs actions avant que l’impact ne devienne trop important.

Amélioration de l’efficacité et de la productivité des équipes

Avec un outil adapté, les commerciaux ne perdent plus de temps à rechercher des données dispersées dans différents fichiers ou logiciels. Les informations clés sont centralisées dans un même tableau de bord, actualisées et prêtes à l’emploi. Cette simplification leur permet de se concentrer pleinement sur leurs clients, de suivre leurs objectifs plus facilement et de consacrer davantage d’énergie aux actions à forte valeur ajoutée, comme la conclusion d’affaires ou l’identification de nouvelles opportunités commerciales.

Prise de décision rapide et éclairée

Les responsables disposent d’un support fiable pour prendre des décisions et ajuster la stratégie commerciale en temps réel. Grâce à une vue consolidée des indicateurs clés, ils peuvent comparer les résultats aux objectifs fixés, détecter rapidement les écarts et décider des actions correctives à mettre en place. Cette réactivité permet de piloter plus efficacement les équipes, d’optimiser l’allocation des ressources et de saisir les opportunités dès qu’elles apparaissent.

Construire un tableau de bord commercial efficace

Définir les objectifs et les KPI

Un tableau de bord n’a de valeur que s’il est conçu en cohérence avec les objectifs de l’entreprise. Avant de choisir les indicateurs, il est essentiel de clarifier la stratégie commerciale : croissance du chiffre d’affaires, conquête de nouveaux clients, augmentation du taux de rétention. Les KPI les plus fréquents incluent le nombre de leads générés, le taux de conversion, la marge brute ou encore le panier moyen. Chaque organisation doit adapter ces choix selon son secteur d’activité et son modèle économique.

Choisir les sources de données

Un tableau de bord commercial performant s’appuie sur des données fiables. Celles-ci proviennent souvent du CRM, des plateformes e-commerce, des outils de suivi marketing ou encore des logiciels de facturation. Pour gagner en pertinence, il est recommandé de relier plusieurs sources afin de couvrir l’ensemble de l’activité. L’intégration multi-sources permet d’obtenir une vision globale et d’éviter les biais liés à des informations partielles.

Structurer le tableau de bord

Un bon tableau repose sur une organisation claire. Les indicateurs doivent être regroupés par thème (ventes, acquisition, fidélisation) et hiérarchisés selon leur importance. L’usage de graphiques adaptés est déterminant : un histogramme pour comparer les ventes par produit, une courbe pour suivre l’évolution du chiffre d’affaires, un camembert pour analyser la répartition des clients. L’objectif reste toujours la lisibilité et la rapidité d’interprétation.

Les indicateurs clés à suivre

Indicateurs de performance des ventes

Les entreprises suivent en priorité le chiffre d’affaires global, mais également le volume des ventes par produit, par région ou par canal. Ces indicateurs mettent en lumière les performances commerciales et permettent d’identifier les zones de progression.

Indicateurs d’acquisition de clients

Le nombre de leads générés, le coût d’acquisition et le taux de conversion constituent des métriques essentielles. En analysant les canaux d’acquisition (site web, campagnes marketing, réseaux sociaux), il devient possible de déterminer où concentrer les efforts pour maximiser l’efficacité.

Indicateurs de fidélisation client

La croissance durable repose sur la capacité à conserver les clients existants. Le tableau de bord inclut donc le taux de rétention, la valeur vie client ou encore la satisfaction mesurée par des enquêtes. L’analyse du churn aide à comprendre pourquoi certains clients cessent leurs achats et comment y remédier.

Indicateurs d’activité commerciale

Au-delà des ventes, il est utile de mesurer l’activité quotidienne des commerciaux : nombre d’appels, de rendez-vous, taux de réponse, suivi des opportunités. Ces données reflètent l’implication des équipes et permettent aux managers de mieux encadrer les actions.

Synthèse des indicateurs commerciaux à suivre
Dimension Objectif Indicateurs (exemples)
Performance des ventes Mesurer le chiffre et la croissance Chiffre d’affaires, volume de vente, croissance par produit / client / région, écart aux objectifs.
Acquisition Optimiser la génération et la conversion Leads générés, coût d’acquisition, taux de conversion, performance par canal.
Fidélisation Renforcer la rétention et la valeur Taux de rétention, valeur vie client, satisfaction (NPS/CSAT), churn et causes principales.
Activité commerciale Piloter l’exécution terrain Appels / rendez-vous, taux de réponse, pipeline par étape, performance individuelle.

Outils et technologies pour les tableaux de bord commerciaux

Logiciels de CRM : Salesforce, HubSpot, Zoho, etc.

Les solutions de CRM intègrent souvent des fonctions de reporting et d’analyse. Elles facilitent le suivi des clients et des affaires en cours, tout en centralisant l’historique des interactions. Toutefois, leurs possibilités de personnalisation restent parfois limitées lorsqu’il s’agit de concevoir un tableau de bord commercial spécifique.

Outils de Business Intelligence (BI)

Les outils de BI vont plus loin en offrant une visualisation avancée des données et la possibilité de créer des rapports sur mesure. Ils permettent également d’automatiser la production des tableaux de bord. Des solutions comme MyReport (Tableaux de bord pour Reporting BI) offrent un compromis idéal : simplicité d’utilisation, intégration avec Excel et capacité à diffuser les informations à toute l’entreprise.

Exemples de tableaux de bord commerciaux

Tableau de bord des ventes : suivi du chiffre d’affaires et des performances

Ce type de tableau rassemble les principaux indicateurs liés aux ventes : chiffre global, progression par période, comparaison avec les objectifs fixés.

Tableau de bord des leads : analyse de l’acquisition et de la conversion des prospects

Ici, l’accent est mis sur la génération de leads et le suivi du pipeline. On y retrouve le nombre de prospects entrants, le taux de conversion par canal et la répartition des opportunités par étape du cycle de vente.

Tableau de bord de la performance des commerciaux : suivi des activités et des résultats

Cet exemple s’intéresse à l’activité individuelle et collective des commerciaux : rendez-vous réalisés, affaires signées, respect des objectifs. Les managers peuvent comparer les performances et identifier les bonnes pratiques à diffuser au sein de l’équipe.

Le tableau de bord commercial, un levier de croissance

Un tableau de bord commercial bien conçu ne se limite pas à un reporting figé. C’est un véritable levier de pilotage pour l’entreprise. En centralisant les données clés, il permet d’optimiser la gestion commerciale, de renforcer la relation client et de stimuler la performance globale.

Avec des solutions comme MyReport, les organisations gagnent en autonomie. Elles peuvent construire leurs propres tableaux, les adapter aux besoins de chaque équipe et automatiser leur diffusion. Grâce à MyReport (un Business intelligence pour entreprise), les dirigeants disposent d’une vision stratégique, tandis que les opérationnels accèdent à des informations concrètes pour orienter leurs actions quotidiennes.

En définitive, le tableau de bord commercial n’est pas seulement un outil de mesure. C’est une fonction centrale du pilotage des ventes et de la croissance, qui contribue à transformer les données en décisions.

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MyReport vs EMAsphère : quelle solution de reporting choisir pour votre PME/ETI ?

Deux visions différentes du reporting et du pilotage

Lorsqu’il s’agit de mettre en place une solution de reporting, deux options apparaissent régulièrement dans les discussions des DAF et dirigeants de PME/ETI : EMAsphère et MyReport. Si ces deux outils répondent à un objectif commun – améliorer la visualisation et le suivi de la performance – leur philosophie et leur périmètre d’action diffèrent. EMAsphère s’appuie sur des modèles financiers préconfigurés, là où MyReport propose une approche plus ouverte, évolutive et transversale, conçue pour accompagner l’ensemble des métiers de l’entreprise.

1. Modélisation : la flexibilité avant tout

EMAsphère met à disposition des modèles de reporting prêts à l’emploi, qui permettent de gagner du temps sur les usages standards. Ces modèles peuvent être ajustés, mais la personnalisation reste cadrée.

Avec MyReport, vous disposez aussi de modèles prêts a l’emploi mais si vous souhaitez aller plus loin la modélisation est totalement ouverte. Les entreprises peuvent y intégrer leurs propres règles métiers, refléter leurs processus internes et construire des indicateurs adaptés à leurs enjeux. Une approche idéale pour passer d’un simple suivi comptable à un véritable pilotage global et sur mesure.

2. Reporting : la force de rester dans Excel

EMAsphère propose une interface web dédiée, qui permet de consulter facilement des visualisations prédéfinies. Pour les utilisateurs familiers d’Excel, cela suppose cependant un changement d’environnement.

MyReport enrichit directement Excel grâce à des fonctionnalités d’analyse intégrées dans un bandeau spécifique. Les équipes conservent ainsi leurs habitudes tout en accédant à des outils décisionnels puissants. Ce choix facilite l’adoption et accélère le retour sur investissement. Et pour ceux qui veulent partager leurs analyses ou tableaux de bord dans une interface web dédiée… c’est aussi possible, sans cout supplémentaire!

3. Diffusion : autonomie sans contrainte de licences

La diffusion de l’information est un point clé dans tout projet de reporting. EMAsphère propose un accès en ligne aux reportings via des licences utilisateurs.

MyReport privilégie une approche plus souple, avec une diffusion automatique et ciblée : chaque destinataire reçoit les bonnes informations, au bon moment, sans contrainte de licence supplémentaire. Cette automatisation favorise une circulation fluide de la donnée et renforce la collaboration à l’échelle de l’entreprise.

4. Périmètre fonctionnel : de la finance au pilotage global

EMAsphère répond d’abord aux besoins financiers, avec la possibilité d’intégrer certaines données RH ou commerciales.

MyReport a été pensé dès l’origine comme une plateforme décisionnelle transversale. Elle couvre la finance, les ressources humaines, les ventes, la production ou encore le marketing. Cette capacité à croiser et enrichir les données de tous les métiers permet de structurer un pilotage d’entreprise complet et aligné avec la stratégie globale.

5. Datavisualisation : personnaliser ses dashboards en toute simplicité

EMAsphère propose une bibliothèque de graphiques standards, efficaces pour des besoins de visualisation simples.

Avec MyReport, les utilisateurs disposent d’une datavisualisation no-code qui leur permet de concevoir leurs propres dashboards. RH, commerce, finance ou trésorerie : chaque métier peut personnaliser ses indicateurs et adapter ses tableaux de bord à son activité. Et nous proposons aussi une bibliotheque d’inspiration pour ne pas partir de zéro

Conclusion : quel choix pour les PME et ETI ?

En résumé, EMAsphère convient aux entreprises qui recherchent une solution orientée finance, avec des modèles prêts à l’emploi. MyReport, de son côté, répond aux organisations qui souhaitent élargir leur démarche : autonomie métier, pilotage transversal, diffusion fluide et capacité à évoluer avec les besoins.

Pour les PME et ETI qui veulent dépasser le reporting financier et engager un pilotage global de leur performance, MyReport constitue une option durable et fédératrice.

Questions les plus fréquentes.

EMAsphère se concentre sur la visualisation financière avec des modèles prédéfinis, tandis que MyReport propose une plateforme de Business Intelligence complète et personnalisable.

Non. La solution est conçue pour être utilisée par les métiers, avec une intégration native dans Excel et une logique no-code qui facilite la prise en main.

Les rapports peuvent être diffusés automatiquement, par email ou via un portail web, sans coût de licence supplémentaire pour les destinataires.